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Moderna Inc. pages disponibles gratuitement cette semaine :
- État du résultat global
- Bilan : actif
- Valeur d’entreprise (EV)
- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
- Modèle d’évaluation des immobilisations (CAPM)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2018
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2018
- Ratio cours/bénéfice net (P/E) depuis 2018
- Cumul des régularisations
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31).
- Chiffre d'affaires
- Les ventes nettes de produits ont été normalisées à 100 % dans toutes les années, ce qui indique une stabilité dans la part relative de cette ligne de revenus au sein des revenus totaux ou une normalisation pour la comparaison. Il n’y a pas de variation en pourcentage de cette ligne mentionnée, confirmant son rôle de référence dans l’analyse.
- Coût des ventes
- Le coût des ventes a connu une augmentation significative, passant de -3,97 % en 2020 à -70,35 % en 2023. La progression montre une détérioration importante de la marge brute, ce qui réduit considérablement la rentabilité brute de l’entreprise. La marge brute en pourcentage des ventes a chuté de 96,03 % en 2020 à 29,65 % en 2023, traduisant une augmentation des coûts de production ou d’approvisionnement ou une dégradation de l’efficacité opérationnelle.
- Marge brute
- La marge brute, en pourcentage des ventes nettes, a diminué de manière drastique au fil des années, passant de près de 96 % en 2020 à moins de 30 % en 2023. Cette tendance indique une pression accrue sur la rentabilité primaire de l’entreprise, liée à la hausse des coûts ou à une baisse de prix de vente.
- Autres revenus
- Les autres revenus ont connu des fluctuations importantes, avec un pic en 2020 (301,95 %), suivi d’une forte baisse à environ 4,5 % puis une réduction progressive à 2,65 % en 2023. Ce comportement pourrait refléter des revenus exceptionnels ou non récurrents au cours de 2020, ou une inclination à une diminution progressive de ces autres sources de revenus.
- Recherche et développement
- Les dépenses de recherche et développement ont particulièrement augmenté en pourcentage des ventes, passant de -685,61 % en 2020 à -72,63 % en 2023. La croissance en valeur absolue ou relative indique un investissement accru dans l’innovation ou le développement de nouveaux produits. Leur poids relatif a toutefois diminué par rapport à l’année 2020, ce qui pourrait signifier une stabilisation ou une compression relative en dépit de l’augmentation totale.
- Vente, général et administratif
- Les charges de vente, général et administratif ont également augmenté en pourcentage, passant de -94,19 % en 2020 à -23,22 % en 2023, montrant une augmentation mais à un rythme plus modéré. La croissance des coûts opérationnels dans ces domaines pourrait nuire à la rentabilité si elle n’est pas accompagnée d’une hausse des revenus ou d’une amélioration de l’efficience.
- Bénéfice d’exploitation
- Le bénéfice d’exploitation a subi une forte fluctuation : il a été très négatif en 2020 (-381,82 %), puis positif en 2021 (+75,22 %) et 2022 (+51,10 %). Cependant, en 2023, il devient négatif à -63,54 %, indiquant une perte d’exploitation à cette dernière date. La tendance précédente suggérait une amélioration temporaire, mais celle-ci n’a pas été maintenue, et la situation s’est dégradée en 2023.
- Revenus d’intérêts et autres produits financiers
- Les revenus d’intérêts ont varié, avec une croissance en 2023 (6,31 %), tandis que les autres produits financiers ont été faibles ou négatifs en 2023, indiquant une possibilité de gains ou de pertes liés à la gestion financière ou aux placements. La rentabilité financière semble sous pression globale, avec une évolution favorable visible en 2023 dans certains cas.
- Charges d’intérêts et autres charges financières
- Les charges d’intérêts ont augmenté légèrement en 2023, passant à -0,57 %, ce qui pourrait indiquer une augmentation de l’endettement ou une hausse des coûts financiers. Les autres charges financières sont aussi en augmentation en leur mode négatif, contribuant à une pression supplémentaire sur la rentabilité nette.
- Bénéfice avant impôts et bénéfice net
- Le bénéfice avant impôts a été très négatif en 2020 (-372,49 %), puis a connu une amélioration en 2021 (+75,16 %) et 2022 (+51,94 %). Toutefois, en 2023, ces indicateurs deviennent négatifs à nouveau, avec un déficit de -59,09 %, ce qui reflète une perte globale. Le bénéfice net suit la même tendance, passant d’un déficit extrêmement élevé en 2020 à une profitabilité partielle en 2021 et 2022 avant de redevenir déficitaire fortement en 2023 (-70,66 %), traduisant des difficultés accrues dans la maîtrise des coûts ou dans la génération de revenus.
- Impôts sur les bénéfices
- Les provisions pour impôts ont augmenté en pourcentage, passant de -1,28 % en 2020 à -11,57 % en 2023, ce qui pourrait indiquer une hausse de la charge fiscale effective ou anticipée, renforçant la pression sur le résultat net.