Structure du compte de résultat
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
HP Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État des résultats
- État du résultat global
- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de liquidité
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2005
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2018-10-31), 10-K (Date du rapport : 2017-10-31), 10-K (Date du rapport : 2016-10-31), 10-K (Date du rapport : 2015-10-31), 10-K (Date du rapport : 2014-10-31), 10-K (Date du rapport : 2013-10-31).
- Évolution du chiffre d’affaires net
- La croissance du chiffre d’affaires net est constante à 100 % pour toutes les périodes, indiquant que les montants absolus restent proportionnels d’une année à l’autre, sans fluctuation relative dans cette mesure.
- Coût des revenus
- Le coût des revenus, en pourcentage du chiffre d’affaires, affiche une tendance à la hausse, passant de 76,92 % en 2013 à 81,75 % en 2018. Cette augmentation indique une dégradation de la marge brute, puisqu’elle tend à diminuer, passant de 23,08 % à 18,25 %, ce qui suggère une expansion du coût pour générer le même niveau de ventes.
- Marge brute
- La marge brute évolue de façon décroissante, passant d’un pic de 23,88 % en 2014 à 18,25 % en 2018. La réduction de cette marge témoigne d’une pression sur la rentabilité brute, principalement liée à la hausse des coûts de revenus.
- Frais liés à la recherche et développement
- Les dépenses en recherche et développement, en pourcentage du chiffre d’affaires, restent relativement faibles et stables, oscillant autour de -2,4 %, avec une légère augmentation en 2014 et une stabilité globalement contrôlée par rapport à la période précédente.
- Frais de vente, général et administratif
- Les charges dans cette catégorie représentent entre 8,31 % et 11,98 % du chiffre d’affaires sur la période, montrant une certaine stabilité mais aussi une tendance à une légère augmentation. Ces charges ont un impact modéré sur la rentabilité opérationnelle.
- Charges exceptionnelles et restructuration
- Les charges liées à la restructuration et autres charges fluctuent, étant parfois faibles (autour de -0,23 % en 2018), avec une tendance à la baisse pour cette période. Leur incidence est donc relativement limitée mais contribue à la variabilité des résultats opérationnels.
- Charges liées à l’acquisition et amortissements
- Les charges liées à l’acquisition et à l’amortissement des immobilisations incorporelles sont faibles en pourcentage, avec des valeurs faibles ou nulles en 2016. Les amortissements, notamment, diminuent en 2016, puis réaugmentent légèrement, impactant le résultat d’exploitation.
- Résultat d’exploitation
- Le bénéfice d’exploitation oscille autour de 5,29 % à 7,36 %, atteignant un sommet en 2016. La stabilité de cette marge indique une capacité à maintenir une rentabilité opérationnelle malgré la hausse des coûts de revenus.
- Charges financières et autres éléments
- Les charges d’intérêts sur emprunts évoluent à la baisse, passant de -0,38 % en 2013 à -0,53 % en 2018. La charge pour la perte à l’extinction de la dette apparaît uniquement en 2018 avec -0,22 %. Les autres charges et intérêts poursuivent une tendance négative, notamment avec une hausse notable des intérêts et autres en 2018 (-1,8 %), reflétant peut-être une augmentation de la charge financière globale.
- Résultat avant impôts et profitabilité
- Le bénéfice avant impôts présente une tendance fluctuante, avec une baisse significative en 2015, puis une reprise en 2016. La période est caractérisée par une volatilité, mais le bénéfice net lié aux activités poursuit généralement une trajectoire stable, avec une mention notable en 2018 où il atteint 9,11 %, la valeur la plus élevée de la période.
- Impôts et résultat net
- Les provisions pour bénéfices d’impôts varient fortement, passant d’un impact négatif à un avantage en 2018 (+3,96 %), signalant une amélioration de la situation fiscale ou une optimisation fiscale accrue. Le résultat net lié aux activités poursuivies reflète une stabilité relative jusqu'en 2017 puis une forte progression en 2018, atteignant également 9,11 %, ce qui témoigne d’une amélioration notable de la rentabilité finale de l’entreprise à cette date.
- Résultat global
- En résumé, la période de 2013 à 2018 montre une augmentation globale des charges, une pression sur la marge brute, mais aussi une capacité à maintenir voire à améliorer la rentabilité nette en fin de période, notamment en 2018 où la rentabilité atteint son niveau maximal dans cette série de données.