Structure du bilan : passif et capitaux propres
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Marriott International Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31).
- Tendances concernant la proportion à court terme de la dette à long terme
- La proportion de la portion à court terme de la dette à long terme par rapport au passif et aux capitaux propres fluctue au fil du temps. Elle atteint un pic notable en septembre 2015 à environ 10 %, avant de diminuer fortement en décembre 2016 à environ 1,28 %. Par la suite, cette proportion reste généralement faible, oscillant autour de 1 à 4 %, avec une remontée sensible en juin 2020 à 6,51 %, probablement en lien avec une augmentation à court terme de la dette ou des changements dans la gestion de la structure financière.
- Tendances relatives aux comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs représentent une part stable mais légèrement variable du passif, avec une tendance à la baisse en fin de période. Leur pourcentage fluctue entre environ 8,88 % au début et 3,28 % en mars 2020, indiquant une possible gestion plus stricte de ces passifs ou des changements dans le cycle d'approvisionnement et de paiement.
- Evolution de la masse salariale et des avantages sociaux accumulés
- Ce poste représente une part significative du passif, variant entre 11,16 % en mars 2015 et 5,35 % en mars 2020. La tendance montre une baisse progressive, indiquant peut-être une amélioration de la gestion des obligations sociales ou une réduction des accumulations, avec un pic en décembre 2015 à 14,16 %.
- Responsabilité pour le programme de fidélisation des clients
- Ce passif, qui constitue une part croissante puis décroissante, augmente de façon marquée jusqu'en juin 2016 (16,55 %), puis décroît pour atteindre environ 6,07 % en décembre 2018, avant de remonter à 16,81 % en septembre 2019. Cette évolution reflète probablement les ajustements dans les estimations ou dans la gestion des obligations liées à la fidélisation.
- Charges à payer et autres charges
- Ce poste affiche une relative stabilité, restant autour de 4,06 % à 9,88 % du passif. La tendance générale indique une gestion cohérente sans variations majeures sur la période, avec un léger fléchissement vers la fin du cycle.
- Part du passif à court terme
- La part du passif à court terme montre une tendance à la hausse, passant de 44,54 % en mars 2015 à un sommet de 27,16 % en septembre 2018, puis fluctuant légèrement autour de 23 à 26 %, ce qui peut indiquer une augmentation de l'endettement à court terme ou une modification dans la structure des échéances.
- Dette à long terme, hors partie courante
- Ce poste représente une majorité importante du passif, généralement entre 32 % et 64 %, avec une tendance à l'augmentation progressive, passant de 54,43 % en mars 2015 à environ 41,37 % fin 2019. La légère hausse après 2017 pourrait signaler de nouvelles émissions ou refinancements à long terme.
- Responsabilité pour le programme de fidélisation (part à long terme)
- Ce ratio est stable autour de 25 % à 26 %, mais montre une augmentation significative à 16,81 % en septembre 2019, ce qui peut illustrer une réévaluation des engagements ou un ajustement comptable de ces passifs à long terme.
- Passifs d’impôts différés
- Ces passifs apparaissent à partir de 2016, avec une tendance à la baisse régulière, passant d’un maximum de 5,23 % en juin 2016 à environ 1,16 % à la fin de la période analysée. Cette diminution pourrait signaler une réduction des différences temporaires ou une amélioration de la situation fiscale.
- Produits reportés
- Ce poste, concernant les revenus différés, apparaît à partir de 2017 avec une proportion stable autour de 3 %, ce qui reflète une gestion cohérente de ces produits à long terme.
- Passifs non courants liés aux contrats de location-exploitation
- Ce ratio reste stable autour de 3,5 %, témoignant d'une structure de passif de location stable et prudente.
- Autres passifs non courants
- Ce poste montre une tendance à la baisse, passant de 13,24 % en 2015 à environ 8,88 % en septembre 2018, avec une stabilisation vers la fin, ce qui pourrait indiquer une gestion plus rigoureuse ou la réduction des engagements hors bilan.
- Passifs non courants dans leur ensemble
- Ils représentent une majorité du passif à partir de 2016, avec une tendance à l'augmentation, atteignant environ 74,57 % en septembre 2020, accentuant la prédominance de passifs à long terme dans la structure financière de l'entreprise.
- Total du passif
- La proportion du passif dans la structure totale a augmenté de manière significative, passant d'environ 137 % en 2015 à près de 100 % en mars 2020, reflétant un renforcement de la structure de financement externe ou une augmentation du passif global.
- Capital et réserves
- Le capital versé supplémentaire et les bénéfices non répartis connaissent une croissance constante, leur part étant stabilisée autour de 23 % à 38 %. Cette évolution indique une accumulation de réserves et un renforcement du fonds propre de l’entreprise.
- Stock de trésorerie
- Ce poste est particulièrement négatif, avec un ratio allant jusqu’à -57,42 % en septembre 2019, traduisant une situation où la trésorerie nette est fortement en déficit, ce qui pourrait refléter un endettement élevé ou une politique de liquidités défavorable avancée.
- Cumul des autres éléments du résultat étendu
- Ce poste demeure relativement stable autour de -2 %, avec quelques variations mineures, ce qui indique une stabilité dans les éléments de résultat étendu hors résultat net.
- Capitaux propres (déficit)
- Une évolution dramatique est observable : de valeurs négatives proches de -58 % en 2015, l’indicateur s’améliore sensiblement, passant à des valeurs positives de +9,39 % en mars 2018, puis retombe presque à zéro en 2020, témoignant d’une amélioration significative de la solvabilité et de la situation patrimoniale à partir de 2016, avant une détérioration en 2020.