Structure du compte de résultat
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Workday Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État du résultat global
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2013
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2013
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2025-01-31), 10-K (Date du rapport : 2024-01-31), 10-K (Date du rapport : 2023-01-31), 10-K (Date du rapport : 2022-01-31), 10-K (Date du rapport : 2021-01-31), 10-K (Date du rapport : 2020-01-31).
- Tendance des revenus et de la répartition par segment
- La proportion des services d’abonnement dans le chiffre d’affaires a connu une croissance progressive, passant d'environ 85,37 % en 2020 à 91,38 % en 2025. Cette évolution indique une orientation stratégique vers des revenus récurrents via des abonnements. En parallèle, la contribution des services professionnels a diminué, passant de 14,63 % en 2020 à 8,62 % en 2025, ce qui reflète une réduction relative de la part issue des services à forte personnalisation ou à coûts variables.
- Tendances des coûts
- Les coûts liés aux services d’abonnement, exprimés en pourcentage du chiffre d’affaires, ont augmenté de manière modérée, atteignant un maximum d’environ -16,27 % en 2023, avant de diminuer légèrement en 2024 et 2025. Les coûts des services professionnels ont, en revanche, connu une réduction continue, passant de -15,9 % en 2020 à -9,51 % en 2025. La réduction globale des coûts des revenus, passant de -29,37 % en 2020 à -24,5 % en 2025, a contribué à améliorer la marge brute, qui a en conséquence progressé, atteignant environ 75,5 % en 2024 et 2025.
- Évolution de la marge brute
- La marge brute a connu une légère augmentation de 70,63 % en 2020 à 75,6 % en 2024, suggérant une gestion efficace des coûts et une croissance de la rentabilité sur la période. La stabilité ou l’amélioration de cette marge indique une capacité à accroître la rentabilité tout en maintenant une forte part de revenus récurrents liés aux abonnements.
- Dépenses de développement, marketing, administration
- Les dépenses en développement de produits ont diminué en proportion, passant d’environ 42,73 % en 2020 à 31,09 % en 2025, signalant une réduction relative des investissements dans l’innovation ou une optimisation des coûts de développement. Les dépenses en ventes et marketing sont restées relativement stables, oscillant autour de 28 % à 31 %, témoignant d’un effort soutenu dans l’acquisition client. Les charges administratives ont également stagné autour de 9 % à 10 %, reflétant une gestion maîtrisée de ces coûts.
- Performance opérationnelle et résultat net
- Le bénéfice d’exploitation a considérablement progressé, passant d’une perte de 13,85 % en 2020 à un bénéfice de 4,91 % en 2025, indiquant une amélioration significative de la rentabilité opérationnelle. La performance avant impôt suit une trajectoire similaire, passant d’une perte de 13,3 % à un bénéfice de 7,55 % en 2025. Le bénéfice net a également évolué, passant d’une perte nette de 13,25 % en 2020 à un bénéfice de 6,23 % en 2025. La croissance notable du bénéfice net témoigne d'une optimisation des résultats et d’un meilleur contrôle des charges financières et fiscales.
- Résultats exceptionnels et impôts
- Les autres éléments, notamment le revenu d’intérêts et d’autres produits, ont été variables mais ont contribué à l’amélioration du résultat avant impôt, surtout en 2024, avec un excédent. La provision pour l’impôt sur le résultat est devenue significative en 2024, atteignant 14,12 %, avant de revenir à une valeur négative en 2025, suggérant des ajustements fiscaux ou des stratégies d’optimisation fiscale. La baisse de la charge d’impôt en 2025 a permis une croissance du bénéfice net malgré une charge d’impôt négative en 2024.