Structure du bilan : actif
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-10-31), 10-K (Date du rapport : 2017-10-31), 10-K (Date du rapport : 2016-10-31), 10-K (Date du rapport : 2015-10-31), 10-K (Date du rapport : 2014-10-31), 10-K (Date du rapport : 2013-10-31).
- Trésorerie et équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie et des équivalents de trésorerie par rapport à l’actif total a augmenté de manière significative entre 2013 et 2016, passant d'environ 11,51 % à 21,68 %. Cependant, elle a ensuite connu une baisse notable pour atteindre 14,92 % en 2018, ce qui pourrait indiquer une diminution de la liquidité en proportion du bilan global à cette date.
- Débiteurs, montant net
- La part des débiteurs par rapport à l’actif total a connu une légère diminution de 15,02 % en 2013 à 12,5 % en 2015, puis a augmenté pour atteindre 14,77 % en 2018. Cette évolution suggère une stabilité relative dans la gestion des créances, avec une légère tendance à la hausse en fin de période.
- Financement des créances
- La part des créances financées par l'entreprise est restée stable autour de 2,8 % à 3 %, enregistrant peu de variation notable, ce qui indique une gestion constante des financements des créances dans le cadre de la structure d’actif.
- Inventaire
- La proportion d'inventaire a connu une augmentation importante, passant de 5,72 % en 2013 à 17,51 % en 2018. Cette tendance peut refléter une accumulation accrue de stocks ou une gestion différente des actifs circulants, pouvant influencer la liquidité immédiate et la rotation des stocks.
- Taxes sur la valeur ajoutée à recevoir
- La part relative de la TVA à recevoir est restée relativement stable, autour de 2,1 à 2,74 %, indiquant une gestion constante des taxes à récupérer.
- Placements disponibles à la vente
- Ces placements, absents de 2013 à 2015, ont représenté 3,49 % de l’actif total en 2016 puis ont diminué à 2,05 % en 2018. Leur apparition à partir de 2016 indique une nouvelle stratégie d’investissement ou d’utilisation de liquidités non immédiates.
- Fournisseurs et autres créances
- La proportion a légèrement diminué de 2,44 % en 2013 à 2,3 %, puis a augmenté de façon importante en 2016 et 2017, atteignant 5,85 % en 2018. Cela pourrait refléter une augmentation des dettes fournisseurs ou autres créances à court terme en fin de période.
- Actifs prépayés et autres actifs à court terme
- Une stabilité relative est observée, autour de 3,7 à 4,38 %, indiquant une gestion constante des actifs à court terme liés aux dépenses payées d’avance ou autres actifs similaires.
- Actifs d’impôts différés
- Une baisse significative de leur part a été enregistrée de 3,68 % en 2013 à 2,1 % en 2015, puis une augmentation notable à 7,02 % en 2018. Cette évolution indique une modification dans la reconnaissance des actifs fiscaux différés, notamment en fin de période.
- Autres actifs circulants
- La part de ces actifs a connu une augmentation progressive, passant de 12,43 % en 2013 à 14,57 % en 2018, indiquant une diversification ou une augmentation de certains actifs à court terme non classés ailleurs.
- Actif circulant
- Le pourcentage global de l’actif circulant a augmenté de 47,66 % en 2013 à un pic de 67,81 % en 2017, avant de diminuer à 61,77 % en 2018. Cette évolution signale une forte concentration de ressources à court terme, notamment en 2017, avec une légère réduction en 2018.
- Immobilisations corporelles
- La part des immobilisations corporelles a diminué de 10,85 % en 2013 à 5,71 % en 2018, marquant une désinvestissement progressif ou une dépréciation de ces actifs au fil du temps.
- Survaleur
- La survaleur a représenté une part importante de l’actif total en 2013 (29,45 %), avec une légère baisse en 2017 (17,08 %) puis une stabilisation à 17,24 %. Cette tendance reflète une dépréciation potentielle ou une réalisation de cette valeur dans le bilan.
- Incorporelles
- Les actifs incorporels, excédant peu de points de pourcentage, ont vu leur part diminuer de 3 % en 2013 à des valeurs inférieures en 2014 et 2015, témoignant d’une gestion ou d’une dévaluation progressive de ces actifs.
- Créances de financement, montant net
- Les créances de financement en pourcentage de l’actif total ont oscillé autour de 3,5 %, sans tendance claire marquée, suggérant une gestion stable de ces créances.
- Indemnités fiscales à recevoir
- Ce poste est absent de 2013 à 2015 pour réapparaître en 2017 à 5,15 %, puis en 2018 à 2,75 %, témoignant d’une variation dans la comptabilisation ou la reconnaissance de ces indemnités fiscales.
- Actifs d’impôts différés (autre mention)
- Une augmentation notable de leur part est observée en 2018, passant à 7,02 %, indiquant une reconnaissance accrue d’actifs fiscaux différés, probablement liée à une évolution des stratégies fiscales ou à des changements dans la situation fiscale.
- Coûts reportés
- Une tendance à la baisse est perceptible, passant de 0,95 % en 2013 à une valeur inférieure en 2015, avant de disparaître, ce qui peut indiquer la réalisation ou l’amortissement de certains coûts différés.
- Autre
- Ce poste a montré des fluctuations comprises entre 3,15 % en 2013 et 4,87 % en 2018, signalant une diversification ou une évolution dans la composition des autres actifs à court terme.
- Autres actifs non courants
- Une croissance progressive est notable, passant de 5,37 % en 2013 à 14,64 % en 2018, soulignant une évolution vers des actifs non courants ou une réévaluation à la hausse de certains actifs différés ou autres investissements à long terme.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants dans l’actif total a diminué de 52,34 % en 2013 à 32,19 % en 2017, avant de remonter à 38,23 % en 2018, illustrant une redistribution vers ces types d’actifs ou une réévaluation à la hausse de certains éléments non courants.
- Total de l’actif
- La répartition en pourcentage de l’actif total a été relativement stable, étant toujours égale à 100 %, bien que la composition des postes ait connu des variations notables, notamment entre actifs circulants et non courants, et dans la valorisation des actifs spécifiques.