Structure du bilan : passif et capitaux propres
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Starbucks Corp. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios d’activité à court terme
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Analyse des segments à présenter
- Analyse des zones géographiques
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Ratio de liquidité actuel depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2005
- Analyse de l’endettement
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-09-29), 10-K (Date du rapport : 2023-10-01), 10-K (Date du rapport : 2022-10-02), 10-K (Date du rapport : 2021-10-03), 10-K (Date du rapport : 2020-09-27), 10-K (Date du rapport : 2019-09-29).
- Évolution du passif total
- Le total du passif et du déficit est resté relativement stable en pourcentage du total des passifs et du déficit, oscillant autour de 100 %, avec une légère baisse à 123,75 % en 2024. La part du passif à long terme a diminué initialement, passant de 58,1 % en 2019 à 43,38 % en 2021, avant de se stabiliser autour de 45,69 % en 2024. En revanche, la proportion de passifs à court terme a fluctué, passant d'environ 32,1 % en 2019 à environ 28,94 % en 2024, témoignant d'une gestion ou d'une composition de passif qui tend à prolonger la durée du passif à long terme.
- Passifs à court terme
- Le poids du passif à court terme par rapport au total du passif et du déficit a connu une tendance à la baisse, passant de 32,1 % en 2019 à 28,94 % en 2024. La composition indique une réduction progressive de certains éléments, notamment la dette à court terme, qui a diminué de manière notable, passant d'une part récente à 1,49 % en 2020 à une valeur très faible en 2024. La portion à court terme du passif lié aux contrats de location-exploitation a connu une hausse relative, atteignant 4,67 % en 2024, reflétant probablement une tendance à la contractualisation à long terme ou une révision des contrats existants.
- Dettes et obligations financières
- La dette à long terme, excluant la partie courante, a montré une tendance à la baisse, représentant 58.1 % en 2019 jusqu’à environ 45,69 % en 2024. La dette à court terme a connu une réduction importante, en particulier la dette à court terme, qui est presque inexistante en 2024. La portion à court terme de la dette à long terme a vu une hausse en 2022, mais a diminué à 3,99 % en 2024. Ces évolutions indiquent une tendance à la refinanciation ou à une maturation progressive des dettes, avec une orientation vers une gestion à plus long terme.
- Produits reportés et autres passifs à long terme
- Les produits reportés, représentant une part significative du passif (autour de 20 % en 2024), ont connu une diminution progressive de leur poids, passant de 35.09 % en 2019 à 19.03 % en 2024. Parallèlement, les autres passifs à long terme ont connu une réduction de leur poids, atteignant 2,09 % en 2024. La tendance générale reflète une réduction des passifs différés, probablement en lien avec une gestion des revenus et obligations différés ou une réalisation de certains passifs.
- Éléments liés aux capitaux propres et déficits
- Le déficit retenu a été en diminution en valeur relative, passant de -30.03 % en 2019 à -23.43 % en 2024, indiquant une amélioration progressive de la situation déficitaire. Le capital versé supplémentaire a connu une certaine fluctuation, oscillant autour de 0,13 % à 2,7 %, sans tendance très claire. La part du déficit total est restée significative, bien que son pourcentage ait diminué, témoignant d'une amélioration dans la gestion du résultat accumulé et de la structure financière globale.
- Observations générales
- Les données indiquent une rationalisation de la structure du passif, avec une réduction notable de l’endettement à court terme et une stabilisation relative de la proportion de passifs à long terme. La diminution progressive du passif à court terme, combinée à une augmentation relative des éléments à long terme, pourrait refléter une stratégie de gestion de la maturité des dettes. La réduction du déficit et la baisse des passifs différés montrent une tendance vers un meilleur équilibre financier. Enfin, la stabilité ou la légère baisse des éléments de passif liés aux contrats de location-exploitation et aux produits reportés indique une gestion attentive de ces obligations à long terme et des passifs différés associés.