Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Évolution de la dette à court terme
- Une forte réduction de la proportion de la dette à court terme est observée entre le 31 mars 2017 et le 31 décembre 2017, passant de 0,73 % à 0,03 %. Ensuite, cette part fluctue, avec une hausse notable à 5,31 % au 30 juin 2020, suivie d'une diminution à 0,07 % au 30 juin 2022. Ces variations indiquent une gestion dynamique des financements à court terme, avec une tendance globale à sa réduction à long terme.
- Évolution des échéances actuelles de la dette à long terme
- La part des échéances de la dette à long terme dans le passif total affiche une tendance stable jusqu'au 30 juin 2019, oscillant autour de 0,2-0,3 %. Elle connaît une hausse substantielle à 2,55 % au 31 décembre 2017, puis retombe à environ 2,3 % à partir de 2021. La fluctuation indique une gestion variable de ces échéances, avec une augmentation notable en 2017, puis une stabilisation relative dans la période récente.
- Évolution des accords structurés de comptes créditeurs
- La proportion d'accords structurés de comptes créditeurs est en tendance à la hausse, passant de 1,18 % au 31 mars 2017 à un pic de 4,01 % au 30 septembre 2018. Après une légère baisse, cette proportion reste relativement stable autour de 3,2 % à 3,6 % durant la période suivante, suggérant une utilisation prolongée ou une gestion accrue de cette ligne de financement.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs montrent une augmentation continue, notamment une progression significative au-delà de 5 % à partir de 2019, culminant à 6,28 % le 30 juin 2022. Cette tendance indique une intensification du recours aux fournisseurs ou autres créditeurs à court terme, pouvant refléter un financement par dette fournisseur ou une augmentation de la gestion du fonds de roulement.
- Évolution des courus (dettes échues mais non encore payées)
- Les courus ont tendance à augmenter, passant de 4,27 % en mars 2017 à un pic de 11,36 % en juin 2022. Cela indique une augmentation de la proportion de dettes échues ou à payer à court terme, pouvant signaler une augmentation de la tension sur la gestion des échéances ou une augmentation du volume global de dettes à court terme échues.
- Proportion du passif à court terme dans le passif total
- Une tendance à la hausse est visible, passant de 9,55 % en mars 2017 à un maximum de 23,48 % en septembre 2022. Cette augmentation suggère une part croissante du passif exigible à court terme dans l'ensemble du passif, ce qui pourrait indiquer un relèvement du risque de liquidité ou une politique de financement plus axée sur le court terme.
- Évolution du passif à long terme, moins échéances courantes
- Cette ligne reste relativement stable jusqu’en 2019, autour de 22-23 %, puis voit une baisse progressive pour atteindre 13,97 % en septembre 2022. La tendance à la réduction de cette composante peut indiquer une réduction des dettes à long terme hors échéances courantes ou une restructuration du passif à long terme.
- Impôts différés
- Une stabilité relative est observée dans la proportion d’impôts différés, autour de 4,5-6 % tout au long de la période, avec une légère tendance à la baisse vers la fin de la période (4,48 % en juin 2022). Cela peut indiquer une gestion fiscale constante et peu de variations dans les différés fiscaux enregistrés.
- Autres passifs non courants
- La proportion de ces passifs fluctue, atteignant un maximum de 9,54 % en juin 2022. La tendance à la hausse jusqu'en 2022 peut refléter une augmentation des autres passifs non circulants, contribuant à la stabilité ou à la hausse globale du passif non courant.
- Part du passif non courant dans le total du passif
- Une tendance à la baisse est observée, passant d’environ 38 % en 2017 à 27 % en septembre 2022, indiquant une augmentation relative du passif à court terme par rapport au passif non courant dans la structure du passif total.
- Proportion du total du passif dans le passif et capitaux propres
- Elle oscille légèrement mais reste autour de 49-54 %, avec un pic notable à 54,89 % en décembre 2017. Après cette période, cette proportion varie modérément, ce qui reflète une gestion équilibrée entre le passif et les capitaux propres sur l'ensemble de la période.
- Répartition des capitaux propres
- Les bénéfices non répartis constituent la majorité des capitaux propres, stabilisés aux alentours de 51-56 %, avec une légère tendance à la hausse en 2022. La part des actions ordinaires et du capital supérieur à la valeur nominale reste faible et stable, indiquant une composition conservatrice des capitaux propres.
- Variations dans les capitaux propres totaux
- La part des capitaux propres évolue en fonction des bénéfices non répartis, passant de 63,53 % en mars 2017 à 56,85 % en juin 2022. La diminution initiale puis la stabilisation ultérieure indiquent une politique de distribution ou de conservation des résultats relativement constante.