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General Dynamics Corp. (NYSE:GD)

Cette entreprise a été transférée aux archives ! Les données financières n’ont pas été mises à jour depuis le 28 octobre 2020.

Tableau des flux de trésorerie 

Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.

Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.

General Dynamics Corp., tableau des flux de trésorerie consolidé

en millions de dollars américains

Microsoft Excel
12 mois terminés le 31 déc. 2019 31 déc. 2018 31 déc. 2017 31 déc. 2016 31 déc. 2015
Bénéfice net 3,484 3,345 2,912 2,955 2,965
Amortissement des immobilisations corporelles 466 493 362 366 366
Amortissement des immobilisations incorporelles et des droits d’utilisation des contrats de location-financement 363 270 79 88 116
Charge de rémunération à base d’actions 133 140 123 100 110
Avantage fiscal excédentaire de la rémunération à base d’actions (77)
Provision pour impôts différés (avantage) 92 (3) 401 376 167
Activités abandonnées, nettes d’impôt 13 107
Comptes débiteurs 176 417 (195) (161) 604
Créances non facturées (1,303) (800) (987) (1,033) 231
Inventaires (376) (591) (182) (154) (156)
Autres actifs circulants 8 310 207
(Augmentation) diminution de l’actif, déduction faite des effets des acquisitions d’entreprises (1,495) (664) (1,157) (1,348) 679
Comptes créditeurs 6 (197) 657 567 (89)
Avances et dépôts des clients (105) 36 264 (825) (1,756)
Autres passifs à court terme (30) (83)
Augmentation (diminution) du passif, déduction faite des effets des acquisitions d’entreprises (99) (161) 921 (288) (1,928)
Autres, montant net 37 (285) 238 (158) 101
Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net et les flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation (503) (197) 967 (757) (466)
Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation 2,981 3,148 3,879 2,198 2,499
Dépenses en immobilisations (987) (690) (428) (392) (569)
Acquisitions d’entreprises, déduction faite de la trésorerie acquise (19) (10,099) (399) (58) (5)
Échéances des titres détenus jusqu’à l’échéance 500
Produit de la vente d’actifs 14 562 50 9 291
Autres, montant net (2) (7) (14) 15 (17)
Flux de trésorerie nets (utilisés) provenant des activités d’investissement (994) (10,234) (791) (426) 200
Dividendes versés (1,152) (1,075) (986) (911) (873)
Produit du papier commercial (remboursements de) papier commercial, montant net (850) 850
Achats d’actions ordinaires (231) (1,769) (1,558) (1,996) (3,233)
Produit des billets à taux fixe 6,461 985 992
Produit des billets à taux variable 1,000
Remboursement d’un contrat d’achat de comptes clients de l’ARSC (450)
Remboursement des obligations à taux fixe (900) (500) (500)
Autres, montant net 236 69 60 246 347
Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement (1,997) 5,086 (2,399) (2,169) (4,259)
Flux de trésorerie nets provenant des activités abandonnées (51) (20) (40) (54) (43)
Augmentation (diminution) nette de la trésorerie et des équivalents (61) (2,020) 649 (451) (1,603)
Trésorerie et équivalents en début d’exercice 963 2,983 2,334 2,785 4,388
Trésorerie et équivalents à la fin de l’exercice 902 963 2,983 2,334 2,785

D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-K (Date du rapport : 2016-12-31), 10-K (Date du rapport : 2015-12-31).


Bénéfice net
La société a maintenu un bénéfice net stable entre 2015 et 2017, avec une légère diminution en 2016 (2955 millions de dollars) par rapport à 2015 (2965 millions), puis une stabilisation en 2017 (2912 millions). Une croissance notable est observée en 2018 (3345 millions) et 2019 (3484 millions), indiquant une amélioration de la rentabilité au cours des deux dernières années.
Amortissement des immobilisations corporelles
Les charges d’amortissement des immobilisations corporelles sont restées relativement constantes de 2015 à 2017 (~366 millions de dollars). Une hausse est enregistrée en 2018 (493 millions) puis une légère baisse en 2019 (466 millions), reflétant une évolution dans l’amortissement des immobilisations physiques.
Amortissement des immobilisations incorporelles et des droits d’utilisation des contrats de location-financement
Les amortissements liés à ces actifs ont augmenté depuis 2017, passant de 79 millions à 363 millions de dollars en 2019, indiquant possiblement une dépréciation ou une croissance plus rapide des actifs incorporels.
Charge de rémunération à base d’actions
Ce poste a fluctué modérément, passant de 110 millions en 2015 à un pic de 123 millions en 2017, puis étant relativement stable autour de 130 millions durant 2018 et 2019, signalant une politique constante de rémunération en actions ou avantages liés.
Provision pour impôts différés (avantage)
Une augmentation significative s’observe en 2016 (376 millions) par rapport à 2015 (167 millions), puis une augmentation en 2017 (401 millions) et une diminution en 2018 (-3 millions), suivie d’une reprise en 2019 (92 millions), illustrant une volatilité dans la gestion fiscale différée.
Activités abandonnées, nettes d’impôt
Ce poste apparaît uniquement en 2016 (107 millions) et 2018 (13 millions), suggérant la réalisation de cessions d’actifs ou de divisions stratégiques à ces dates, avec une réduction notable en 2018.
Comptes débiteurs
Une forte fluctuation est constatée, avec une valeur négative en 2016 (-161 millions) et 2017 (-195 millions), puis une reprise en 2018 (417 millions) et une baisse en 2019 (176 millions), répercutant des évolutions dans la gestion des créances clients ou des décalages de recouvrement.
Créances non facturées
Une tendance à la détérioration est visible, avec des valeurs négatives importantes à partir de 2016 (-1033 millions en 2016, -987 millions en 2017 et -800 millions en 2018), culminant en 2019 (-1303 millions), ce qui indique une augmentation des montants non facturés ou des encaissements reportés.
Inventaires
Les inventaires ont connu une hausse en 2018 (-591 millions) par rapport à 2017 (-182 millions), puis une réduction en 2019 (-376 millions), reflétant une gestion active des stocks selon l’activité ou la stratégie d’approvisionnement.
Autres actifs circulants
Ce poste a été nul en 2015-2016, puis a augmenté en 2017 (207 millions), en 2018 (310 millions) avant de redescendre en 2019 (8 millions), suggérant une augmentation temporaire d’actifs circulants dans ces périodes.
(Augmentation) diminution de l’actif, déduction faite des effets des acquisitions d’entreprises
Une tendance négative est visible, avec une large variation négative en 2016 (-1348 millions) et 2017 (-1157 millions), puis une nouvelle baisse en 2018 (-664 millions) et 2019 (-1495 millions), indiquant une réduction de l’actif net liée principalement à l’exploitation ou à la désinvestition.
Comptes créditeurs
Une croissance significative est observée en 2016 (567 millions) et 2017 (657 millions), suivie d’une baisse en 2018 (-197 millions) et une stabilisation en 2019 (6 millions), reflétant la gestion du passif fournisseur.
Avances et dépôts des clients
Ce poste a fluctué en étant négatif en 2015 (-1756 millions) et 2016 (-825 millions), puis a été positif en 2017 (264 millions) et 2018 (36 millions). Une nouvelle baisse est constatée en 2019 (-105 millions), cette évolution pouvant indiquer des changements dans la perception des dépôts clients ou des paiements anticipés.
Autres passifs à court terme
Présents uniquement en 2015 et 2016 avec des valeurs négatives (-83 millions et -30 millions), ce poste semble avoir disparu ou été consolidé dans d’autres éléments pour les années suivantes.
(Augmentation) diminution du passif, déduction faite des effets des acquisitions
Une tendance négative est présente en 2016 (-288 millions) et 2018 (-161 millions), tandis que 2017 montre une croissance (+921 millions), indiquant une gestion variable du passif à court terme.
Autres, montant net
Ce poste a fluctué, étant négatif en 2016 et 2018, mais positif en 2017, 2019, avec un pic en 2017 (238 millions), reflétant des ajustements ou éléments exceptionnels dans la structure du passif ou de l’actif.
Ajustements visant à rapprocher le bénéfice net et les flux de trésorerie
Des ajustements négatifs en 2015 (-466 millions) et 2016 (-757 millions), avant un pic positif en 2017 (967 millions), puis une redimension en 2018 et 2019, montrent la volatilité des éléments comptables hors trésorerie pour la concordance entre résultat et cash flow.
Flux de trésorerie nets liés aux activités d’exploitation
Une tendance générale à la stabilité ou à la légère baisse est constatée, avec des valeurs élevées en 2015 (2499 millions) et 2017 (3879 millions), marquant une capacité constante à générer de la trésorerie par l’exploitation.
Dépenses en immobilisations
Une augmentation est notée en 2019 (-987 millions) par rapport aux années précédentes, signalant des investissements croissants en actif immobilisé, malgré une tendance générale à la baisse de 2015 à 2018.
Acquisitions d’entreprises
Ce poste a été élevé en 2018 (-10099 millions), représentant une acquisition majeure cette année-là ; en 2015-2017, il est relativement faible avec quelques acquisitions modérées ou reprécisées.
Flux de trésorerie nets (investissement)
Les flux ont été négatifs de façon marquée en 2018 et 2019 (-10234 millions et -994 millions), en lien avec des investissements en immobilisations et acquisitions significatives, notamment en 2018.
Dividendes versés
Les dividendes ont constamment augmenté chaque année, passant de 873 millions en 2015 à 1152 millions en 2019, témoignant d’une politique de distribution régulière et croissante aux actionnaires.
Achats d’actions ordinaires
Les rachats d’actions ont persisté, avec une réduction continue de 2015 à 2019, passant de -3233 millions à -231 millions, indiquant une stratégie de rachat d’actions pour soutenir la valeur actionnariale ou optimiser la structure du capital.
Produit des billets à taux fixe et variable
Les produits issus de ces instruments jouent un rôle important : en 2016 et 2017, ils représentent environ 985-992 millions, puis en 2018, un pic significatif (6461 millions) pour le taux fixe, et en 2019, une contribution également importante. La disponibilité de ces sources de financement ou de revenus est manifeste.
Flux de trésorerie nets de fin d’année
La trésorerie et équivalents en fin d’exercice ont diminué globalement, passant de 4388 millions en 2015 à 902 millions en 2019, avec une baisse notable en 2018, en ligne avec les investissements et acquisitions majeures de cette année.