Structure du compte de résultat
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Kraft Heinz Co. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : actif
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2015
- Ratio de liquidité actuel depuis 2015
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2015
- Analyse du chiffre d’affaires
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-28), 10-K (Date du rapport : 2018-12-29), 10-K (Date du rapport : 2017-12-30), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Tendance générale du chiffre d'affaires
- Le chiffre d'affaires, exprimé en pourcentage du revenu net, reste constant à 100 % au fil des années, indiquant une stabilité dans la reconnaissance du revenu de l'entreprise sur la période analysée.
- Évolution du coût des produits vendus
- Le coût des produits vendus en pourcentage du chiffre d'affaires a diminué de 68,58 % en 2015 à 63,81 % en 2016, puis à 63,01 % en 2017. Cependant, il a augmenté à 66,04 % en 2018 et à 67,38 % en 2019, ce qui suggère une hausse relative des coûts de production ou d'approvisionnement à partir de 2018, impactant potentiellement la marge brute.
- Marge brute
- La marge brute, en pourcentage du chiffre d'affaires, a augmenté de 31,42 % en 2015 à 36,99 % en 2017, atteignant un pic. Elle a ensuite diminué pour s'établir à 33,96 % en 2018 et 32,62 % en 2019, reflétant une compression de la rentabilité brute à partir de 2018.
- Frais de vente, frais généraux et administratifs
- Ces frais, en pourcentage du chiffre d'affaires, ont diminué de 17,02 % en 2015 à 10,98 % en 2017, montrant une réduction de l'effort ou du coût dans ces domaines. Toutefois, en 2018, une augmentation importante à 72,87 % indique des charges exceptionnellement élevées ou une restructuration, avant de revenir à 20,33 % en 2019.
- Pertes de valeur
- Les pertes de valeur sur l'écart d'acquisition ont été absentes jusqu'en 2018, lorsque elles atteignent 26,68 %, puis diminuent à 4,79 % en 2019. Concernant les immobilisations incorporelles, des pertes importantes en 2018 (33,99 %) et une réduction en 2019 (2,81 %) illustrent des ajustements comptables significatifs liés à des acquisitions ou à des actifs incorporels.
- Résultat opérationnel
- Le bénéfice d'exploitation, en pourcentage du revenu net, a connu une croissance de 14,39 % en 2015 à 25,82 % en 2017, avant de chuter fortement à -38,91 % en 2018, puis une reprise en 2019 à 12,29 %. La forte baisse en 2018 indique des difficultés opérationnelles ou des charges exceptionnelles, suivies d'une amélioration partielle en 2019.
- Charges d’intérêts et autres produits
- Les charges d'intérêts ont augmenté de 7,2 % en 2015 à 5,45 % en 2019. Les autres produits ou charges ont été faibles ou neutres jusqu'en 2018, mais ont connu une croissance notable en 2019 (3,81 %), contribuant positivement à la performance financière globale cette année-là.
- Résultat avant impôts
- Le bénéfice avant impôts a fortement fluctué, passant d'une valeur positive importante en 2015-2017 (jusqu'à 21,08 %) à une perte de -43,1 % en 2018. En 2019, un retour à 10,65 % reflète une amélioration significative, mais sans retrouver le niveau des premières années.
- Impôts sur les bénéfices
- Les charges d'impôt ont montré une tendance variable : faibles en 2015 et 2016, puis une augmentation en 2017 (20,81 %) avant de redevenir négatives en 2018 (-4,06 %) et 2019 (-2,91 %), indiquant des ajustements fiscaux ou des crédits d'impôt importants liés aux pertes opérationnelles et aux pertes comptables exceptionnelles.
- Bénéfice net
- Le bénéfice net, en pourcentage du chiffre d’affaires, a connu une croissance remarquable, passant de 3,53 % en 2015 à un sommet de 41,9 % en 2017. Toutefois, en 2018, il chute à une perte de -39,04 %, avant de se redresser en 2019 à 7,74 %. La situation en 2018 reflète une année très difficile, probablement marquée par des pertes exceptionnelles ou des charges hors exploitation importantes.
- Bénéfice net attribuable à la participation ne donnant pas le contrôle et aux actionnaires ordinaires
- Ces indicateurs suivent la même tendance que le bénéfice net global, avec une croissance jusqu'en 2017, une chute en 2018 liée aux pertes exceptionnelles, puis une reprise partielle en 2019. La réduction des bénéfices attribuables en 2018 souligne l'impact des événements exceptionnels ou des coûts non récurrents durant cette année.
- Dividendes privilégiés
- Les dividendes privilégiés représentent une part significative en 2015 (-4,91 %), mais disparaissent en 2016 et au-delà, indiquant une modification ou une suspension dans la distribution de dividendes privilégiés au cours de la période suivante.