Structure du compte de résultat
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Caterpillar Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Bilan : actif
- Structure du bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des segments à présenter
- Valeur actualisée des flux de trésorerie disponibles par rapport aux capitaux propres (FCFE)
- Sélection de données financières depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Cumul des régularisations
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Caterpillar Inc., structure du compte de résultat consolidé
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Analyse des ventes et de la marge brute
- Les ventes de machines, d’énergie et de transport ont été maintenues à 100 % du chiffre d’affaires de cette division sur l’ensemble de la période considérée. La marge brute s’est améliorée de 25,47 % en 2020 à 34,49 % en 2024, indiquant une augmentation progressive de la rentabilité sur cette activité. La croissance de la marge brute, notamment entre 2022 et 2024, reflète une meilleure maîtrise des coûts de production ou une hausse des prix de vente.
- Évolution des coûts et des charges
- Le coût des marchandises vendues, exprimé en pourcentage du chiffre d’affaires, a diminué de 74,53 % en 2020 à 65,51 % en 2024, renforçant la marge commerciale. Par ailleurs, les frais de vente, généraux et administratifs représentent une part stable de 11,9 % en 2020 à environ 10,86 % en 2024, témoignant d’un contrôle efficace des dépenses opérationnelles. Les dépenses de recherche et développement sont restées relativement constantes, autour de 3,2-3,5 %, indiquant un maintien des investissements dans l’innovation.
- Revenus financiers et autres charges d’exploitation
- Les revenus issus des produits financiers ont connu une légère baisse en 2021, pour se stabiliser à environ 5,62 % en 2024. Les charges d’intérêts sur les produits financiers ont augmenté, passant de 1,51 % en 2020 à 2,1 % en 2024, ce qui pourrait signaler une augmentation de l’endettement financier. Les autres produits et charges d’exploitation ont vu leurs pourcentages fluctuer, avec une tendance à la hausse sur la période, notamment une augmentation notable en 2021, suivie d’une baisse partielle en 2023, puis une reprise en 2024.
- Résultat d’exploitation et résultat global
- Le résultat d’exploitation s’est amélioré de 11,67 % en 2020 à 21,3 % en 2024, traduisant une performance opérationnelle renforcée. La croissance annuelle de ce résultat indique une gestion efficace des coûts et une croissance des marges. Le résultat consolidé avant impôts a connu une croissance significative, passant de 10,24 % à 21,79 %, tandis que le bénéfice net attribuable aux actionnaires a suivi une tendance similaire, augmentant de 7,68 % à 17,59 %, soulignant une augmentation de la rentabilité globale de l’activité.
- Charges fiscales et bénéfice net
- La charge d’impôts sur les bénéfices a également augmenté en pourcentage du chiffre d’affaires, passant de 2,58 % en 2020 à 4,28 % en 2024. Toutefois, le taux d’imposition n’a pas empêché une croissance notable du bénéfice après impôts. À cet effet, le bénéfice attribuable aux détenteurs d’actions ordinaires a connu une progression similaire, témoignant d’une gestion fiscale maîtrisée malgré l’extension des obligations fiscales.
- Autres éléments financiers
- Les gains ou pertes liés aux opérations de change ont fluctué, passant d’une perte de 0,49 % en 2020 à un gain de 0,12 % en 2024, illustrant une certaine stabilité ou une gestion efficace de l’exposition aux risques de change. Les revenus provenant des licences et autres produits divers ont également évolué modestement, dans une fourchette étroite, contribuant à la stabilité du profil financier.
- Conclusion générale
- Dans l’ensemble, ces indicateurs montrent une amélioration sensible de la rentabilité opérationnelle et une gestion efficace des coûts, notamment dans la maîtrise du coût des marchandises vendues et des frais opérationnels. La croissance du résultat d’exploitation et du bénéfice net indique une tendance favorable qui pourrait s’inscrire dans une stratégie de développement durable à moyen terme. La gestion des charges financières et fiscales semble également adaptée, permettant de soutenir cette progression.