Structure du bilan : actif
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Tableau des flux de trésorerie
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Ratio valeur d’entreprise/EBITDA (EV/EBITDA)
- Ratio valeur d’entreprise/FCFF (EV/FCFF)
- Ratio de rendement de l’actif (ROA) depuis 2012
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31).
- Évolution de la trésorerie et équivalents de trésorerie
- La part de la trésorerie et équivalents dans l’actif total a connu une baisse notable entre le premier trimestre de 2015 (10,98%) et le troisième trimestre de 2015 (9,76%), suivie d’une diminution significative jusqu’au premier trimestre de 2016 (3,57%). Par la suite, cette proportion a fluctué, atteignant un point bas à 1,62% au premier trimestre de 2018, puis repassant à un niveau plus élevé à 5,56% au premier trimestre de 2019. En fin de période, cette valeur s’établit à 2,75%, indiquant une diminution globale de la proportion de la trésorerie dans l’actif total depuis 2015, avec des fluctuations intermédiaires.
- Évolution des comptes et effets à recevoir, déduction faite des provisions
- La proportion de ces créances par rapport à l’actif total a connu une tendance légèrement ascendante, passant d’environ 9,61% au premier trimestre de 2015 à un sommet de 12,56% au troisième trimestre de 2019. Cela indique une augmentation relative des créances nettes, suggérant une croissance ou une accumulation progressive de créances à court terme auprès des clients ou partenaires, avec des fluctuations saisonnières ou opérationnelles.
- Comptes et notes à recevoir, parties liées
- La part de ces créances reste relativement stable, proches de 2% de l’actif total, avec de légères fluctuations tout au long de la période. On observe un pic à 2,13% au quatrième trimestre de 2017, puis une légère baisse, et une reprise à proximité de 1,93% à la fin de la période. La stabilité relative indique une gestion constante des relations avec les parties liées et une faible évolution dans cette catégorie.
- Inventaires
- Les inventaires représentent une part variable de l’actif, allant de 6,24% à 9,92%, avec une tendance générale à la stabilité autour de 8%. On note un pic à 9,92% au troisième trimestre de 2018, et des valeurs plus basses à environ 6,43% au dernier trimestre de 2019. Ces variations reflètent des fluctuations dans les niveaux de stock, en lien avec la stratégie d'inventaire ou les cycles opérationnels.
- Charges payées d’avance et autres actifs circulants
- Ce poste présente une certaine stabilité, oscillant entre 0,68% et 1,58% de l’actif total, avec une valeur plus élevée à 1,58% au troisième trimestre de 2019. La tendance indique une gestion modérée des charges payées d’avance, sans variations majeures sur la période.
- Actif circulant
- La part de l’actif circulant dans l’actif total a connu des fluctuations, allant d’un minimum de 23.25% au deuxième trimestre de 2016 à un maximum de 27,4% au premier trimestre de 2018. La tendance générale reste dans une fourchette de 24,5% à 26,6%, indiquant une gestion stable des éléments à court terme, avec une légère tendance à une augmentation en 2018.
- Placements et créances à long terme
- Cette catégorie représente une proportion relativement stable de l’actif, oscillant autour de 24 à 26,7%. La valeur la plus élevée est atteinte au premier trimestre de 2017 (26,37%) et la plus faible à 24,08% au quatrième trimestre de 2019. La stabilité montre une gestion équilibrée des investissements à long terme tout au long de la période.
- Propriétés, immobilisations corporelles nettes
- Cette catégorie constitue une part importante de l’actif, avec une proportion oscillant entre 38,7% et 41,61%. Elle affiche une tendance légèrement haussière, notamment autour de 40% durant la majorité de la période, indiquant une focalisation continue sur l’investissement dans des immobilisations corporelles. La stabilité relative de cette composante témoigne de son rôle central dans la structure d’actif.
- Survaleur
- La survaleur (goodwill) représente une faible proportion constante de l’actif total, autour de 5,57% à 6,74%, avec une légère tendance à la baisse, notamment vers 5,57% à la fin de la période. Cela peut indiquer une stabilisation ou une réduction des actifs incorporels liés à des acquisitions ou à des dérives dans la valorisation de l’intangible.
- Immobilisations incorporelles
- Les immobilisations incorporelles sont peu représentées, toujours autour de 1,4% à 1,86%, sans tendance nette claire. Leur stabilité indique une gestion prudente ou une faible importance relative dans la composition de l’actif.
- Autres actifs
- Les autres actifs ont une part minime mais en augmentation progressive, de 0,67% en 2015 à environ 3,2% en 2019, principalement à partir de 2018. Cette croissance pourrait refléter une diversification ou une augmentation des actifs non classés dans les catégories principales.
- Actifs non courants
- La proportion d’actifs non courants oscille autour de 73,4% à 76,7%, avec un léger pic à près de 76,75% en 2016. La stabilité de cette part souligne une politique d’investissement à long terme soutenue, avec une gestion cohérente des actifs non liquides au fil du temps.