Structure du bilan : actif
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- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Rapport valeur/ EBITDA d’entreprise (EV/EBITDA)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Rapport cours/valeur comptable (P/BV) depuis 2005
- Ratio prix/chiffre d’affaires (P/S) depuis 2005
- Analyse de l’endettement
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Évolution de la trésorerie et des équivalents de trésorerie
- La proportion de trésorerie par rapport à l’actif total a connu une forte baisse entre 2017 et 2019, passant de 11,56 % à 2,69 %. Elle a ensuite connu une légère remontée à partir de 2020 pour atteindre 3,49 % en 2021, indiquant un recul de la liquidité immédiate relative de l'entreprise.
- Évolution des créances, montant net
- Les créances représentaient 3,45 % de l’actif total en 2017, puis ont augmenté progressivement pour atteindre un maximum de 6,95 % en 2021. Cette tendance suggère une augmentation de l’importance des créances clients ou autres créances à long terme, ce qui peut indiquer une extension des crédits accordés ou une croissance des activités à crédit.
- Évolution des inventaires
- Les inventaires ont représenté 8,3 % de l’actif total en 2017, puis ont connu une hausse significative jusqu’à dépasser 12 % en 2021. La croissance des inventaires indique probablement un stockage accru de marchandises ou de matières premières, ce qui peut résulter d’une anticipation d’une augmentation de la demande ou d’une gestion de stock accrue.
- Autres éléments de l’actif circulant
- Certains éléments, comme les impôts à recevoir, la dépense payée d’avance, et d’autres actifs circulants, ont maintenu une part stable ou légère fluctuation, sauf pour les impôts à recevoir qui ont diminué en 2021 à 0,57 %. La part d’autres actifs circulants a légèrement diminué en 2021, témoignant d’une stabilisation ou d’un recentrage sur d’autres catégories d’actifs.
- Évolution de l’actif circulant
- Sa part dans l’actif total a diminué de 24,78 % en 2017 à 17,79 % en 2020, avant de remonter à 24,17 % en 2021. Cette fluctuation reflète une gestion active des liquidités et des actifs à court terme, avec une augmentation significative en 2021 évoquant une mobilisation ou un déploiement accru de ressources liquides ou à court terme.
- Immobilisations corporelles
- Les immobilisations corporelles ont représenté la majorité de l’actif en 2017 (52,12 %), avec une augmentation à 60,57 % en 2019, avant un léger recul à 56,61 % en 2021. La tendance indique une forte dépendance à des investissements en immobilisations physiques, qui représentent une part importante de l’actif de l’entreprise.
- Investissements dans des sociétés non consolidées et survaleur
- Ces éléments ont connu une baisse relative, passant respectivement de 5,85 % puis 9,09 % en 2017 à environ 3,14 % puis 5,32 % en 2021. La diminution des investissements dans des sociétés non consolidées et de la survaleur dans l’actif total peut indiquer une réduction de la tension sur ces actifs ou une cession de certains investissements.
- Impôts différés
- Les impôts différés ont montré une augmentation significative à partir de 2019, atteignant 5,96 %, puis une baisse en 2021 à 4,52 %. Leur évolution traduit des modifications dans la projection fiscale ou dans la reconnaissance des avantages fiscaux futurs.
- Actifs soumis à restrictions et autres actifs circulants
- Les actifs soumis à restrictions ont diminué, passant de 0,17 % en 2017 à 0,04 % en 2021, tandis que d’autres actifs circulants ont fluctué légèrement, indiquant une gestion prudente des actifs immobilisés ou restreints et une stabilité relative pour d’autres catégories circulantes.
- Actifs au titre du droit d’utilisation et actifs d’indemnisation
- Ces actifs ont été introduits à partir de 2019, représentant une petite part de l’actif en 2020 (0,87 %), puis en diminution en 2021 (0,55 %). Leur présence témoigne de l’adoption de nouvelles normes comptables ou de stratégies axées sur la gestion du droit d’utilisation et des indemnités.
- Créances à long terme
- Les créances à long terme ont connu une réduction progressive, passant de 0,46 % en 2018 à 0,19 % en 2021. La tendance traduit une diminution dans la détention de créances longues, probablement en ligne avec une stratégie de limitation du risque ou un recouvrement accru à court terme.
- Actifs non courants
- La part des actifs non courants a augmenté de 75,22 % en 2017 à une pointe de 82,21 % en 2020, avant de revenir à 75,83 % en 2021, témoignant d’une forte dépendance historique à des actifs non courants et d’une relative stabilisation de leur proportion dans l’actif total à la fin de la période.
- Résumé général
- Globalement, la structure de l’actif de l’entreprise indique une concentration importante sur les immobilisations corporelles, avec une part stable mais quelque peu volatile des actifs circulants. La gestion des liquidités a connu des fluctuations, avec une tendance à un contrôle plus strict en 2019, suivie d’une reprise en 2021. La croissance des créances et des inventaires suggère une expansion des activités ou une gestion accrue du crédit et des stocks. La présence de nouvelles catégories d’actifs, telles que le droit d’utilisation ou les actifs d’indemnisation, indique une adaptation aux nouvelles normes comptables et stratégiques. La réduction des investissements dans des sociétés non consolidées et la stabilisation de certains actifs démontrent une gestion orientée vers la limitation des risques et la rationalisation des actifs.