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HP Inc., structure du compte de résultat consolidé (données trimestrielles)
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-31), 10-K (Date du rapport : 2018-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-01-31), 10-K (Date du rapport : 2017-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-01-31), 10-K (Date du rapport : 2016-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-01-31), 10-K (Date du rapport : 2015-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-01-31), 10-K (Date du rapport : 2014-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-01-31), 10-K (Date du rapport : 2013-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-01-31).
- Tendances générales du chiffre d’affaires
- Le chiffre d’affaires net est normalisé à 100 % pour toutes les périodes, ce qui indique une uniformité dans le mesure de comparaison. Aucune variation n’est observée dans cette métrique, suggérant une stabilité dans la valeur totale des ventes ou revenus de l'entreprise sur l'ensemble de la période considérée.
- Évolution de la marge brute
- La marge brute oscille généralement autour de 18 % à 24 %, avec une tendance à la légère fluctuation. Elle atteint un pic à 24,7 % lors du premier trimestre de 2016, avant de diminuer temporairement à environ 18 %. Par la suite, elle se stabilise autour de 19 %, reflétant une gestion relativement stable des coûts directs liés aux revenus. La baisse temporaire en 2016 peut résulter d’un accroissement des coûts de production ou de changements dans la stratégie commerciale.
- Charges relatives à la recherche et développement (R&D)
- Les dépenses de R&D se maintiennent globalement entre -2,0 % et -3,6 %, avec une tendance à la légère augmentation au fil du temps. La part de ces dépenses dans le chiffre d’affaires s’accroît modérément, atteignant des pics autour de -3,63 % en octobre 2015, puis en diminuant légèrement. Cela indique un engagement continu dans l’innovation, tout en maintenant un contrôle relatif de ces coûts par rapport au chiffre d’affaires.
- Frais de vente, général et administratif
- Cette catégorie connaît une variation notable, allant de -6,05 % à -12,42 % au fil du temps. Une baisse significative est observée à partir de 2016, notamment avec un taux réduit à environ -6,05 % en juillet 2016. Cette tendance peut refléter un effort de réduction des coûts ou une révision des structures opérationnelles. À l’inverse, certains périodes montrent une augmentation vers -12 %, probablement liés à des investissements ou dépenses accrues dans la distribution ou l’administration.
- Charges exceptionnelles et autres éléments
- Les charges de restructuration, autres charges exceptionnelles, ainsi que les crédits ou charges liés aux acquisitions présentent des variations ponctuelles. Les charges de restructuration fluctuent, atteignant parfois -2,35 %, témoignant de restructurations importantes à certains moments. Les crédits liés aux acquisitions sont faibles ou absents pour la majorité des périodes, avec des valeurs négatives mineures, reflétant probablement des coûts ou des passifs liés aux opérations de croissance externe.
- Amortissement et dépréciations
- L’amortissement des immobilisations incorporelles varie entre -0,05 % et -1,31 %, avec une tendance à la hausse vers 2015-2017. La dépréciation spécifique des actifs du centre de données en 2014 indique une dépense ponctuelle importante, traduisant peut-être une mise à jour ou un ajustement de la valeur des actifs liés à l'infrastructure informatique.
- Profitabilité opérationnelle
- Le bénéfice d’exploitation oscille entre 3,53 % et 9,39 %, avec des pics en 2016, notamment à 9,39 % au troisième trimestre. La tendance indique une amélioration de la rentabilité opérationnelle à cette période, susceptible d’être le résultat d’efforts d’optimisation ou de meilleure gestion des coûts opérationnels. Après cette période, la rentabilité se stabilise autour de 6 % à 7 %, témoignant d’une gestion relativement constante des profits issus des opérations principales.
- Résultat financier et revenu associé
- Les intérêts et autres charges nettes affichent une variabilité importante, notamment en 2018, où le pourcentage atteint -6,29 %, puis en 2019, où il descend à -5,69 %. En 2016, une valeur anormalement positive de 2,77 % indique peut-être une reprise ou une évaluation favorable liée aux activités financières ou à des éléments exceptionnels. La tendance générale reflète un coût financier sensible aux conditions du marché et à la structure de la dette ou des investissements financiers.
- Résultat avant impôts et impôts
- Le bénéfice avant impôts présente une fluctuation notable, culminant à 9,09 % en 2016 et en baisse à des valeurs proches de 0,59 % en 2018. La charge d’impôts affiche aussi des variations, avec une tendance à la hausse en 2018 et 2019, atteignant jusqu’à 7,12 %. La position fiscale semble évoluer en fonction des résultats avant impôts, et la charge fiscale en hausse ou en baisse impacte directement le résultat net.
- Résultat net
- Le bénéfice net, exprimé en pourcentage du chiffre d’affaires, présente une tendance à la fluctuation, avec un sommet à 13,35 % au troisième trimestre de 2018. Après cette période, le résultat net varie entre environ 3,93 % et 8,07 %, indiquant une amélioration périodique de la rentabilité après impôts. La présence de pertes ou de résultats faibles en certains trimestres (par exemple 2015 ou 2019) suggère une certaine volatilité dans la réalisation du profit net final.