Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31), 10-K (Date du rapport : 2013-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-03-31), 10-K (Date du rapport : 2012-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2012-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2012-03-31), 10-K (Date du rapport : 2011-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2011-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2011-03-31).
- Tendances générales du passif
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Au fil de la période analysée, la proportion du total du passif et des capitaux propres représentée par le passif total a connu une augmentation, passant d'environ 41,2-42,0 % en 2011 à près de 51,9 % à la fin de l'année 2016. Cette progression indique une augmentation relative des dettes ou autres obligations financières par rapport aux capitaux propres, suggérant un recours accru à l'endettement pour financer l'activité de l'entreprise ou pour d'autres fins stratégiques.
Plus particulièrement, la part du passif non courant a connu une légère hausse, en particulier à partir de 2011, atteignant environ 24,4 % en 2016, ce qui témoigne d’un recours accru à des financements à long terme, contre une stabilité ou une légère variation dans la part du passif à court terme, qui reste globalement stable en dessous de 5 % à la fin de la période.
- Variation des composantes de liquidités et dettes à court terme
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Les comptes créditeurs et charges à payer, éléments clés des obligations à court terme, ont présenté des tendances inverses : alors que la proportion de comptes créditeurs a fluctué légèrement sans tendance claire, variant entre 2,27 % et 3,7 %, la part des charges à payer a généralement diminué, passant d'environ 6,56-7,27 % en 2011 à environ 5,86-6,51 % en 2015-2016. La stabilité ou la légère baisse dans ces postes pourrait indiquer une gestion prudente du fonds de roulement ou une réduction de certaines obligations à court terme.
La dette à court terme a été présente principalement à la fin de la période, avec une augmentation notable à partir de 2015 (environ 2,02-4,34 %), ce qui pourrait refléter un accroissement de la dépendance à des financements de court terme durant cette période.
- Évolution des produits reportés et des impôts
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Les produits reportés, représentant une part importante du passif, ont fluctué mais tendent globalement à augmenter, passant d’environ 10,1-10,2 % en 2011 à environ 13,7-14,7 % en 2015-2016. Cette hausse peut indiquer une augmentation des revenus différés, potentiellement liée à des activités ou contrats qui génèrent des revenus futurs reconnus ultérieurement.
Concernant les impôts sur les bénéfices à payer, leur proportion a été variable, avec une hausse notable vers la fin de la période, atteignant près de 1,04 % en 2016. Cette évolution pourrait marquer une augmentation des obligations fiscales immédiates ou différées.
- Dette long terme et autres passifs
- La dette à long terme a constitué une part stable oscillant autour de 12 %, permettant de signaler une politique de financement à long terme constante. Les autres passifs, quant à eux, ont montré une légère croissance, passant de 0,75-0,8 % en 2011 à environ 1-1,06 % en 2016, suggérant une diversification ou une augmentation des obligations annexes.
- Éléments propres et capitaux propres
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Les capitaux propres, représentant la majorité du passif total, ont connu une tendance à la baisse, passant d’environ 58,78-59,05 % en 2011 à environ 48,06-51,67 % en 2016. La croissance des participations ne donnant pas le contrôle, passant de 2,58 % à 4,31 %, indique une augmentation des investissements ou des participations dans d’autres entités où l’entreprise n’exerce pas un contrôle total.
Les bénéfices non répartis ont montré une stabilité relative, oscillant entre 45 % et 49 % tout au long de la période, ce qui reflète une politique de distribution ou de rétention des bénéfices conservatrice ou équilibrée.
- Résumé global
- En résumé, l'entreprise a modifié sa structure financière avec une augmentation progressive de la part du passif dans sa composition totale, tout en maintenant une majorité de capitaux propres. La croissance de la dette à long terme et la diversification des passifs indiquent une stratégie d’endettement à long terme, tandis que la stabilité relative des bénéfices non répartis montre une gestion équilibrée de la rentabilité. La gestion de trésorerie semble également prudente, avec une stabilité dans certains postes d’obligations, mais une augmentation à terme des engagements à court terme vers la fin de la période analysée.