Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-03), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendances générales des ventes
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La répartition des ventes entre produits et services présente des variations notables sur la période, avec une tendance à une augmentation relative des ventes de services. La part des ventes de produits, initialement à environ 72 %, tend à fluctuer mais affiche une baisse lors du dernier trimestre, passant à environ 63-74 %. En revanche, la part de la vente de services montre une tendance à la hausse, atteignant près de 36 % au premier trimestre de 2024.
Une tendance contrastée indique un recentrage vers des services, probablement pour diversifier le portefeuille ou améliorer la marge opérationnelle. - Évolution du coût des ventes
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Le coût des ventes en termes relatifs fluctue sensiblement. Le coût total des ventes (produits + services) représente initialement une part très élevée du chiffre d'affaires, atteignant plus de 88 % lors de certains trimestres, avec des pics à près de 95 % au dernier trimestre de 2022. Au fil du temps, on observe une tendance à la stabilisation autour de 80 %. La composition indique un coût des ventes plus élevé pour les produits que pour les services, avec une baisse notable lors du dernier trimestre de 2023.
Ces variations pourraient refléter des changements dans la structure de coûts ou dans la gestion de la production, impacting la marge brute. - Marge brute
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Malgré la forte volatilité du coût des ventes, la marge brute en pourcentage du chiffre d'affaires présente une tendance à la baisse initiale, passant d'environ 24,54 % en 2020 à un point bas proche de 5,3 % au premier trimestre 2024. Cependant, cette marge reprend par la suite, retrouvant des niveaux proches de 20 % à la fin de la période considérée.
Cette évolution peut indiquer une pression accrue sur la rentabilité brute dans certains trimestres, suivie d'une stabilisation ou d'une reprise grâce à des mesures d'optimisation ou à une augmentation des prix. - Recherche et développement (R&D)
- Les dépenses en R&D, exprimées en pourcentage du chiffre d'affaires, restent relativement constantes, oscillant autour de 3,5 à 4,7 %. La tendance générale montre une stabilité, avec quelques fluctuations légères, notamment une légère augmentation lors du dernier trimestre de 2023, pouvant indiquer une intensification des investissements en innovation ou développement de nouveaux produits.
- Dépenses en vente, général et administratif (SG&A)
- Les charges SG&A restent relativement stables, généralement comprise entre 6,9 % et 10,4 % du chiffre d'affaires. La période montre une tendance globale à une gestion relativement stable de ces coûts, malgré quelques fluctuations. La baisse lors du dernier trimestre de 2023 pourrait correspondre à une optimisation opérationnelle ou à une réduction des dépenses dans ces domaines.
- Résultat d’exploitation et résultat net
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Le résultat d'exploitation affiche une forte volatilité, avec une remontée notable à 11,4 % en mars 2020 suivi d'une chute brutale à -26,74 % au second trimestre 2020, avant de retrouver une tendance à la hausse pour se stabiliser autour de 8 % à partir de décembre 2021. La tendance sur l’ensemble de la période indique une certaine résilience, avec une amélioration progressive, bien que ponctuée de périodes de perte, notamment au premier trimestre de 2024.
Le résultat net, quant à lui, reproduit ces fluctuations, passant d'une très forte perte en mars 2020 (-27,1 %) à des gains positifs significatifs par la suite, atteignant environ 9 % à partir de décembre 2021. La dernière période montre une reprise, avec un résultat net proche de 8 % et une tendance à la consolidation.
- Résultat liés aux activités poursuivies et abandonnées
- Les résultats liés aux activités poursuivies illustrent également une forte volatilité, avec des pertes ponctuelles notamment au premier trimestre 2024. La contribution des activités abandonnées étant marginale ou nulle en fin de période, le résultat global reste principalement dépendant des activités poursuivies.
- Autres indicateurs financiers
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Les charges d’intérêts restent relativement stables en pourcentage du chiffre d'affaires, autour de -2 %, ce qui indique une gestion maîtrisée de l’endettement financier. La participation ne donnant pas le contrôle, ainsi que la participation des actionnaires, présentent de faibles pourcentages du chiffre d'affaires, traduisant une implication limitée ou une faible influence sur le résultat global.
Les autres produits et charges présentent des variations, avec quelques pics ou creux, notamment une perte importante (-4,54 %) au troisième trimestre 2024. Ces éléments indiquent une volatilité dans les charges ou produits exceptionnels ou non courants.
- Conclusion générale
- La période analysée se caractérise par une forte volatilité des résultats, avec une tendance à la stabilisation ou à une amélioration progressive à partir de 2021. La composition des revenus évolue vers une part accrue des ventes de services, ce qui pourrait améliorer la rentabilité à moyen terme. La marge brute connaît des fluctuations importantes, mais semble retrouver un niveau proche de 20 % en fin de période. La gestion des coûts, notamment en R&D et SG&A, reste relativement stable. La rentabilité opérationnelle et nette affiche une tendance favorable après une période difficile en 2020, avec une capacité de reprise notable. Néanmoins, la volatilité persistante et certains pics négatifs suggèrent la nécessité de continuer une gestion rigoureuse des coûts et d'optimiser la structure de revenus pour assurer une rentabilité durable.