Structure du compte de résultat
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-03-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-03-31), 10-K (Date du rapport : 2014-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-03-31).
- Tendance des ventes nettes de produits
- Les ventes nettes de produits ont été maintenues à 100 % dans toutes les périodes, ce qui indique qu'elles constituent la référence pour l’analyse des autres indicateurs financiers.
- Évolution du coût des biens vendus (CBV)
- Le coût des biens vendus en pourcentage des ventes a présenté une tendance généralement stable, fluctuant autour de -3,4 % à -5,4 %. On observe une légère augmentation vers la fin de la période, avec une valeur de -3,7 % en septembre 2019, comparée à une période précédente plus faible, mais aucune tendance claire de progression ou de diminution significative.
- Marge brute
- La marge brute a été relativement stable, oscillant entre 94,96 % et 96,69 %. Sur l'ensemble de la période, cette marge a montré une certaine constance, indiquant un contrôle efficace des coûts de production et de la rentabilité brute en pourcentage des ventes.
- Autres revenus
- Les autres revenus ont connu des fluctuations importantes. Après une augmentation notable en décembre 2017 (1,21 %), ils ont rapidement chuté à des niveaux faibles ou négatifs, puis ont brièvement augmenté à plusieurs reprises, culminant à 0,86 % en juin 2019. Depuis lors, ils ont retrouvé une stabilité faible, autour de 0,02 à 0,04 %, indiquant une contribution marginale à la rentabilité globale.
- Dépenses de recherche et développement
- Les dépenses de recherche et développement en pourcentage des ventes ont été très variables, avec une forte hausse en septembre 2017 (78,7 %) et en décembre 2017 (41,03 %), suivie d'une nette réduction vers 25-30 % à partir de 2018. La tendance générale montre une réduction relative de l'investissement en R&D en proportion des ventes, même si des pics interviennent, signalant une possible réallocation ou gestion stratégique de ces coûts.
- Frais de vente, général et administratif
- Ces coûts ont été relativement stables, oscillant généralement entre -17 % et -29 %, avec une moyenne proche de -20 %. Une légère amélioration est notable en décembre 2017 (-18,52 %) et juin 2019 (-18,03 %), reflétant probablement une gestion plus efficiente ou une réduction des coûts opérationnels dans ces domaines.
- Amortissement des immobilisations incorporelles
- Les amortissements ont principalement varié entre -2,24 % et -6,37 %, avec une tendance à la stabilité à partir de 2018, vers 2,4-3,4 %. La hausse ponctuelle observée en septembre 2016 (-6,37 %) pourrait correspondre à de nouvelles acquisitions ou à des ajustements comptables.
- Produits et charges liés aux acquisitions/integrations
- Les valeurs de cette catégorie ont été très variables, oscillant entre -10,51 % et 40,96 %. Des pics importants en décembre 2017 (+40,96 %) et en décembre 2014 (-1,83 %) indiquent des charges exceptionnelles ou des ajustements liés à des acquisitions ou restructurations. La tendance n’est pas linéaire, reflétant la nature non récurrente de ces éléments.
- Résultat d'exploitation
- Ce résultat s'est maintenu à des niveaux généralement élevés, oscillant entre 3,44 % et 50,11 %, avec une tendance à la hausse globale à partir de 2016. La période de 2014 à 2015 a connu des fluctuations mais également des valeurs abondantes, notamment autour de 40 %, indiquant une forte rentabilité opérationnelle.
- Revenus d'intérêts et de placements
- Ces revenus ont connu une croissance progressive, passant d’environ 0,21 % en septembre 2019 à 1,00 % en juin 2019, suggérant une amélioration de la performance financière liée aux placements ou investissements financiers.
- Charges d’intérêts
- Les charges d’intérêts ont été relativement stables, oscillant entre -2,14 % et -5,04 %. Des pics en septembre 2016 (-5,04 %) et en septembre 2018 (-5,04 %) indiquent des coûts d'emprunt qui ont fluctué de manière modérée au fil du temps.
- Autres produits (charges) et autres produits
- Ces éléments ont connu des variations notables, notamment une forte volatilité en 2018, avec des surplus importants en septembre (27,33 %) et en décembre (-17,1 %). La période reflète des éléments exceptionnels ou des charges de nature non récurrente, ce qui complique une interprétation claire de leur tendance à long terme.
- Bénéfice avant impôts
- Ce bénéfice a suivi une tendance globale positive, allant de -0,86 % en septembre 2015 à un maximum de 50,11 % en septembre 2019. La forte croissance vers la fin de la période indique une amélioration significative de la rentabilité opérationnelle après un début plus volatile avec des périodes de pertes ou de faiblesbénéfices.
- Provision pour impôts
- Les impôts ont été également très variables, avec des niveaux atteignant jusqu'à -34,84 % en décembre 2017, probablement en lien avec des ajustements exceptionnels ou des impacts fiscaux ponctuels. Depuis 2018, cette charge est restée relativement faible, oscillant autour de -5 %, sauf en septembre 2017 (-0,09 %), indiquant une gestion fiscale plus stable ou une optimisation fiscale accrue.
- Bénéfice net
- Le résultat net a connu une amélioration significative au fil du temps, passant d'une perte en 2017 (-2,33 % en mars 2018) à un bénéfice en septembre 2019 (+37.43 %). La progression constante témoigne d'une amélioration de la rentabilité globale, malgré quelques périodes de volatilité, notamment en 2018 avec des valeurs négatives.