Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- État du résultat global
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Analyse des segments à présenter
- Ratios d’évaluation des actions ordinaires
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2005
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-06-29), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-30), 10-K (Date du rapport : 2023-12-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-01), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-01), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-01), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-02), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-02), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-02), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-03), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-03), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-26), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-27), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-28), 10-K (Date du rapport : 2019-12-28), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-28), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-30).
- Échéances actuelles de la dette à long terme
- Les proportions de la dette à long terme à échéance immédiate fluctuent de manière variable, avec une tendance globale à la hausse à partir de 2019, culminant à environ 8,51 % en juin 2024. Après une baisse significative en septembre 2019, ces échéances ont connu une recrudescence en 2020, atteignant une valeur élevée en juin 2020, puis une tendance fluctuante par la suite. La reprise vers la fin de la période en 2023 et début 2024 indique une augmentation possible de la dette à court terme à long terme.
- Billets à payer
- Les billets à payer présentent des fluctuations marquées, avec un pic en septembre 2019 à 1,06 %, puis un profil oscillant entre 0,61 % et 3,6 %. La tendance générale montre une baisse après 2020, atteignant des niveaux inférieurs à 1,5 %, en dessous de 2 % lors de la majorité du temps. En 2024, une légère remontée est observée, mais ils restent à un niveau modéré (§ 1,5 %).
- Comptes créditeurs
- Ce poste de passif affiche une croissance progressive jusqu'en 2021, passant d'environ 12,84 % en 2019 à plus de 16 % en 2021, avant de se stabiliser autour de 14 % lors des dernières périodes. La tendance indique une augmentation relative, puis une stabilisation, reflétant possiblement une augmentation des dettes fournisseurs, suivie d'une gestion plus rigoureuse ou de paiements plus rapides à partir de 2022.
- Passifs courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce passif est très stable, avec une légère tendance à la hausse depuis 2019, passant d'environ 0,58 % à un pic de 0,86 % fin 2023. La croissance progressive indique une reconnaissance accrue des obligations locatives à court terme, sans fluctuations majeures.
- Publicité et promotion accumulées
- Ce poste demeure absent jusqu'à mi-2020, puis affiche une tendance à l'augmentation continue, passant de 3,65 % en juin 2020 à un maximum de 4,9 % fin 2023. La croissance soutenue suggère des investissements continus dans la promotion et la publicité, probablement pour soutenir la croissance commerciale ou la relance des activités.
- Salaires et traitements accumulés
- Ce poste apparaît à partir de fin 2021 avec une tendance à la croissance, passant d'environ 1,54 % à près de 1,78 % en septembre 2023, indiquant une augmentation progressive des obligations salariales accumulées, possiblement liée à la croissance des effectifs ou à l'indexation des salaires.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste montre une tendance fluctuante, avec une baisse notable en 2019, puis une stabilité relative autour de 4,5 %, se maintenant à ces niveaux jusqu'en 2024. La variation pourrait refléter des ajustements dans les passifs divers à court terme.
- Passif à court terme
- Ce poste de passif est en tendance haussière, passant de 26,96 % en 2019 à environ 36 % en 2024, atteignant un pic de 36,08 % en juin 2024. La croissance indique une augmentation relative des obligations à court terme par rapport aux capitaux propres, témoignant d'une pression accrue sur la liquidité à court terme.
- Dette à long terme, à l’exclusion des échéances courantes
- Ce poste affiche une tendance descendante de 44,32 % en 2019 à environ 28,7 % en 2024, sauf une légère hausse ponctuelle en 2024. La diminution prolongée signale un désendettement progressif de l'entreprise à long terme, probablement par remboursement ou refinancement.
- Passifs non courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce poste reste relativement stable autour de 2,5 %, avec une légère augmentation en 2024 à 3,33 %. La tendance indique une stabilité dans les obligations locatives non courantes, avec une faiblesse relative par rapport aux passifs courants.
- Impôts différés
- Ce poste montre une stabilité, oscillant entre 3,1 % et 4,85 %, avec une légère hausse en 2024. La tendance reflète une gestion prudente des obligations fiscales différées, sans évolution majeure significative.
- Passif de retraite
- Ce passif reste relativement stable, autour de 3,3 % à 4 %, avec de légères fluctuations mineures jusqu’en 2024. La stabilité indique une gestion constante des engagements en matière de régimes de retraite.
- Autres passifs
- Ce poste est stable autour de 2,5 % à 3 %, avec une légère hausse vers 2024, confirmant une gestion prudente de divers autres passifs mineurs.
- Passifs non courants
- Ce poste affiche une tendance à la baisse, passant de 56,27 % en 2019 à environ 42,52 % en 2024. La réduction indique une stratégie de réduction des passifs non courants, en partie par diminution de certains engagements à long terme ou par transfert vers des passifs courants.
- Total du passif
- Sa part relative dans la structure financière diminue légèrement, passant de 83,23 % en 2019 à environ 77,6 % en 2024, indiquant une évolution vers une structure de passif plus équilibrée ou une augmentation proportionnelle des capitaux propres.
- Actions ordinaires
- La part des actions ordinaires reste stable autour de 0,55 % à 0,69 %, montrant peu de variation dans la structure du capital social nominal.
- Capital supérieur à la valeur nominale
- Ce poste montre une croissance progressive, atteignant en 2024 près de 7 %, ce qui traduit une accumulation de primes d’émission ou d’actions racheté, reflétant une gestion active du capital propre.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste augmente de manière significative, passant d’environ 42 % en 2019 à plus de 59 % en 2024, ce qui suggère une accumulation importante de bénéfices non distribués, contribuant à la croissance des capitaux propres.
- Stock de trésorerie, au prix coûtant
- Ce poste montre une tendance négative, avec une augmentation de la valeur négative à environ -30,84 % en juin 2024, indiquant une diminution du stock de trésorerie disponible ou une utilisation accrue de liquidités, entraînant une situation de trésorerie plus tendue.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste reflète une tendance à la détérioration, passant de -7,94 % en 2019 à environ -14,43 % en 2024, indiquant des pertes ou dévaluations cumulées dans d’autres éléments du résultat global de la société.
- Total des capitaux propres
- Les capitaux propres augmentent de manière continue, passant de 13,72 % en 2019 à environ 21,62 % en septembre 2023, avec une légère diminution en fin de période. La tendance générale indique une croissance substantielle du patrimoine propre, principalement due à l’accumulation des bénéfices non répartis et de primes d’émission.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Ce poste diminue de façon progressive, passant d'environ 3 % en 2019 à moins de 1 % en 2024, reflétant une réduction des participations minoritaires ou une cession de parts dans des filiales non contrôlées directement.
- Total des capitaux propres
- Il montre une augmentation constante, confirmant une consolidation progressive du patrimoine de la société par la rétention des bénéfices et l’émission d’actions supplémentaires, malgré une baisse des participations non contrôlées.