Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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Express Scripts Holding Co., tableau des flux de trésorerie consolidés (données trimestrielles)
US$ en milliers
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31).
- Revenu net
- Le revenu net affiche une tendance haussière notable sur la période analysée. Après une croissance significative au premier trimestre 2013 (378 100 milliers de dollars), on observe une augmentation majeure, atteignant un sommet de 1 379 800 milliers de dollars au premier trimestre 2017. Depuis cette période, la croissance se poursuit, culminant à 1 073 800 milliers de dollars au quatrième trimestre 2018, indiquant une évolution positive et soutenue de la capacité de l'entreprise à générer des revenus nets sur la période considérée.
- Bénéfice net lié aux activités poursuivies
- Le bénéfice net suit une tendance semblable à celle du revenu net, avec une croissance constante tout au long de la période. Après une valeur de 380 000 milliers de dollars au premier trimestre 2013, le bénéfice atteint un pic de 1 073 800 milliers de dollars au quatrième trimestre 2018. La stabilité relative entre les trimestres, accompagnée de hausses successives, laisse penser à une amélioration progressive de la rentabilité de l'entreprise, malgré certaines fluctuations à court terme.
- Dotations aux amortissements
- Les dotations aux amortissements présentent une évolution relativement stable, avec quelques fluctuations. La valeur oscille généralement entre environ 445 600 et 631 400 milliers de dollars, sans tendance claire de hausse ou de baisse prolongée. La stabilité relative indique une gestion relativement constante des amortissements, en lien avec le maintien des actifs amortissables.
- Impôts différés
- Les impôts différés montrent une tendance globalement à la hausse en valeur absolue négative, avec plusieurs périodes de pic négatif. À partir de valeurs proches de -138 700 milliers de dollars au premier trimestre 2013, ils atteignent un maximum de -1 431 400 milliers de dollars au quatrième trimestre 2017. La tendance à l'aggravation du passif fiscal différé pourrait refléter des différences temporaires accrues ou un changement dans la politique fiscale ou la structure des actifs.
- Charge de rémunération à base d'actions des employés
- Cette charge fluctuante demeure relativement faible en montant, oscillant généralement entre 21 600 et 51 300 milliers de dollars. Elle ne présente pas de tendance claire de croissance ou de décroissance importante, indiquant une gestion stable de la rémunération en actions sur la période.
- Autres actifs et passifs courants et non courants
- Les autres actifs et passifs montrent une forte volatilité. Les actifs courants et non courants ont connu certains pics positifs, notamment vers la fin 2014 et début 2016, mais également des baisses importantes, notamment à partir de 2015. Les passifs, en revanche, présentent des mouvements importants, souvent négatifs, avec des périodes de réduction notable en 2016, suivies de fluctuations majeures, notamment négatives en 2015 et 2018, pouvant indiquer des ajustements comptables ou des changements significatifs dans la structure des passifs.
- Créances
- Les créances connaissent une forte volatilité. Après une position initiale élevée, on observe rapidement une baisse significative en 2013 et 2014, puis une remontée en 2015, suivie d'une nouvelle baisse vers 2016. Ces fluctuations pourraient être liées à des variations dans la gestion des créances clients, à l'octroi de crédits ou à des modifications dans la politique de recouvrement.
- Inventaires
- Les inventaires présentent également une grande volatilité. Après une hausse en 2013, ils connaissent des baisses intercalées, notamment en 2014 et 2015, avant de remonter en 2016. La variabilité indique une gestion dynamique des stocks, potentiellement en réponse aux fluctuations de la demande ou à des stratégies de gestion des stocks pour optimiser la liquidité.
- Autres actifs courants et non courants
- Ce poste affiche une forte oscillation, avec des pics à la fin 2013, début 2014, puis une réduction significative en 2015 et 2017. La nature volatile pourrait refléter des variations dans la valorisation des autres actifs non directement liés à l'exploitation principale, ou des ajustements de bilan liés à des événements exceptionnels.
- Réclamations et remises payables
- Ce passif montre une alternance entre valeurs négatives et positives. Après un léger accroissement, il connaît une forte croissance positive en 2014, suivie d'une réduction en 2015, puis de nouveau une hausse notable en 2016. La tendance suggère une gestion fluctuante des réclamations, remises ou autres obligations commerciales.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs présentent une tendance volatile, avec des pics importants en 2014 et 2018, et des périodes de diminution notable. La variation pourrait refléter la gestion différenciée des fournisseurs et partenaires, ainsi que des ajustements liés à la politique de paiement.
- Charges à payer
- Ce poste devient significatif à partir de 2014, avec des valeurs capables de dépasser plusieurs centaines de millions de dollars. Leur évolution montre des fluctuations importantes, notamment en 2018, correspondant à une gestion variable des obligations futures de l'entreprise.
- Autres passifs courants et non courants
- Ce poste est très volatil, oscillant entre valeurs positives et négatives, avec des pics importants en 2014 et 2018. Ces fluctuations peuvent refléter des ajustements comptables ou des provisions pour risques ou charges potentielles.
- Variations de l’actif et du passif d’exploitation
- Les variations observées soulignent une forte volatilité, notamment en 2014 et 2016, avec des pics positifs importants. Ces fluctuations indiquent une gestion active du fonds de roulement, des emprunts ou autres éléments liés à l'exploitation, avec une tendance à des mouvements importants à certains moments clés.
- Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net et les flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation
- Les ajustements sont globalement positifs, permettant de rapprocher le bénéfice comptable du flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles. On y note des variations substantielles, notamment en 2013, 2014 et 2016, ce qui reflète l’impact des éléments non décaissables ou exceptionnels sur la trésorerie d’exploitation.
- Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation
- Ce flux montre une évolution globale positive, avec un pic vers la fin 2014 et 2017, mais aussi des périodes de baisse notable, notamment en 2013 et 2015. La tendance générale indique une capacité croissante à générer de la trésorerie via l’exploitation, malgré la volatilité à court terme.
- Dépenses en immobilisations
- Les investissements en immobilisations sont relativement constants, oscillant environ entre 45 000 et 119 000 milliers de dollars. La régularité de ces dépenses montre une stratégie d’investissement soutenue et régulière dans la mise à jour ou la maintenance des actifs corporels et logiciels.
- Acquisitions et vente d’actifs
- Les acquisitions, notamment en 2015, ont été significatives, y compris avec des exemples majeurs comme l’achat de la société en 2016. La vente d’actifs a également été notable, contribuant à la volatilité du poste, notamment en 2018.
- Produit de la vente de l’entreprise
- Ce poste apparaît brièvement en 2013 et 2014, indiquant des opérations exceptionnelles de cession d’actifs ou d’entreprises, ce qui pourrait avoir un impact ponctuel sur la trésorerie globalement négatif lors de ces périodes.
- Flux de trésorerie nets liés aux activités d’investissement
- Ce flux varie significativement, avec des périodes de sorties importantes, notamment en 2014 et 2017, correspondant probablement aux acquisitions et investissements majeurs. La tendance globale indique une utilisation soutenue des ressources pour le financement de la croissance.
- Produit de la dette à long terme et remboursement
- Les flux liés à la dette montrent une tendance à la réduction des endettements, avec notamment des remboursements importants en 2018, tout en ayant enregistré des entrées significatives en 2016 par le biais d’emprunts importants. La stratégie semble être une gestion active de la structure du financement à long terme.
- Acquisition d’actions propres
- Ce poste est marqué par des acquisitions massives en 2013 et 2014, avec une activité soutenue jusqu’en 2018. Ces opérations indiquent une stratégie de retour de valeur aux actionnaires par rachat d’actions, souvent lors de périodes de forte liquidité, même si elles peuvent réduire la trésorerie disponible à court terme.
- Produit net des régimes d’actionnariat
- Ce poste reste relativement stable, avec des valeurs comprises généralement entre 11 100 et 312 000 milliers de dollars, reflétant une gestion régulière des programmes d’actionnariat et leursrépercussions financières.
- Autres éléments (incluant le financement et la conversion de devises)
- Les autres flux liés au financement, à la conversion ou aux diverses opérations montrent une forte volatilité, souvent en lien avec des événements exceptionnels ou des ajustements financiers complexes. Notamment, en 2018, on observe des flux très négatifs liés à la dette et aux opérations financières, indiquant un ajustement significatif de la structure de capital ou de la gestion de la liquidité.
- Effet de la variation de devises
- Ce poste indique un impact modéré de la conversion des devises sur la trésorerie, avec des fluctuations négatives et positives tout au long de la période, sans tendance claire à long terme.
- Augmentation ou diminution nette de la trésorerie
- La variation de la trésorerie montre une grande volatilité. Après une diminution initiale en 2013 et 2015, la trésorerie se redresse dans les périodes suivantes, culminant avec des pic significatifs vers 2014 et 2017, avant de connaître une baisse en 2018. Ces mouvements reflètent la gestion dynamique de la liquidité, en lien avec les investissements, financements et opérations courantes, ainsi qu’un ajustement global à la structure financière.