Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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- Tendances générales du bénéfice net
- Le bénéfice net présente une forte volatilité au cours de la période analysée. Après une perte importante au premier trimestre 2017, une forte reprise est observée dans le trimestre suivant, atteignant un sommet en septembre 2017. Cependant, une chute brutale intervient en décembre 2017, suivie d'une reprise modérée dans l'année 2018. Au cours de 2019, une amélioration notable est constatée, avec un bénéfice net en forte croissance, notamment au premier trimestre 2020, avant une aggravation en mars 2020, probablement liée à des facteurs exceptionnels ou de marché. La tendance se maintient jusqu'à mi-2021, avec une forte hausse, mais dès la fin de 2021 et tout au long de 2022, le bénéfice net retrouve une tendance à la hausse notable, culminant dans le dernier trimestre 2022.
- Évolution des amortissements et charges d’épuisement
- Les amortissements, épuisements et amortissements évoluent globalement à la hausse, traduisant probablement des investissements en immobilisations ou des équipements amortis plus rapidement dans la période. La hausse est particulièrement sensible entre 2019 et 2022, ce qui pourrait refléter une intensification des investissements ou une réévaluation des actifs amortissables.
- Impôts différés et autres impôts sur les bénéfices
- Les impôts différés montrent des variations importantes avec des pics et creux. En particulier, des montants négatifs importants en mars 2020 et en septembre 2021 indiquent des charges d'impôt différé accrues ou des ajustements fiscaux. Des périodes de gains marginalement positifs apparaissent également, mais dans l’ensemble, ces impôts contribuent à une complexité fiscale notable dans la période.
- Capitaux propres dans la perte ou le bénéfice des sociétés non consolidées
- Cette ligne indique une évolution fluctuante, avec des variations peu significatives jusqu'en 2020, suivie d’augmentations en 2020-2021, puis une baisse en 2022, suggérant des changements dans la participation ou la consolidation de filiales ou sociétés associées.
- Charges de désactualisation et autres charges exceptionnelles
- Les charges de désactualisation sont relativement stables, mais montrent une tendance à la hausse dans la période récente, notamment en 2021-2022, en lien avec des provisions pour immobilisations hors service. La charge liée aux contrats de location est présente uniquement à partir de 2018, indiquant une adoption récente de normes comptables spécifiques.
- Charges de rémunération à base d’actions
- Les charges relatives à la rémunération en actions sont très variables, avec des pics en 2017 et 2021, indiquant une politique de rémunération variable ou des ajustements liés au marché ou à la performance des actions.
- Gains ou pertes latentes sur dérivés et ajustements de change
- Ces éléments sont très volatils. Des pertes importantes en 2020 (notamment liés aux dérivés et ajustements de change) traduisent une forte volatilité des instruments financiers dérivés ou des effets de change défavorables, tandis que certains gains significatifs en 2017-2018 contrastent avec des pertes importantes en 2019-2022.
- Produits et dépenses liés aux actifs financiers et immobilisations
- Les ventes d’actifs et produits liés à ces ventes montrent une tendance à la hausse, avec des pics en 2017 et en 2022. Les acquisitions nettes de titres ou actifs fixes indiquent une désinvestissement important en 2019, notamment avec l’acquisition ou la cession de portefeuilles importants, parfois avec effets de trésorerie très marqués, comme en 2019 avec une acquisition majeure et en 2022 avec des cessions significatives.
- Flux de trésorerie liés à l’exploitation
- Les flux issus des activités opérationnelles sont généralement positifs, avec des pics en 2018-2021, reflétant une capacité stable à générer de la trésorerie avant investissements et financements. La variabilité dans les flux dépend aussi des ajustements comptables ou des éléments exceptionnels.
- Dépenses en immobilisations et investissements
- Les dépenses d’investissement sont en tendance haussière, avec de nombreux investissements importants (supérieurs à 200 millions USD), notamment en 2020-2022, témoignant d’un effort soutenu de renouvellement ou d’expansion des actifs immobilisés.
- Activités de financement
- Les flux liés aux financements montrent une forte volatilité, particulièrement marqué par des emprunts importants en 2019-2020, et par des opérations de rachats d’actions ou de remboursement de dettes. La prise de nouvelles dettes ou la réduction par le remboursement est une tendance perceptible, avec des opérations de levées de fonds significatives en 2020 et 2022.
- Rachats d’actions et dividendes
- Les rachats d’actions représentent des sorties de trésorerie substantielles sur la période, notamment en 2021 et 2022, indiquant une politique de retour de valeur aux actionnaires. Les dividendes versés restent stables dans leur montant, avec une légère tendance à la hausse en fin de période, alignée sur l’amélioration des résultats.
- Variation de la trésorerie globale
- La variation nette de la trésorerie montre une forte instabilité avec de nombreux creux en 2020-2021, correspondant probablement à des opérations d’investissement ou de financement exceptionnellement importantes ou défavorables. Même si certaines périodes enregistrent une augmentation de trésorerie, la tendance globale en 2020-2022 est à la diminution, notamment avec des effets liés aux variations de change et aux opérations exceptionnelles.