Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Steel Dynamics Inc., structure du bilan consolidé : passifs et capitaux propres (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendances générales des comptes fournisseurs
- La proportion de comptes fournisseurs, tant parties non liées que parties liées, présente une certaine stabilité relative, oscillant autour de 7,68 % à 10,99 % pour les parties non liées, avec une légère augmentation vers la fin de la période analysée. La part des comptes fournisseurs liés reste faible, autour de 0,08 % à 0,25 %, indiquant une faible dépendance à l’égard de parties liées dans la gestion des crédits fournisseurs.
- Évolution des comptes créditeurs
- La part des comptes créditeurs dans le passif total montre une tendance à la hausse vers la fin de la période, passant d’environ 7,92 % à 8,3 %, atteignant un pic à 11,2 % en septembre 2018, puis une stabilité à un niveau supérieur par rapport au début. Cela indique une augmentation progressive de cette ligne de passif, contribuant potentiellement à la gestion du fonds de roulement.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Cette ligne présente une évolution hétérogène : une baisse significative en 2017, puis une fluctuation avec des pics en 2018 et 2019 avant une augmentation notable à partir de 2020, culminant à 1,76 % en juin 2022. La tendance indique une variabilité des obligations fiscales courantes, potentiellement en relation avec des changements de bénéfice imposable ou de modalités de paiement.
- Masse salariale et avantages sociaux accumulés
- Cette composante montre une tendance à la hausse progressive, passant de 1,59 % en mars 2017 à environ 3,88 % en septembre 2022. La croissance soutenue suggère une augmentation des charges sociales ou des avantages sociaux provisionnés, reflétant une augmentation de l’effectif ou des rémunérations.
- Intérêts courus
- Les intérêts courus présentent une tendance à la baisse, passant d’environ 0,76 % en mars 2017 à 0,13 % en septembre 2022. Cette baisse peut indiquer une réduction de la charge d’intérêts ou une gestion plus efficiente des financements à long terme.
- Charges à payer
- Les charges à payer connaissent une croissance régulière, avec une augmentation progressive de 1,63 % en mars 2017 à 2,3 % en septembre 2022. Cette tendance pourrait signaler une augmentation des obligations à court terme ou une décalage dans la reconnaissance des charges.
- Échéances actuelles de la dette à long terme
- Le pourcentage lié à cette ligne reste relativement stable, avec une augmentation notable en 2017 et 2018, puis une diminution à partir de 2019. La tendance indique une réduction des échéances de dette à long terme à court terme, témoignant d’un possible refinancement ou d’une gestion proactive du calendrier de remboursement.
- Passif à court terme et dette à long terme hors échéances courantes
- Le passif à court terme montre une tendance à la stabilisation autour de 13,15 % à 17,81 %, tandis que la part des dettes à long terme hors échéances courantes diminue progressivement, passant de près de 35,11 % en mars 2017 à environ 21,44 % en septembre 2022. Cela reflète un programme d’apurement ou de rééchelonnement de la dette à long terme.
- Impôts différés
- Les impôts différés restent relativement stables à environ 6 %, avec une légère montée vers la fin de la période, reflétant potentiellement des différences temporaires dans la reconnaissance comptable des impôts ou des changements dans les méthodes d’amortissement fiscal.
- Autres passifs et passifs non courants
- Les autres passifs connaissent une hausse modérée, tandis que la proportion de passifs non courants diminue légèrement en pourcentage, passant de 42,18 % en mars 2017 à 28,34 % en septembre 2022, occupant désormais une part moindre dans la structure passive, possiblement en raison de remplacements ou de remboursements.
- Total du passif
- La part du total du passif dans le passif et les capitaux propres fluctue un peu, mais montre une tendance à la baisse en pourcentage, passant de 55,33 % en mars 2017 à 43,51 % en septembre 2022, suite à une croissance des capitaux propres.
- Participations ne donnant pas le contrôle et participations ne donnant pas le contrôle rachetables
- Les participations hors contrôle évoluent légèrement, avec une dominante à environ 1,6 %, tandis que leur part relative diminue sur le temps ; cela pourrait refléter une réduction ou une vente progressive de ces participations.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres augmentent constamment en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, passant de 43,01 % en mars 2017 à 55,26 % en septembre 2022. Une tendance positive favorise la stabilité financière et la solvabilité de l’entreprise, notamment via une croissance des bénéfices non répartis, passant de 35,41 % à 76,88 %, ce qui indique une capacité à générer et à accumuler des résultats positifs.
- Stock de trésorerie
- Le stock de trésorerie représente une part négative, avec une tendance à l’augmentation de la détention de trésorerie, allant de -7,09 % à -28,81 % du total du passif et des capitaux propres. Ceci témoigne d’une accumulation de réserves de liquidités ou de placements financiers, mais également d’un impact négatif sur la structure relative du passif en raison d’effets comptables ou de stratégies de gestion de trésorerie.