Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31).
- Tendances dans la proportion des emprunts à court terme et de la dette à long terme
- Au début de la période, la proportion d’emprunts à court terme et de la portion courte de la dette à long terme est relativement faible, atteignant environ 0,61 % en septembre 2014. Toutefois, cette valeur connaît une augmentation significative jusqu’à atteindre un pic de 7,68 % en juin 2015, puis fluctue par la suite avec des valeurs souvent supérieures à 1 %, illustrant une certaine variabilité dans la recours accru à la dette à court terme. La dette à long terme, nette de l’escompte, montre quant à elle une tendance à la hausse globale, passant d’environ 33.25 % en mars 2014 à un sommet proche de 59.07 % en septembre 2018, avant de légèrement diminuer à 50.51 % en juin 2019. Cela indique une augmentation progressive de l’endettement à long terme dans la structure du passif, témoignant d’un recours accru à ce mode de financement sur la période récente.
- Évolution des passifs courants et non courants
- Les passifs à court terme, qui prennent en compte diverses classes telles que les comptes créditeurs, charges à payer, etc., présentent des fluctuations mais généralement une tendance à l’augmentation, passant de 19.09 % en mars 2014 à environ 12.11 % en septembre 2019, après des pics en cours de période. La part des passifs non courants, en revanche, demeure élevée, oscillant entre 56.31 % en mars 2014 et un maximum de 76.28 % en juin 2018 avant de redescendre à 58.67 % en septembre 2019. La structure montre donc une croissance progressive de la part de passifs non courants, soulignant une orientation vers le financement à long terme.
- Composition des capitaux propres
- Les capitaux propres en tant que pourcentage du total du passif et des capitaux propres augmentent sur la période, passant d’environ 35.3 % en mars 2014 à près de 29.22 % en septembre 2019. Les bénéfices non répartis connaissent également une croissance constante, culminant à plus de 54 % en septembre 2019, ce qui indique une accumulation progressive de résultats non distribués. La valeur des actions ordinaires en trésorerie, quant à elle, reste négative à un taux élevé, reflétant un rachat d’actions ou une gestion défensive du capital, avec une tendance à l’aggravation en pourcentage négatif sur la période.
- Impacts fiscaux et autres passifs
- Les impôts sur les bénéfices à payer fluctuent tout au long de la période, avec une augmentation notable durant la deuxième moitié, atteignant près de 0.71 % en septembre 2019. Par ailleurs, la part des passifs d’impôts différés augmente légèrement, indiquant possiblement une différenciation temporelle dans le traitement des impôts. Les autres passifs non courants présentent une baisse progressive, tombant de près de 10 % à environ 1.58 % en septembre 2019, ce qui pourrait signaler une réduction ou un reclassement de ces passifs dans la structure financière.
- Évolution globale du passif et de la structure financière
- La proportion totale du passif par rapport aux capitaux propres diminue au fil du temps, passant d’environ 64.7 % en mars 2014 à environ 70.78 % en septembre 2019, témoignant d’un renforcement relatif des fonds propres ou d’une augmentation volontaire du passif total. La croissance de la dette à long terme, en particulier, indique une stratégie de financement à long terme accrue, ajustant la structure capitalistique de l'entité. La composition en actions, notamment les actions ordinaires en trésorerie, reflète une gestion stratégique du capital investie, avec un poids important de ces actions en trésorerie, impliquant des opérations telles que le rachat ou la gestion du capital social.