Structure du bilan : passif et capitaux propres
Espace pour les utilisateurs payants
Essayer gratuitement
Fiserv Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- Tableau des flux de trésorerie
- Analyse des ratios d’activité à long terme
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Analyse de l’endettement
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Évolution des passifs à court terme
- La proportion des passifs à court terme autres que la dette diminue légèrement de 18,84% en 2017 à 17,85% en 2018, puis augmente ensuite pour atteindre près de 24% en 2021, indiquant une tendance à la hausse de l'endettement à court terme relative au total du passif.
- Dette à long terme
- La dette à long terme hors échéances courantes connaît une forte diminution de 47,59% en 2017 à 27,87% en 2019, se stabilisant autour de 27% jusqu'en 2021. Cette évolution reflète une réduction significative de l'endettement long terme, probablement par rachat ou remboursement, suivie d'une stabilisation.
- Passifs contractuels et obligations de règlement
- Les passifs contractuels baissent en proportion jusqu'en 2019, puis connaissent une légère reprise à partir de 2020, atteignant 0,77% en 2021. Les obligations de règlement, en revanche, augmentent de façon continue, passant de 3,68% en 2017 à 17,9% en 2021, témoignant d'une hausse significative de ces engagements financiers spécifiques.
- Passifs à long terme
- Ce poste affiche une hausse notable en 2018, passant de 54,62% à 61,79%, puis une baisse en 2019 jusqu'à 34,76%, pour se stabiliser autour de 34% ensuite. La variation importante en 2018 indique une réorganisation ou une augmentation des passifs à long terme à cette période, suivie d'une réduction relative.
- Consolidation des capitaux propres
- Les capitaux propres, en proportion du total, évoluent sous deux courbes : la part des capitaux propres totaux augmente en 2018 pour atteindre 44,62%, puis diminue légèrement à environ 41,54% en 2021. La part des bénéfices non répartis, quant à elle, reste fortement positive, passant de 16,16% en 2019 à près de 19,47% en 2021, ce qui indique une capacité à générer des bénéfices et à les retenir.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste connaît une hausse importante en 2019 (30,62%) et 2020 (31,68%), puis une légère baisse à 30,14% en 2021. La tendance reflète une augmentation du capital versé ou des réserves, point importante pour la solidité financière.
- Autres indicateurs significatifs
- Le stock de trésorerie, au prix coûtant, enregistre une forte diminution de 82,55% en 2017 à -8,05% en 2021, soulignant une réduction de la réserve de trésorerie ou une augmentation des investissements à court terme. La variation du résultat global, souvent négative, indique des pertes ou des ajustements comptables défavorables sur la période. La proportion d’actions ordinaires reste stable à 1%, tandis que les participations ne donnant pas le contrôle augmentent en 2018 pour atteindre 2,08% puis décroissent légèrement à moins de 1% en 2021, témoignant d’une gestion prudente ou d’un recentrage stratégique.
- Résumé global
- Au fil des années, l'entreprise a réduit son endettement long terme tout en augmentant ses obligations à court terme, ce qui pourrait indiquer un changement dans la stratégie de financement ou une optimisation de la structure financière. La proportion de capitaux propres a connu des fluctuations mais reste relativement stable autour de 40%, avec une capacité à générer des bénéfices retenus. La diminution du stock de trésorerie suggère un recours accru aux ressources internes ou à l’investissement. La structure de passifs évolue vers une plus grande mise en avant des obligations réglementaires et contractuelles, tandis que la répartition des capitaux propres montre une solide rentabilité et une gestion prudente des réserves.