Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Fiserv Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-03-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-03-31).
- Tendances dans la proportion des créditeurs et charges à payer
- La part des créditeurs et charges à payer en pourcentage du total du passif et des capitaux propres montre une tendance à la hausse depuis 2017, passant d'environ 12.43 % à un pic à 14.71 % en mars 2019, puis une forte diminution à partir de cette période, atteignant un minimum de 3.73 % en décembre 2019. Après cette baisse, on constate une stabilisation autour de 4.4 %, signalant une réduction significative de cette obligation relative, probablement due à une amélioration dans la gestion des dettes à court terme ou un changement dans la structure des passifs. La fluctuation indique une évolution de la pression sur les obligations à court terme sans une tendance linéaire claire à long terme.
- Évolutions des échéances à court terme et de la dette à long terme
- Les échéances à court terme et la dette à long terme montrent des variations importantes. La part des échéances à court terme reste généralement faible, sauf en décembre 2018 où elle atteint environ 4.21 %, puis fluctue à faibles niveaux (en dessous de 1 %), sauf quelques pics en septembre 2019 (0.73 %). En revanche, la dette à long terme, excluant les échéances courantes, augmente significativement à partir de la fin 2019, atteignant près de 69.99 % en mars 2020, ce qui suggère une mobilisation accrue de dettes à long terme lors de cette période. Ensuite, elle diminue pour se stabiliser autour de 27-28 %, illustrant une gestion effacée de l'endettement à long terme en lien avec la période de crise sanitaire mondiale.
- Évolution des passifs contractuels et autres passifs à long terme
- Les passifs contractuels en pourcentage du passif global ont tendance à diminuer, étant proches de 5 % jusqu'en septembre 2019, puis fortement réduits à environ 0.2 % en 2020-2021, également en augmentation modérée par la suite. Cela indique une gestion prudentielle ou une réduction des autres engagements contractuels à long terme. Les autres passifs à long terme restent relativement stables, oscillant autour de 1 %, à l'exception d’un pic à 3.82 % en mars 2019, puis une stabilisation proche de 1 % dans le temps.
- Part des dettes à long terme
- La part des dettes à long terme (hors échéances) constitue environ la moitié du passif total en 2017-2019, puis elle connaît une augmentation en 2020 atteignant 76.58 %, avant de régresser vers une fourchette oscillant autour de 34-37 %, témoignant d'une gestion dynamique de la composition du passif, avec une concentration ponctuelle en dettes à long terme durant la début de la pandémie, puis un ajustement vers des montants plus modérés.
- Proportions relatives des passifs
- Le total du passif représente environ 75 % du passif et capitaux propres en 2017-2019, puis dépasse 87 % en mars 2019, avant de diminuer à environ 56-58 % à partir de 2020. La stabilité relative après 2020 montre une gestion équilibrée de la structure des passifs, malgré des fluctuations importantes durant la début de la période d’observation.
- Capitaux propres et leur évolution
- Les capitaux propres, exprimés en pourcentage du total du passif et des capitaux propres, fluctuent au fil du temps, atteignant un pic à 45.85 % en septembre 2019, puis se stabilisent autour de 42-44 % à partir de 2020. La part des bénéfices non répartis augmente progressivement, passant d’environ 95 % en 2017 à environ 20 % en 2022, indiquant une croissance continue des bénéfices non distribués. La capacité de réserve financière semble s'améliorer avec cette augmentation des bénéfices non répartis, ce qui pourrait renforcer la stabilité financière à long terme.
- Autres éléments du patrimoine et participations
- Les participations ne donnant pas le contrôle représentent une part très faible du passif en chiffres relatifs, oscillant autour de 0.2-2 %, sauf vers 2017 où elles tendent vers zéro. Les actions ordinaires restent stables à environ 0.01 %, notamment en termes de valeur nominale. Le capital versé supplémentaire diminue de façon notable entre 2017 et 2019, passant de 10.3 % à moins de 10 %, avant de se stabiliser autour de 30 %, suggérant une modification du capital ou des actions privilégiées. La participation au résultat global demeure légèrement négative, montrant une dépréciation de certains actifs ou réserves, mais sans évolution majeure significative.
- Stock de trésorerie
- La position en trésorerie, en pourcentage du passif et capitaux propres, affiche une tendance fortement négative jusqu'en 2019, atteignant approximativement -90 %, puis une stabilisation à environ -6 % à partir de 2020. La forte réduction de la part de trésorerie négative dans le temps signale une amélioration de la liquidité ou une gestion plus efficiente des réserves de liquidités, contribuant à renforcer la stabilité financière globale.