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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendances générales de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de la trésorerie par rapport à l'actif total a connu une fluctuation significative, culminant à 11,56 % à la fin de 2017, avant de disparaître brièvement en 2018 pour atteindre 1,88 %. Par la suite, la proportion oscille dans une plage relativement faible, généralement autour de 3 à 5 %, indiquant une stabilité relative après la période de pic en 2017. Cette variation suggère une gestion variable de la liquidité à court terme au fil du temps.
- Évolution des débiteurs nets
- Les débiteurs nets ont montré une tendance à la hausse progressive, passant d’environ 3,38 % en mars 2017 à une valeur maximale de 9,39 % à la fin de septembre 2022. Cette augmentation indique une accumulation croissante de créances clients ou d’autres actifs liés aux débiteurs, ce qui pourrait refléter une stratégie de crédit ou une croissance du volume commercial, mais aussi potentiellement une augmentation du risque crédit ou un décalage dans la collecte.
- Évolution des inventaires
- La part des inventaires dans l’actif total a augmenté de manière continue sur la période, passant d’environ 8,97 % à 15,18 % en septembre 2022. La croissance progressive indique une accumulation d’inventaires, pouvant résulter d’une stratégie d’approvisionnement accrue, de difficultés à écouler les stocks ou d’une anticipation de la demande. La tendance à la hausse est constante, ce qui paraît significatif sur le plan de la gestion des stocks.
- Autres actifs circulants
- Cette catégorie a connu des fluctuations mais dans une amplitude limitée, oscillant généralement entre 1,28 % et 2,62 %. La proportion relative a peu évolué, indiquant une stabilité dans la composition des autres actifs circulants, sans tendance claire à la hausse ou à la baisse sur la période.
- Actif circulant global
- La part de l’actif circulant a augmenté de manière notable, passant d'environ 18,81 % en mars 2017 à 30,43 % en septembre 2022. Cette progression est principalement attribuable à l’accroissement des débiteurs et des inventaires, signalant une extension de la cycle d’exploitation ou une augmentation de la liquidité circulante pour soutenir la croissance de l’activité, mais aussi une potentielle augmentation des fonds immobilisés dans le cycle d’exploitation.
- Immobilisations corporelles
- La proportion des immobilisations corporelles a montré une tendance à la stabilité, oscillant autour de 54 % à 60 %, avec une légère baisse vers la fin de la période, culminant à 60,57 % en décembre 2019, puis en rayure à environ 52,4 % en septembre 2022. Cette stabilité relative suggère une politique d’investissement constante dans les actifs corporels, avec une tendance à la désinvestissement ou à une réduction progressive de la part de l’actif immobilisé à partir de 2020.
- Investissements dans des sociétés non consolidées
- Cette composante a maintenu une faible part, autour de 3 à 6 %, avec une légère diminution au fil du temps. La stabilité relative indique une politique d’investissement conservatrice ou stable dans des participations non consolidées, sans évolution majeure signalant un changement de stratégie.
- Survaleur
- La part de la survaleur dans l’actif total a connu une tendance à la baisse, passant de environ 9,59 % en mars 2017 à environ 4,84 % à la fin de la période. La diminution indique un amortissement ou une dépréciation progressive de ces actifs immatériels ou intangibles, reflétant une réduction de leur contribution à la valeur totale de l’actif.
- Impôts différés
- La proportion d’impôts différés a diminué, passant d’environ 4,74 % en mars 2017 à 3,41 % en septembre 2022, avec des fluctuations intermédiaires. Cette tendance peut traduire une réduction des différences temporaires ou une amélioration de la situation fiscale de l’entreprise.
- Autres actifs
- Les autres actifs ont présenté une stabilité relative, oscillant autour de 6 à 7 %, sans tendance nette d’augmentation ou de diminution, suggérant une gestion régulière de cette composante d’actifs.
- Synthèse de la composition de l’actif total
- La proportion d’actifs non courants a fluctué entre environ 69,57 % et 82,21 %, avec une tendance générale à la baisse observée à partir de 2020, indiquant une volonté relative de réduire la part de l’actif immobilisé ou d’accroître la proportion d’actifs circulants en période récente. La fluctuation de cette composante reflète une gestion dynamique de la structure d’actif, probablement en réponse à des stratégies d’investissement ou de désinvestissement.
- Remarques générales
- Dans l’ensemble, la société a montré une augmentation progressive de la part des actifs circulants, principalement en raison de l’accroissement des débiteurs et des inventaires. La stabilité relative des immobilisations corporelles et des investissements dans des sociétés non consolidées indique une politique plutôt conservatrice dans ces domaines. La diminution de la survaleur et la réduction progressive des impôts différés suggèrent un déclin ou une dépréciation des actifs immatériels ou différés. La gestion de la structure d’actifs semble évoluer vers une augmentation de la liquidité circulante, tout en réduisant la dépendance à certains actifs non courants à la fin de la période. Ces tendances doivent être analysées dans le contexte de la performance opérationnelle et des stratégies globales de l’entreprise pour obtenir une interprétation plus précise des implications financières.