Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Analyse des zones géographiques
- Rapport valeur/ FCFF d’entreprise (EV/FCFF)
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio d’endettement par rapport aux capitaux propres depuis 2018
- Ratio de rotation de l’actif total depuis 2018
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31).
- Comptes créditeurs
- Ils ont connu une augmentation constante en pourcentage du passif total et des capitaux propres, passant de 0,45 % en 2019 à 2,82 % en 2023. Cette tendance indique une croissance progressive des dettes envers les fournisseurs ou autres créanciers à relative courte échéance.
- Dispositions relatives à la vente de produits
- Les données étant absentes jusqu'en 2022, où elles atteignent 3,02 %, cette composante affiche une augmentation notable en 2022, suggérant une hausse de responsabilités liées à la vente ou à la commercialisation de produits, ce qui pourrait refléter une stratégie commerciale accrue ou diversifiée à cette période.
- Liés à la rémunération
- Après une baisse en 2021 (0,51 %), ces passifs ont augmenté en 2022 à 0,73 % puis ont atteint 1,33 % en 2023. Cela pourrait indiquer une augmentation des obligations liées aux rémunérations ou aux avantages, potentiellement en lien avec des modifications dans la rémunération du personnel ou des obligations sociales.
- Essais cliniques
- Après une hausse en 2020 (1,33 %), leur proportion a légèrement diminué en 2023 à 0,95 %. La fluctuation pourrait refléter l'évolution des dépenses ou des engagements dans les projets de recherche et développement en phase clinique.
- Fabrication
- La part consacrée à la fabrication a crû de 0,37 % en 2019 à 1,55 % en 2022 avant de redescendre à 0,91 % en 2023. Cette évolution montre une intensification des activités de production puis une stabilisation ou un recentrage vers d’autres activités ou coûts.
- Opérations de développement
- Elle est passée de 0,16 % en 2019 à un pic de 0,56 % en 2021, puis est redescendue à 0,34 % en 2022, avant de remonter à 0,76 % en 2023. La tendance témoigne d'investissements fluctuants dans la R&D, avec une reprise en 2023 apportant un nouveau souci dans ce domaine.
- Autres biens et services extérieurs
- Après une baisse en 2021 (0,32 %), cette ligne a augmenté en 2022 à 1,02 % puis a reculé en 2023 à 0,74 %, indiquant une gestion fluctuante des coûts liés à des services extérieurs, peut-être en lien avec des contrats ou acquisitions ponctuelles.
- Redevances
- Les redevances deviennent significatives en 2021 (0,98 %) puis poursuivent une tendance à la baisse à 0,66 % en 2023. Cette évolution pourrait refléter une réduction des accords de licence ou de royalties à payer, ou une modification de leur structure contractuelle.
- Immobilisations corporelles
- Les investissements en immobilisations corporelles, quasi inexistants jusqu’en 2021, deviennent plus marqués en 2023 (0,51 %), signalant une augmentation des investissements en actifs physiques ou infrastructures.
- Perte sur engagements d’achat fermes futurs
- Absente jusqu’en 2022, elle apparaît en 2023 à 0,43 %, ce qui indique une reconnaissance de pertes possibles liées à des achats ou contrats futurs, peut-être en lien avec la production ou la fourniture de produits.
- Commercial
- Les obligations commerciales fluctuent peu, restant globalement sous 0,5 %, avec une légère progression en 2021 à 0,48 %, puis une baisse en 2022 (0,19 %) et une reprise à 0,3 % en 2023, témoignant d’une gestion prudente de ces engagements.
- Matières
- Cette composante montre une augmentation en 2022 (1,22 %) après une stabilité en 2021, suivie d’une forte baisse à 0,15 % en 2023. Cela peut refléter une fluctuation dans les coûts liés aux matières premières ou aux fournitures de production.
- Courus
- Les passifs courus ont connu une croissance significative, passant de 4,26 % en 2019 à 9,76 % en 2023, indiquant une augmentation des dépenses comptabilisées mais pas encore réglées, ce qui peut signaler des engagements à court terme accrus.
- Produits reportés
- Après un pic en 2020 à 52,71 %, cette ligne a fortement diminué pour atteindre 3,08 % en 2023. La tendance traduit probablement la reconnaissance progressive des revenus précédemment différés, avec un dénouement actif des produits reportés.
- Impôts sur les bénéfices à payer
- Disparus avant 2021, ils apparaissent en 2021 à 3,55 %, puis décroissent rapidement pour atteindre 0,34 % en 2023, témoignant d’un déclin potentiel dans la charge fiscale à court terme ou d’un changement dans la situation fiscale.
- Dettes de financement des contrats de location à court terme
- Pas présentes en 2021 mais en augmentation en 2022 (0,67 %) et en 2023 (0,62 %), évoquant une gestion active des obligations locatives à court terme.
- Passifs liés aux contrats de location-exploitation à court terme
- En baisse de 0,23 % en 2019 à 0,08 % en 2020, puis fluctuant modestement autour de 0,14 %, cela indique une réduction ou une gestion différenciée des engagements locatifs à court terme.
- Autre passifs à court terme
- Progressent de 0,09 % en 2019 à 0,22 % en 2023, signalant une augmentation marginale des autres obligations à court terme.
- Passif à court terme
- Connaît une fluctuation importante : il représente 9 % en 2019, mais atteint 59,82 % en 2020, avant de diminuer à 37 % en 2021, puis à 19.04 % en 2022 et à 16,36 % en 2023. La forte hausse en 2020 reflète probablement une augmentation des obligations à court terme au moment de l’accroissement de l’activité, suivie d’une réduction progressive.
- Produits reportés, non courants
- Haussent de 8,75 % en 2019 à leur maximum en 2020 (52,71 %), puis chutent à 2,6 % en 2022, et à 0,45 % en 2023, traduisant la dénouement ou l’amortissement progressif des revenus différés non courants.
- Passifs non courants dans leur ensemble
- Progressent globalement de 17,08 % en 2019 à 8,45 % en 2023. Les composantes spécifiques, telles que les dettes de location non courantes (passant de 2,43 % à 3,12 %), indiquent une certaine stabilisation ou croissance des engagements à long terme liés à la location et autres obligations financiers à échéance prolongée.
- Capital versé supplémentaire
- Diminue fortement de 167,95 % en 2019 à 2,01 % en 2023, reflétant une réduction progressive de la contribution supplémentaire en capital ou de réserves excédentaires détenues, ce qui pourrait indiquer une simplification du capital ou un retrait partiel de réserves.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Passe d’un déficit en 2019 (-94,15 %) à un bénéfice substantiel en 2021 (40,37 %), puis croît jusqu’à 73,84 % en 2023. La tendance montre une amélioration significative de la rentabilité sur la période, avec une accumulation de bénéfices non répartis en fin de période.
- Capitaux propres
- Progressent de 73,91 % en 2019 à 75,19 % en 2023, reflétant une consolidation de la structure financière avec une part majoritaire de capitaux propres par rapport au passif total.
- Total du passif et des capitaux propres
- La structure totale reste équilibrée à 100 %, conformément à la norme comptable.