Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-31), 10-K (Date du rapport : 2018-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-01-31), 10-K (Date du rapport : 2017-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-01-31), 10-K (Date du rapport : 2016-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-01-31), 10-K (Date du rapport : 2015-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-01-31), 10-K (Date du rapport : 2014-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-01-31), 10-K (Date du rapport : 2013-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-01-31).
- Tendances générales des passifs à court terme
- La proportion des billets à payer et emprunts à court terme en pourcentage du passif total et des capitaux propres présente une fluctuation notable, avec une hausse significative atteignant 10,31 % en janvier 2015 avant de diminuer pour revenir à un niveau plus stable de 1,01 % en juillet 2016. Cette évolution indique une période où l'entreprise a accru sa dette à court terme, puis a réduit cette dépendance par la suite.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont connu une augmentation continue, passant d'environ 10,93 % en janvier 2013 à un pic de 45,2 % en juillet 2018, ce qui reflète une accumulation progressive des dettes envers les fournisseurs ou autres créanciers commerciaux. Après ce sommet, le taux semble se stabiliser légèrement autour de 43 à 45 %, suggérant une gestion raisonnable du crédit fournisseur en fin de période.
- Rémunération et avantages sociaux des employés
- Ce poste a connu des fluctuations, oscillant entre 1,87 % et 4,08 %. La tendance générale montre une légère augmentation, notamment de 2,72 % en juillet 2017 à environ 3 % en 2018, ce qui pourrait indiquer une hausse des coûts liés à la main-d'œuvre ou des ajustements de politique de rémunération.
- Évolution des impôts sur les bénéfices
- Ce poste présente une stabilité relative avec des pourcentages oscillant entre 0,44 % et 1,55 %. La fluctuation indique une gestion cohérente des obligations fiscales par rapport à la structure du passif total, sans tendance claire à la hausse ou à la baisse significative sur la période examinée.
- Restructurations à payer
- Ce poste apparaît principalement entre 0,55 % et 1,00 % jusqu’en janvier 2015, puis disparaît dans les périodes suivantes, ce qui pourrait indiquer la réalisation ou la clôture des restructurations en cours, ou une modification comptable de cette charge.
- Autres charges à payer
- Ce poste montre une stabilité globale avec une légère baisse, passant de plus de 19,73 % en début de période à environ 21 % en 2019. La tendance suggère une gestion constante des autres charges à payer, avec une croissance modérée en fin de période.
- Part du passif à court terme
- Le pourcentage du passif à court terme par rapport au passif total est élevé, oscillant entre 39,47 % et 75,85 %, avec une tendance à l’augmentation à partir de 2015, culminant autour de 75 %, indiquant une concentration accrue des dettes à court terme dans la structure financière, ce qui pourrait influencer la liquidité et la flexibilité financière.
- Dette à long terme (excluant la partie courante)
- La proportion de cette dette dans le passif total a globalement diminué, passant d’environ 20,39 % en janvier 2013 à 14,87 % en juillet 2016, avant de rester relativement stable autour de 14 %, témoignant d’un désendettement progressif ou de la réduction de l’endettement à long terme dans la structure financière de l’entreprise.
- Autres passifs non courants
- Ce poste a connu une croissance significative, passant de 16,19 % en janvier 2013 à un pic de 27,36 % en avril 2015, puis descendant à environ 13 % en janvier 2017, reflétant peut-être la reconnaissance ou la clôture de passifs non courants ou une réorganisation de ces postes.
- Total des passifs non courants
- La part des passifs non courants par rapport au total du passif a diminué de près de 36,57 % en début de période à environ 27,64 % en juillet 2019, indiquant une réduction relative de ces passifs, ce qui pourrait améliorer la liquidité à long terme.
- Total du passif
- La proporition du passif par rapport à la structure financière a globalement baissé, passant d’environ 78,17 % en 2013 à environ 103,49 % en 2017, puis stabilisant légèrement au-dessus de 100 %, ce qui indique une variation de la structure de passif, potentiellement en lien avec des ajustements comptables ou financiers de l'entreprise.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres, exprimés en pourcentage du passif total, ont connu une forte baisse après 2015, passant d’environ 24 % en début de période à des valeurs négatives autour de -19 % en 2016, puis oscillant autour de valeurs faibles ou négatives. Cela illustre une dégradation de la situation patrimoniale, avec une dépréciation significative de la valeur nette des capitaux propres, principalement en lien avec des pertes accumulées ou des ajustements comptables.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Ce poste affiche une tendance descendante, passant d’un bénéfice non réparti positif en 2013 à un déficit important atteignant près de -19,7 % en 2016, avec des fluctuations subséquentes, indiquant des pertes accumulées accrues ou une dégradation de la rentabilité, mais aussi une certaine stabilité relative à partir de 2017.
- Structure globale
- La composition du passif et des capitaux propres montre une augmentation de la part des passifs, notamment à court terme, durant la période, accompagné d’un déclin notable des capitaux propres. La tendance générale dénote une dégradation de la solvabilité et de la stabilité financière à long terme, avec une dépendance accrue aux dettes à court terme et une erosion importante de la valeur nette comptable.