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- État du résultat global
- Bilan : actif
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2018
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2018
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2018
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Tendances générales des ventes nettes
- Les ventes nettes de produits sont considérées comme une référence fixe dans la période, avec un pourcentage de 100 % maintenu tout au long. Il n’y a pas d’évolution des ventes relatives, indiquant que cette métrique sert de base et n’est pas elle-même évaluée dans le temps.
- Évolution du coût des ventes
- Le coût des ventes présente une tendance à la dégradation à partir de la période de 2020, avec une augmentation notable en pourcentage. Entre le troisième trimestre 2021 et le troisième trimestre 2024, ce coût connaît des fluctuations très importantes, culminant à des valeurs extrêmes telles que -249,49 % et -127,55 %, ce qui signale une instabilité et une hausse significative des coûts relatifs. La plupart de ces valeurs deviennent fortement négatives, indiquant une augmentation substantielle des coûts unitaires ou d’autres anomalies comptables, notamment durant la période 2022 et 2023.
- Marge brute
- La marge brute, oscillant initialement autour de valeurs positives élevées, commence à diminuer en pourcentage à partir de 2021, passant de plus de 80 % à des valeurs en dessous de 60 %, puis devient négative en fin de période. Les pics négatifs très profonds en 2022 et 2023 suggèrent des pertes massives ou des coûts excessifs qui dépassent les revenus, ce qui compromet la rentabilité brute de l'entreprise.
- Autres revenus
- Les autres revenus progressent de façon variable, avec une forte augmentation ponctuelle en décembre 2021, atteignant 185,56 %. Après cette période, leur part fluctue fortement, dans un contexte où leur contribution relative devient difficile à interpréter en raison de valeurs extrêmes, notamment en 2022 et 2023 où elles atteignent des sommets et des creux importants. Cette instabilité indique une variabilité dans les revenus accessoires ou exceptionnels.
- Recherche et développement
- Les dépenses de recherche et développement montrent une tendance globalement à la hausse en pourcentage de 2021 à 2024, avec un.pic extrême en juin 2024 à -663,59 %. La croissance dans ces charges suggère un fort investissement dans l’innovation ou une augmentation des coûts liés aux projets de R&D, lesquels deviennent une part écrasante des dépenses totales à partir de 2022, contribuant probablement à une détérioration des résultats financiers globaux.
- Vente, général et administratif (VGA)
- Les coûts liés à la vente, au général et administratif suivent une tendance similaire à la R&D, avec une augmentation significative en 2022, culminant à -164,07 % en décembre 2022. La hausse de ces charges indique une intensification des dépenses opérationnelles, notamment en fin de période, et leur impact apparent devient négatif en fin de période, contribuant à la détérioration du résultat net global.
- Bénéfice (perte) d’exploitation
- Ce résultat, initialement positif, subit des fluctuations extrêmes : une forte revanche en 2020, puis une chute dramatique en 2021 avec une perte dépassant 600 %, suivi d’une période d’instabilité avec des pertes massives en 2022 et 2023. Ces valeurs négatives massives reflètent probablement des coûts élevés associés à l’expansion ou au développement des activités, dépassant largement les revenus générés par l’exploitation.
- Revenus d’intérêts
- Les revenus d’intérêts sont faibles et fluctuants, mais montrent une tendance à la hausse notable en 2024, atteignant 71,86 %, suggérant une augmentation significative des gains provenant d’intérêts, probablement liés à des placements ou des emprunts à cette période.
- Autres produits (charges)
- Ces autres produits ou charges sont généralement faibles en montant absolu mais présentent une tendance à la faible variabilité, avec quelques pics en fin de période, notamment en 2022, en lien peut-être avec des éléments exceptionnels ou ajustements comptables.
- Bénéfice (perte) avant impôts
- Les résultats avant impôts suivent une trajectoire très volatile, enregistré initialement à des valeurs proches de 70-80 % positifs en 2020, puis une décroissance vers des pertes massives en 2022 et 2023, culminant à plus de -697 %, avant un retour à une valeur proche de 1,15 % en 2024. La variabilité importante indique une exploitation fragile ou fortement dépendante de facteurs exceptionnels ou non récurrents.
- Provision pour impôts sur les bénéfices
- Une tendance à la baisse et à la volatilité est observable, avec des valeurs positives significatives en 2022 (21,01 %). Cependant, cette charge devient négative ou quasi inexistante en 2023-2024, ce qui pourrait refléter soit une optimisation fiscale, soit une absence de fiscalité dû à des pertes nettes importantes.
- Bénéfice net (perte nette)
- Le bénéfice net présente une évolution dramatique, de résultats positifs en 2020 et 2021, à des pertes massives en 2022 et 2023, avec une perte record en décembre 2023 de -703,59 %. En 2024, une amélioration apparaît, avec une perte très faible ou une quasi-profitabilité, indiquant un redressement ou une réduction significative des pertes. La tendance globale illustre une période de crises financières ou de coûts excessifs suivie possiblement d’une tentative de stabilisation ou de redressement.