Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de liquidité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Ratio de liquidité actuel depuis 2012
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2012
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).
- Évolution du passif total en pourcentage du passif et des capitaux propres
- Le total du passif en pourcentage du passif et des capitaux propres a connu une augmentation progressive, passant de 50,72 % en 2015 à un pic de 54,07 % en 2016, puis fluctuant autour de 50 à 53,73 % en 2019, indiquant une légère augmentation relative du passif par rapport aux capitaux propres au cours de la période.
- Comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs en pourcentage du passif et des capitaux propres ont augmenté de 10,61 % en 2015 à 13,70 % en 2019, témoignant d’une augmentation de la part de cette ligne de passif dans la structure financière.
- Passif à court terme
- Ce poste a connu une croissance notable, passant de 15,5 % en 2015 à 19,83 % en 2019. La hausse de cette proportion reflète probablement une intensification des dettes à court terme sur l’ensemble de la période.
- Dette à long terme
- Le pourcentage du passif attribuable aux dettes à long terme s’est maintenu relativement stable avec une légère fluctuation, culminant à 20,43 % en 2018 avant de redescendre à 19,1 % en 2019, ce qui indique une stabilité relative dans la structure de financement à long terme.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres représentent une proportion fluctuante mais généralement décroissante, passant de 47,55 % en 2015 à 42,42 % en 2019, signalant une possible dilution ou redistribution du capital à travers le temps.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a connu une croissance importante, passant de 25,42 % en 2015 à près de 37,57 % en 2019, indiquant une accumulation significative de bénéfices retenus dans l’entreprise.
- Stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie, évalué au coût, a connu une dégradation notable, passant de -15,94 % en 2015 à -28,39 % en 2019, ce qui suggère une détérioration de la position de liquidité ou une utilisation accrue de la trésorerie pour financer des opérations ou des investissements.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Ce poste a augmenté régulièrement de 1,72 % en 2015 à 4,6 % en 2018 puis a diminué à 3,85 % en 2019, ce qui pourrait refléter une évolution des investissements dans des filiales ou entités associées à contrôle partiel.
- Autres éléments du résultat global et autres passifs
- Les autres éléments du résultat global ont légèrement fluctué autour de -1,3 %, tandis que d’autres passifs et crédits reportés ont connu une hausse significative en 2019, atteignant 2,48 %, ce qui pourrait indiquer une augmentation des obligations différées ou des ajustements comptables.
- Proportions relatives dans l’ensemble des capitaux propres
- Les actions ordinaires, avec une valeur nominale faible, représentent une infime part du passif et des capitaux propres, stable à 0,01 %. La part du capital supérieur à la valeur nominale s’est réduite de 39,41 % en 2015 à 34,57 % en 2019, suggérant une possible réduction des primes d’émission ou des réserves liées à l’émission d’actions.
- Autres remarques
- Les obligations au titre des avantages du personnel ont maintenu une part stable autour de 1,6 % à 2,65 %. Par ailleurs, la proportion des impôts différés a diminué de 12,44 % en 2015 à 9,46 % en 2019, ce qui pourrait indiquer une évolution dans la perception des passifs fiscaux différés ou une restructuration des obligations fiscales.