Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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HP Inc., tableau des flux de trésorerie consolidés (données trimestrielles)
en millions de dollars américains
D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2019-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-01-31), 10-K (Date du rapport : 2018-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2018-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2018-01-31), 10-K (Date du rapport : 2017-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2017-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2017-01-31), 10-K (Date du rapport : 2016-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2016-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2016-01-31), 10-K (Date du rapport : 2015-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2015-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2015-01-31), 10-K (Date du rapport : 2014-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2014-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2014-01-31), 10-K (Date du rapport : 2013-10-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-07-31), 10-Q (Date du rapport : 2013-04-30), 10-Q (Date du rapport : 2013-01-31).
- Bénéfice net
- Une tendance globalement haussière est observée sur la période, avec notamment des pics importants au premier trimestre 2018, ce qui indique une amélioration durable de la rentabilité. Cependant, des fluctuations notables apparaissent, notamment des baisses significatives au quatrième trimestre 2015 et au premier trimestre 2016, suggérant des périodes de difficultés ou de charges exceptionnelles.
- Dotations aux amortissements
- Une augmentation progressive des amortissements est perceptible, passant de 1163 millions à près de 190 millions en 2017. Cette évolution reflète probablement des investissements en immobilisations ou une maturité accrue du portefeuille d'actifs amortissables.
- Charge de rémunération à base d’actions
- Une variabilité importante est constatée, avec des montants fluctuants d’un trimestre à l’autre. Une tendance à la hausse est visible à partir de 2016, correspondant peut-être à une augmentation des plans d’actionnariat ou à l’impact de la fluctuation des actions sur ces charges.
- Charges de restructuration et autres charges
- Une variation considérable est perceptible, oscillant entre des périodes de charges faibles et des pics, notamment en 2014 et 2015. Des charges exceptionnelles apparaissent à ces périodes, indiquant des efforts de restructuration ou des restructurations majeures.
- Impôts différés sur les bénéfices
- Une grande volatilité est relevée, avec des fluctuations significatives, notamment une charge importante au troisième trimestre 2015 (-1598 millions) et d’autres variations importantes. Cela suggère une instabilité dans la reconnaissance des impôts différés, probablement liée à des changements dans la structure fiscale ou à des décalages temporaires.
- Autres, montant net
- Un comportement oscillant, avec des valeurs positives et négatives importantes. Par exemple, une forte baisse en 2016 est suivie d’un rebond en 2017, témoignant de la volatilité des autres éléments nets d’actifs et passifs.
- Comptes débiteurs
- Les comptes débiteurs présentent des fluctuations importantes, avec des pertes de valeur substantielle en 2013, une reprise en 2014, puis de nouvelles variations, indiquant une gestion dynamique du poste client.
- Financement des créances
- Une activité fluctuante, avec des valeurs positives en 2013 et 2014, suivies d’un manque de données en 2015 et 2016. Ces variations témoignent d’une gestion intermittente des financements de créances.
- Inventaire
- Une tendance à l’augmentation des stocks en 2014, suivie d’importantes fluctuations en 2016 et 2017, avec des périodes de déstockage net. Ces mouvements peuvent refléter une stratégie d’ajustement de la production ou de gestion de la demande.
- Comptes créditeurs
- Une tendance variable, avec des creux significatifs en 2015 et 2016, indiquant une gestion tendant à réduire ou augmenter rapidement les dettes fournisseurs, probablement en réponse aux besoins de liquidité ou d’optimisation du fonds de roulement.
- Impôts sur les bénéfices
- Une volatilité extrême est observée, avec des périodes de crédit et de dette fiscale très marquées, notamment en 2015 et 2018. Ces fluctuations montrent un calendrier complexe de paiements et récupérations fiscales selon les périodes.
- Restructurations et autres
- Des charges répétées et relativement faibles, indiquant des efforts de restructuration réguliers mais sans niveaux exceptionnels au fil du temps.
- Autres éléments d’actif et de passif
- Une forte variabilité, notamment avec un pic négatif en 2014 et d’autres fluctuations marquées, suggérant une gestion changeante de certains postes d’actifs et passifs spécifiques.
- Variation des actifs et passifs d’exploitation
- Une tendance volatile avec des périodes de forte baisse, notamment en 2014 et 2015, alternant avec des reprises. Cela indique des ajustements importants dans le fonds de roulement liés à la gestion opérationnelle.
- Adjustements visant à rapprocher le bénéfice net des flux de trésorerie
- Une variabilité considérable, souvent positive, attestant des efforts pour aligner la comptabilisation du bénéfice net avec la génération de trésorerie. La valeur la plus notable est en 2013, avec un montant de plus de 1 milliard de dollars, permettant une meilleure compréhension de la liquidité réelle générée par l’activité.
- Flux de trésorerie nets provenant des activités d’exploitation
- Une tendance générale à la croissance, passant de valeurs basses à près de 3,5 milliards de dollars à la fin de la période, indiquant une amélioration substantielle de la capacité de génération de liquidités via l’exploitation.
- Investissements en immobilisations
- Une tendance à la hausse, surtout en 2018 et 2019, reflétant une intensification des investissements en immobilisations, ce qui peut indiquer une stratégie de croissance ou de renouvellement d’actifs.
- Produit de la vente d’immobilisations
- Une activité sporadique avec des pics en 2013 et 2014, suggérant une stratégie de désinvestissement partiel ou de cession d’actifs pour financer d’autres besoins ou stratégies.
- Achats de titres et autres placements
- Une certaine instabilité, notamment en 2017, en lien peut-être avec une gestion active des placements financiers ou une diversification selon les besoins de liquidité.
- Flux de trésorerie d’investissement
- Une tendance généralement négative, indiquant des investissements nets soutenus, sauf en 2014 et 2017 où des flux positifs sont enregistrés, peut-être liés à des cessions d’actifs ou à des placements temporaires.
- Produits et remboursements d’emprunts
- Une variabilité extrême est notable, avec des emprunts importants en 2013, 2014 et 2017, suivis de remboursements massifs en 2015, 2018 et 2019, reflet d’une gestion active de la dette.
- Règlement des couvertures, émissions et remboursements de dettes
- Souvent associé à des opérations de refinancement ou de couverture, ces mouvements traduisent une gestion dynamique de la structure financière.
- Activités de récompense à base d’actions, émissions et rachats d’actions
- Des rachats d’actions importants, notamment en 2014 et 2017, témoignent de politiques de retours aux actionnaires agressives. Par ailleurs, l’émission d’actions dans le cadre de plans d’actionnariat salarié indique également des stratégies de rémunération en actions.
- Dividendes en espèces versés
- Une stabilization du versement de dividendes, avec une légère augmentation en 2018 et 2019, reflétant une politique de distribution régulière mais conservatrice.
- Flux de trésorerie nets provenant des activités de financement
- Une volatilité extrême, avec des périodes d’émission massive de dette ou de remboursement, souvent couplée à des rachats d’actions ou à des paiements de dividendes, illustrant une gestion active de la structure de financement.
- Augmentation (diminution) de la trésorerie et des équivalents
- Une volatilité marquée, avec des périodes de forte augmentation suivies de baisses importantes, indiquant des stratégies de gestion de la trésorerie axées sur la flexibilité et la réactivité face aux opérations et au financement.