Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2023-07-02), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-02), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-02), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-03), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-03), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-03), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-04), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-04), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-27), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-29), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-07-01), 10-Q (Date du rapport : 2018-04-01).
- Tendances générales du bénéfice net
- Au cours de la période analysée, le bénéfice net a connu une forte volatilité, avec une progression notable à certains moments, notamment au dernier trimestre de chaque année et lors de périodes spécifiques en 2019 et 2021. Après une baisse en 2019, il a rebondi de manière significative en 2021 et 2022, atteignant des niveaux record. Comparé à l’année précédente, on observe une croissance généralisée, indiquant une amélioration de la rentabilité globale de l’entreprise.
- Dotations aux amortissements
- Les dotations aux amortissements ont connu une tendance à l’augmentation progressive, en particulier à partir de 2020, ce qui pourrait refléter une augmentation des investissements en actifs immobilisés ou une intensification des stratégies d’amortissement.
- Charges de rémunération basées sur des actions
- Les charges liées aux rémunérations en actions ont fluctué, atteignant un pic en 2021. Cette hausse pourrait indiquer une augmentation de l’attractivité ou de la rémunération liée aux plans d’actions pour les employés, ou une modification de la comptabilisation de ces coûts.
- Impôts différés
- Les impôts différés ont montré une variabilité importante, passant de valeurs négatives à positives à plusieurs reprises, traduisant des ajustements nasur la situation fiscale différée, éventuellement influencés par des changements fiscaux ou des stratégies de gestion fiscale.
- Dépréciation d’actifs à long terme et de participations
- La dépréciation d’actifs à long terme a montré des pics notables notamment en 2020, suggérant des évaluations ou des pertes exceptionnelles liées à certains actifs. La dépréciation des participations a augmenté de manière significative en 2022, ce qui peut indiquer des dévaluations importantes dans certaines filiales ou investissements.
- Autres éléments d’actif et de passif
- Les autres éléments d’actif et de passif ont connu des fluctuations, souvent en corrélation avec les variations des actifs et passifs financiers, traduisant des ajustements dans la gestion du fonds de roulement et d’autres stratégies comptables.
- Variations d’actifs et passifs, nettes des acquisitions
- Une tendance marquée de variations nettes négatives, particulièrement en 2018, 2020 et 2022, indique une intensification des fluctuations liées à la gestion du fonds de roulement, ou à des acquisitions et cessions d’actifs et d’entreprises. Ces variations contribuent significativement aux flux de trésorerie opérationnels.
- Flux de trésorerie liés aux activités opérationnelles
- Les flux d’exploitation ont été globalement positifs, avec des pics en 2019 et une forte croissance en 2021, indiquant une génération de trésorerie saine, même si en 2020, une baisse notable a été observée lors du premier trimestre de la pandémie.
- Investissements en immobilisations
- Les investissements ont augmenté globalement, notamment en 2022, attestant d’un programme d’investissements soutenu pour maintenir ou accroître l’infrastructure. La réduction des cessions d’actifs reflète une moindre activité dans la cession ou la désinvestition d’éléments d’actif.
- Activités de financement
- Les flux de trésorerie provenant des activités de financement ont été très volatils, avec des périodes de financement massif, notamment en 2018 et 2022, correspondantes à des emprunts ou à un refinancement. Les remboursements de dettes, en revanche, ont été fréquents et parfois massifs, impactant fortement la trésorerie nette.
- Rachat d’actions et dividendes
- Les rachats d’actions ont été significatifs, notamment en 2019, et ont contribué à réduire la trésorerie disponible. Les dividendes, quant à eux, sont restés constants ou en légère augmentation, montrant une politique de distribution régulière mais modérée.
- Variations de la trésorerie
- Les variations de la trésorerie ont été très variables, avec des périodes de forte diminution notamment en 2020, probablement en lien avec des investissements ou des activités de redressement. En 2021, une forte augmentation a été observée, liée à une activité accrue et des flux de financement positifs, avant une nouvelle tendance à la baisse en 2022.
- Impact des taux de change et autres facteurs
- Les effets des taux de change ont occasionné des fluctuations, notamment en 2020 et 2023, mais leur impact global reste modéré par rapport aux autres facteurs financiers. Les ajustements liés à ces variations ont contribué à la volatilité observée dans la trésorerie.