Structure du bilan : passif et capitaux propres
Données trimestrielles
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2025-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2025-03-31), 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2024-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2023-03-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2022-03-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2021-03-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-31).
- Tendances des emprunts à court terme
- Les emprunts à court terme en pourcentage du total du passif et des capitaux propres ont connu une diminution significative entre le premier trimestre 2020 et le second semestre 2020, passant d'environ 7.16% à 1.15%. Par la suite, cette proportion a oscillé autour de 1.3% à 1.6%, atteignant un pic à 1.68% au troisième trimestre 2025. Cette baisse initiale indique une réduction de la dépendance à l'endettement à court terme, suivie d'une stabilisation relative à un niveau relativement faible.
- Évolution des comptes créditeurs
- Les comptes créditeurs ont manifesté une augmentation constante de leur poids relatif, passant d'environ 5.81% en mars 2020 à près de 7.58% au dernier trimestre analysé. La tendance montre une croissance régulière, notamment à partir de juin 2021, ce qui pourrait indiquer une intensification des obligations envers les fournisseurs ou autres créanciers à moyen terme.
- Recouvrement de l’avancement
- Ce poste a débuté à la fin de la période 2020, représentant environ 5.25% au troisième trimestre 2023, avec une tendance à la légère hausse jusqu’à plus de 5.61%. Cependant, la tendance globale reste relativement stable, ce qui éventuellement reflète une gestion prudente des encaissements liés aux projets ou contrats en cours.
- Passifs sur contrats et produits différés
- Ce poste a commencé à apparaître dans les données en fin 2023, avec une évolution décroissante de 7.75% à 7.14% jusqu’au troisième trimestre 2024, avant de se stabiliser autour de ce niveau. La croissance initiale vers 7.75% marque la reconnaissance accrue de revenus différés liés aux contrats en cours.
- Avancement, encaissements et revenus différés (legacy)
- Ce poste a été suivi à partir de 2020, affichant une tendance de croissance régulière, passant de 7.56% en mars 2020 à environ 12.64% en septembre 2023. La hausse s’accélère à partir de 2022, atteignant plus de 12% en fin 2023, ce qui peut refléter une augmentation de l'activité ou une reconnaissance différée accrue des revenus.
- Remises et remises sur ventes
- Ce poste apparaît à partir de la fin 2022, avec des proportions oscillant entre 2.82% et 3.21%. La stabilité autour de 3% indique une gestion constante des remises, sans tendance claire à une augmentation ou une diminution significative.
- Autres passifs à court terme
- Ce poste a connu une croissance notable entre 2020 et 2022, passant d’environ 6.22% à 8.34%, puis une légère baisse à environ 7.68% en 2023. La tendance indique une consolidation de cette catégorie, qui reste relativement stable par la suite à un niveau supérieur à celui de 2020.
- Passifs des entreprises détenues en vue de la vente
- Ce poste a fluctué, atteignant un pic autour de 1.19% en décembre 2022, après une présence limitée en début de période. La tendance montre un léger recul après son pic, suggérant peu de nouvelles acquisitions ou cessions d’actifs sous cette catégorie.
- Pourcentage du passif total à court terme
- Ce ratio a augmenté au fil du temps, passant d’environ 26.83% en mars 2020 à environ 29.11% en septembre 2024. La progression indique une proportion croissante du passif à court terme dans la structure financière, potentiellement révélatrice d’un recours accru à la dette à court terme ou d’un changement dans la gestion du cycle de liquidités.
- Revenus reportés
- Ce poste, apparu à partir de 2021, a connu une croissance progressive, atteignant environ 0.85% en décembre 2023. La stabilité autour de ce taux suggère une gestion régulière du report de revenus, sans variation majeure dans la reconnaissance de revenus différés à court terme.
- Emprunts à long terme
- Les emprunts à long terme ont diminué dans leur proportion, passant de 25.34% en mars 2020 à environ 13.57% au troisième trimestre 2024. La tendance indique un désendettement ou une réduction de l’encours à long terme, tandis que la part de ces emprunts dans la structure globale paraît stabilisée à ce niveau depuis 2022.
- Passifs d’assurance et prestations de rente
- Ce poste a montré une croissance jusqu’en 2020, atteignant plus de 16%, puis une tendance à la stabilité autour de 23% à 30% dans le dernier rapport, marquée par une certaine volatilité. Cette évolution signale une augmentation du poids de ces passifs, probablement en lien avec la gestion des obligations futures en matière d’assurance ou de rente.
- Rémunérations et avantages sociaux non courants
- Ce passif a diminué en proportion de 12.05% en juin 2020 à environ 5.43% en septembre 2024. La tendance reflète une gestion plus prudente ou une réduction des passifs liés à ces avantages non courants, en lien peut-être avec des révisions de politique ou des ajustements comptables.
- Toutes les autres responsabilités
- Ce poste est resté relativement stable, oscillant autour de 6% à 7% du passif total, sans tendance claire à la hausse ou à la baisse. Il reflète probablement une composante diversifiée mais stable des passifs généraux.
- Passifs des activités abandonnées
- Ce poste a fluctué, passant d’un niveau négligeable en 2020 à 1.35% en décembre 2024, indiquant une gestion limitée ou des cessions d’actifs ayant entraîné la reconnaissance de passifs liés à des activités abandonnées. La tendance globale est à une légère augmentation.
- Passifs non courants
- Ce poste a été le plus stable dans la période, représentant entre 49.87% et 64.25% du passif total. La proportion a globalement diminué puis s’est stabilisée vers 50% à partir de 2022, ce qui suggère une gestion équilibrée du passif à long terme.
- Proportion du passif total
- Globalement, le passif représente entre 85% et 87% du total du passif et capitaux propres, avec une légère montée vers 86-87% dans la dernière période. La structure financière reste donc fortement endettée, avec une part significative de dettes à court terme dans la composition du passif.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres, en proportion du passif et capitaux propres, ont augmenté de façon notable entre 2020 et 2021, passant d’environ 13.5% à plus de 20% vers 2022, puis ont globalement fluctué autour de 15% à 20%. La croissance initiale reflète une amélioration de la solvabilité perçue, suivie d’une stabilisation relative.
- Actions privilégiées et actions ordinaires
- Les actions privilégiées sont absentes tout au long de la période. Les actions ordinaires ont représenté une très faible proportion (environ 0.27% à 0.28%) jusqu’à la fin 2022, puis leur part est restée stable à environ 0.01%, indiquant une gestion limitée de ces instruments dans la structure du capital.
- Résultat global attribuable à la société
- Ce poste a connu une évolution négative au début de la période, passant d’environ -4% à une valeur positive puis fluctuant autour de zéro, en enregistrant parfois une perte ou un gain modéré. La tendance indique une certaine volatilité dans le résultat global, sans tendance claire à l'amélioration ou au déclin soutenu.
- Autres immobilisations
- Ce poste a connu une augmentation régulière, représentant jusqu’à environ 20.52% en décembre 2024, ce qui peut indiquer un accroissement des investissements dans des immobilisations non courantes ou autres actifs à long terme.
- Bénéfices non répartis
- Ce poste a montré une croissance constante, allant de 35% en 2020 à plus de 66% en mars 2025, signalant une accumulation significative de bénéfices non distribués, témoignant d’une politique de réinvestissement ou de conservation des résultats positifs.
- Actions ordinaires détenues en trésorerie
- Ce poste, représentant la part négative la plus élevée au fil du temps (-31.49% à mars 2020 et jusqu’à plus de -67% en septembre 2024), indique une forte réduction de l’encours d’actions en trésorerie, traduisant une politique de rachat d’actions ou de gestion du capital en cours, avec une tendance à la contraction continue de cette ligne.
- Capitaux propres
- Les capitaux propres ont connu une augmentation, passant d’environ 13.47% à 15.28% de la structure totale du passif et capitaux propres, principalement en raison de l’accumulation des bénéfices non répartis, ce qui améliore la solidité financière globale.
- Participations ne donnant pas le contrôle
- Ce poste a augmenté légèrement, allant d’environ 0.6% à 0.76%, reflétant une croissance modérée des investissements dans des entités sans contrôle, sans tendance significative.
- Recapitulatif global
- La structure du passif montre une baisse du recours à l’emprunt à long terme, compensée par une augmentation du passif à court terme et des passifs liés à la gestion des contrats et revenus différés, ce qui indique une recentralisation potentielle des passifs à court terme ou un changement dans la stratégie de financement. Les capitaux propres ont bénéficié d’une croissance notable, notamment via les bénéfices non répartis, renforçant la solvabilité de l’entité. La composition du passif demeure majoritaire à long terme, bien que la proportion du passif à court terme ait augmenté, ce qui pourrait influencer la liquidité et la flexibilité financière.