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Monsanto Co. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- Bilan : actif
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des segments à présenter
- Analyse des zones géographiques
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2017-08-31), 10-K (Date du rapport : 2016-08-31), 10-K (Date du rapport : 2015-08-31), 10-K (Date du rapport : 2014-08-31), 10-K (Date du rapport : 2013-08-31), 10-K (Date du rapport : 2012-08-31).
- Tendance du chiffre d'affaires
- Le pourcentage du chiffre d'affaires net reste constant à 100 % par définition, sans variation observée dans les données. La stabilité indique que toutes les valeurs de performance sont exprimées en pourcentage de ce chiffre d'affaires.
- Évolution du coût des marchandises vendues (CMV)
- Le coût des marchandises vendues en pourcentage du chiffre d'affaires montre une tendance globale à la stabilité autour de 45-48 %. Une légère augmentation de 47.83 % en 2012 à 48.5 % en 2013 est observée, puis une fluctuation avec une baisse jusqu'à 45.46 % en 2015. Par la suite, une hausse est notée à nouveau, atteignant 48.03 % en 2016, avant une légère baisse à 45.79 % en 2017. Cette évolution indique une gestion variable des coûts liés à la production ou à l'approvisionnement, sans tendance claire à long terme.
- Marge brute
- La marge brute fluctue entre 51.5 % et 54.54 %, avec un pic en 2015 à 54.54 %. Après une baisse en 2013, l'indicateur augmente pour atteindre un sommet en 2015, puis se stabilise autour de 54.21 % en 2017. Cela suggère une amélioration de la rentabilité brute ou une meilleure gestion des coûts directs de production.
- Frais de vente, frais généraux et administratifs
- Ce poste s'élève généralement autour de 17 %, mais montre une augmentation notable à 20.98 % en 2016, puis une diminution à 20.28 % en 2017. La hausse en 2016 pourrait refléter des investissements en marketing ou des coûts administratifs accrus, tandis que la baisse subséquente indique une tentative de maîtrise de ces dépenses.
- Dépenses de recherche et développement
- Les dépenses en R&D se stabilisent autour de 10-11 %, avec une tendance légère à la baisse en 2014 et 2015, puis une remontée à 10.98 % en 2017. Cela suggère une stabilité relative ou une gestion conservatrice des investissements en innovation au fil des années.
- Charges de restructuration
- Les charges de restructuration apparaissent uniquement à partir de 2015, avec un montant négatif de -2.62 %, suivi d'une reprise partielle à 0.25 % en 2017. La présence de ces charges indique des efforts de restructuration ayant impacté le résultat sur cette période.
- Coûts liés aux transactions Bayer en attente
- Ce poste n'apparaît qu'en 2017 avec une valeur de -1.26 %, suggérant des coûts ou charges exceptionnels liés à cette transaction, mais aucune tendance à long terme n'est observable, faute de données antérieures.
- Charges d’exploitation
- Les charges d’exploitation augmentent de 28.86 % en 2012 à 34.38 % en 2016, puis diminuent à 32.27 % en 2017. La tendance générale indique une augmentation des coûts d’exploitation permettant de couvrir les opérations, potentiellement liée à une croissance ou à des investissements opérationnels accrus, suivie d’une stabilisation.
- Résultat d’exploitation
- Le résultat d’exploitation en pourcentage du chiffre d’affaires oscille entre 23.31 % en 2012 et un pic de 25.7 % en 2014. Après une baisse à 17.59 % en 2016, il remonte à 21.94 % en 2017. La fluctuation reflète des variations dans la rentabilité opérationnelle, avec une tendance à la consolidation en 2017.
- Charges et revenus d’intérêts
- Les charges d’intérêts augmentent de -1.41 % en 2012 à -3.23 % en 2016, indiquant une hausse des coûts liés à l’endettement. Les revenus d’intérêts restent faibles, oscillant autour de 0.5 %, sans tendance claire, ce qui souligne une gestion prudente des revenus financiers.
- Autres produits (charges)
- Ce poste est relativement faible, variant de -0.64 % en 2014 à +0.34 % en 2017. La légère variation témoigne d’une stabilité marginale dans ces éléments non récurrents ou exceptionnels.
- Bénéfice avant impôts sur les bénéfices
- Le bénéfice en pourcentage du chiffre d’affaires progresse de 22.13 % en 2012 à un sommet de 24.14 % en 2014, puis chute à 14.75 % en 2016, avant une reprise à 19.71 % en 2017. La tendance indique une forte rentabilité avant impôts initiale, suivie d’une période de déclin durant laquelle une certaine récupération est observée.
- Provision pour impôts sur les bénéfices
- Ce poste diminue régulièrement de -6.67 % en 2012 à -4.28 % en 2017, indiquant une baisse effective de la charge fiscale ou un changement dans la stratégie fiscale, contribuant à une amélioration du résultat net.
- Bénéfice lié aux activités poursuivies incluant la participation ne donnant pas le contrôle
- Ce bénéfice en pourcentage du chiffre d’affaires connaît une hausse en 2013 et 2014, puis une forte baisse en 2016 à 9.6 %, avant de rebondir à 15.44 % en 2017. La fluctuation reflète une variabilité dans la contribution des activités poursuivies et de la participation non contrôlante.
- Résultat des activités abandonnées
- Ce résultat reste faible, compris entre 0.04 % et 0.19 %, témoignant de l’impact marginal des activités abandonnées sur le résultat global.
- Revenu net
- Le revenu net présente une tendance similaire au bénéfice avant impôts, avec une croissance initiale jusqu’en 2014, puis une chute en 2016 à 9.72 %, et une reprise en 2017 à 15.53 %. Cela reflète une fluctuation de la rentabilité nette en lien avec les variations précédentes des marges opérationnelles et fiscales.
- Perte ou bénéfice net attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle
- Ce poste passe d’une petite perte en 2012 à un léger bénéfice en 2016, puis redevient une perte en 2017, indiquant une instabilité ou une variabilité dans la contribution des participations non contrôlantes.
- Résultat net part du groupe
- Finalement, le résultat net attribuable au groupe suit une tendance similaire au revenu net, avec une croissance jusqu’en 2014, une baisse en 2016, et une reprise en 2017, illustrant la performance globale sur la période.