Tableau des flux de trésorerie
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Ratios d’évaluation des actions ordinaires
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2005
- Analyse de l’endettement
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-28), 10-K (Date du rapport : 2023-12-30), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-25), 10-K (Date du rapport : 2020-12-26).
- Bénéfice net (perte nette)
- Une tendance à la baisse est observée entre 2020 et 2023, avec un bénéfice net en diminution. En 2024, la société enregistre une perte nette importante, indiquant une détérioration significative de la rentabilité ou une situation exceptionnelle impactant le résultat.
- Dépréciation
- Les charges de dépréciation restent relativement stables, avec une légère hausse en 2022, puis une baisse en 2023, avant de retrouver un niveau similaire en 2024. Cela peut indiquer un renouvellement ou une réévaluation des actifs immobilisés.
- Rémunération à base d’actions
- Une augmentation progressive de cette charge est perceptible, reflétant une politique de rémunération basée sur des actions ou des incitations liées aux performances de l'entreprise, atteignant environ 3 410 millions de dollars en 2024.
- Charges de restructuration et autres charges
- Une forte augmentation en 2021 suivi d'une baisse en 2022 puis une nouvelle hausse en 2024 montre une instabilité ou des efforts de restructuration à plusieurs reprises.
- Gains sur placements en actions, montant net
- Les gains issus des placements en actions ont fluctué, devenant négatifs en 2020 et 2021, puis fortement négatifs en 2022, avant de se réduire en 2023 et en 2024, indiquant une rentabilité moindre ou des pertes sur ces investissements.
- Impôts différés
- Une évolution notable entre 2022 et 2024, passant d'une charge d'impôts différés à un produit, suggérant des changements de stratégies fiscales, reconnaissance de crédits ou décalages de paiements fiscaux.
- Dépréciations et perte nette sur la mise hors service d’immobilisations corporelles
- Une augmentation en 2022 et 2024 indique des pertes ou des réévaluations importantes sur ces immobilisations, signalant une dépréciation ou une sortie d'actifs.
- Comptes débiteurs
- La variabilité est significative, avec une forte baisse en 2021 et une hausse en 2022, suivie d'une nouvelle baisse en 2024, reflétant des changements dans la gestion du crédit client ou dans la collecte des créances.
- Inventaires
- Les inventaires ont connu une forte baisse en 2021 puis une nouvelle augmentation en 2022, puis encore une baisse en 2024, indiquant des fluctations dans la gestion des stocks ou dans la stratégie commerciale.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont connu des fluctuations, avec une augmentation en 2020, une baisse en 2021 puis une nouvelle augmentation en 2024, montrant une gestion variable des dettes fournisseurs.
- Impôts
- La charge fiscale a fluctué, avec un passage en négatif en 2021, un rebond en 2022, puis une nouvelle baisse, conforme à la variation du résultat fiscal ou de la stratégie fiscale adoptée.
- Autres éléments d’actif et de passif
- Une variation significative en 2024 suggère des ajustements ou des changements dans la composition de l’actif et du passif hors éléments principaux.","
- Variations de l’actif et de passif
- Une tendance à la volatilité est visible, avec des fluctuations régulières, indiquant une gestion dynamique de l’actif et du passif ou des changements dans les actifs financiers et immobilisés.
- Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net (la perte nette) et les flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation
- Une augmentation notable en 2024 indique une amélioration dans la compatibilité entre le résultat comptable et la trésorerie générée par l'exploitation.
- Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation
- Une tendance à la baisse en valeur absolue, surtout à partir de 2022, signale une diminution de la capacité de l’entreprise à générer de la trésorerie par ses opérations principales.
- Investissements en immobilisations corporelles
- Une augmentation constante des investissements, notamment en 2022 et 2023, montre un effort important dans la croissance ou la mise à jour des actifs immobilisés.
- Produits des incitatifs gouvernementaux liés aux immobilisations
- Une apparition en 2024 avec un montant significatif indique le recours à des incitations ou subventions gouvernementales pour financer des investissements.
- Achats et ventes de placements à court terme
- Les achats massifs au fil des années entraînent une baisse de la trésorerie, tandis que les ventes importantes en 2022 et 2023 apportent des flux de liquidités significatifs, reflétant une politique de gestion active des placements.
- Produits et flux liés aux détachements et ventes de participations, immobilisations, et autres placements
- Les activités de cession ont contribué positivement aux flux de trésorerie, notamment à travers la vente de participations ou d'immobilisations lors des années mentionnées.
- Financement par émission de titres et remboursement de dette
- Les émissions obligataires ou de papier commercial ont permis de renforcer la trésorerie, surtout en 2020 et 2023, tandis que les remboursements de dette ont significativement réduit la dette globale en 2022, 2023 et 2024.
- Rachat d’actions ordinaires et versements de dividendes
- Les rachats et dividendes ont montré une tendance à la réduction en 2023 et 2024, indiquant une politique de gestion du capital orientée à réduire la distribution aux actionnaires ou à améliorer la rentabilité par la réduction du nombre d’actions en circulation.