Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2018-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2017-11-30), 10-K (Date du rapport : 2017-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2016-11-30), 10-K (Date du rapport : 2016-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-02-29), 10-Q (Date du rapport : 2015-11-30), 10-K (Date du rapport : 2015-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2014-11-30), 10-K (Date du rapport : 2014-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2013-11-30), 10-K (Date du rapport : 2013-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-02-28), 10-Q (Date du rapport : 2012-11-30), 10-K (Date du rapport : 2012-08-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-05-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-02-29), 10-Q (Date du rapport : 2011-11-30).
- Évolution de la dette à court terme
- La proportion de la dette à court terme par rapport au passif total a connu des fluctuations importantes au cours de la période, passant d’un minimum de 0,12 % en février 2012 à un maximum de 12,58 % en août 2016. Après cette hausse, on observe une tendance à la diminution, avec des valeurs oscillant autour de 5 % à la fin de la période, ce qui pourrait indiquer une gestion plus prudente ou un recentrage sur d’autres formes de financement à court terme.
- Comportement des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont affiché une stabilité relative, oscillant entre environ 2,92 % et 5,16 % du passif. On note une augmentation notable en août 2017 à 5,12 %, puis une légère réduction à la fin de la période. La stabilité de ce poste reflète une gestion prudente des dettes fournisseurs, avec des variations mineures.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Ce poste a connu des variations importantes, atteignant un pic de 2.79 % en février 2012. Par la suite, une tendance à la baisse s’est dessinée, avec des fluctuations mineures, indiquant une réduction de la proportion d’impôts à payer par rapport au passif total, pouvant refléter une amélioration dans la gestion fiscale ou des modifications dans la reconnaissance des passifs fiscaux.
- Rémunération et avantages sociaux accumulés
- Ce poste a connu une tendance à la hausse continue, passant d’environ 1,28 % à 2,71 % en février 2018, avec des fluctuations intermédiaires. La croissance soutenue suggère une augmentation des charges sociales et de rémunération différée, probablement liée à l’accroissement de la masse salariale ou à des évolutions dans la politique de rémunération.
- Programmes de marketing accumulés
- Ce poste a connu une forte variabilité, atteignant un maximum de 8.99 % en août 2015, puis une décrue par la suite. La tendance indique une intensification des dépenses de marketing à certains moments, suivie d’une réduction, témoignant d’un ajustement stratégique ou de réallocations budgétaires.
- Revenus reportés
- Ce poste a connu des fluctuations importantes, avec des pics notables en novembre 2011 (9.78 %) et en août 2013 (14.67 %). Après ces sommets, une tendance à la baisse s’est amorcée, atteignant des niveaux plus stables, sous 3 % à la fin de la période, ce qui pourrait indiquer une réduction des obligations de revenus différés à long terme.
- Passif à court terme
- La part du passif court terme par rapport au passif total a varié entre environ 16.89 % et 39.64 %, avec une tendance à l’augmentation vers la fin, atteignant plus de 35 %, ce qui pourrait refléter un accroissement des engagements à court terme ou une stratégie de financement plus courte durée.
- Dette à long terme, excluant la partie courante
- Ce poste a montré une augmentation progressive, passant de 7.55 % en novembre 2011 à plus de 40 % en 2016, puis une certaine stabilisation autour de 33-38 %. La croissance indique une dépendance accrue à la dette à long terme pour financer les actifs ou les projets, avec une tendance à la stabilisation dans la seconde moitié de la période.
- Passifs postérieurs à la retraite et autres passifs non courants
- Les passifs liés aux obligations sociales, aux retraités et autres passifs non courants ont présenté une stabilité relative, fluctuant légèrement autour de 1.4 % à 2.5 % pour les postérieurs à la retraite, et 1.4 % à 3.4 % pour les autres passifs, témoignant d'une gestion régulière de ces engagements à long terme.
- Total du passif
- La part du passif dans la structure du passif et capitaux propres a connu une augmentation significative en 2012 et 2013, atteignant près de 68 %, avant une légère diminution et stabilisation autour de 70 %, ce qui indique une augmentation de l’endettement ou des obligations financières par rapport aux capitaux propres durant cette période.
- Capitaux propres de la société
- Les capitaux propres, exprimés en pourcentage du passif et capitaux propres, ont connu une tendance à la baisse progressive à partir de plus de 60 % en 2011-2013, jusqu’à un minimum d’environ 16.6 % en août 2013. Ensuite, une reprise vers 30 % se manifeste, reflétant une augmentation des bénéfices non répartis et des autres éléments du résultat global, qui contribuent à renforcer la structure financière.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a connu une croissance continue, passant d’environ 21 % en novembre 2011 à plus de 58 % en février 2018. La tendance indique une accumulation des bénéfices non distribués, renforçant ainsi la solvabilité et la capacité d’autofinancement de l'entreprise sur la période.
- Stock de trésorerie
- Une tendance à la forte dégradation est visible, la valeur du stock de trésorerie au prix coûtant passant d’environ -12.92 % en novembre 2011 à environ -66 % en février 2018. Cette évolution pourrait indiquer une réduction de la liquidité disponible ou un usage accru de la trésorerie pour le financement des opérations ou le rachat d’actions, entraînant une dépréciation du poste.
- Capital d’apport supplémentaire
- Ce poste a maintenu une proportion relativement stable, oscillant autour de 43 % à 59 %, avec une légère hausse à la fin de la période, impliquant une injection régulière de fonds propres pour soutenir la croissance ou financer les investissements.
- Réserves de restructuration
- Les réserves de restructuration ont montré une croissance notable après 2013, atteignant plus de 1 % du passif en 2015, ce qui pourrait témoigner de coûts liés à des restructurations ou des ajustements stratégiques importants.
- Autres passifs et passifs non courants
- Ces postes ont présenté des variations modérées, avec des tendances stables voire légères augmentations, confirmant une gestion équilibrée des engagements hors bilan et des passifs à long terme au fil du temps.
- Structure globale
- La structure financière a montré une augmentation progressive du poids des dettes à long terme et des passifs non courants, accompagnée d’une diminution relative des capitaux propres, notamment via la réduction de la trésorerie disponible. Cependant, la croissance des bénéfices non répartis et la stabilité relative des autres passifs indiquent une gestion équilibrée visant à maintenir la solvabilité à long terme malgré un endettement accru.