Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2023-09-30), 10-K (Date du rapport : 2022-09-30), 10-K (Date du rapport : 2021-09-30), 10-K (Date du rapport : 2020-09-30), 10-K (Date du rapport : 2019-09-30), 10-K (Date du rapport : 2018-09-30).
- Analyse de la structure du passif
- La part du passif à court terme en pourcentage du total du passif et des capitaux propres a montré une tendance fluctuante, passant de 23,05 % en 2018 à un pic de 26,66 % en 2022 avant de légèrement diminuer à 26,24 % en 2023. Cette évolution indique une augmentation relative des obligations à court terme, pouvant suggérer un recentrage ou une gestion plus active des échéances immédiates. La portion à court terme de la dette à long terme a diminué de 19,78 % en 2018 à un minimum de 15,86 % en 2019, renforçant la considération d’un recentrage vers des dettes à plus long terme ou une réduction de l’endettement à court terme. Toutefois, cette valeur a globalement oscillé autour de 17-19 %, retrouvant 18,51 % en 2023.
- Évolution des obligations à long terme
- La dette à long terme, hors la partie à court terme, a évolué de 19,78 % en 2018 à environ 18,51 % en 2023, indiquant une stabilité relative dans le niveau de l’endettement à long terme hors échéancier immédiat. La baisse de cette composante entre 2018 et 2019 suivie d’un léger rebond en 2023 peut refléter une politique de gestion de la dette visant à équilibrer l’endettement total.
- Passifs non courants
- La proportion de passifs non courants, en particulier les autres passifs non courants, a tendance à augmenter, passant de 9,67 % en 2018 à 12,71 % en 2023. La part des passifs non courants dans le total du passif a également connu une hausse, culminant à environ 34,38 % en 2020 et restant autour de 31-33 % dans les années suivantes, signalant peut-être une stratégie d’accumulation ou de gestion de passifs à plus long terme.
- Capitaux propres
- La part des capitaux propres dans le total du passif et des capitaux propres a connu une baisse, passant de 46,02 % en 2018 à 41,89 % en 2023. La variation la plus notable concerne la baisse des bénéfices non répartis, qui ont diminué en proportion de 13,53 % en 2018 à un minimum de 2,73 % en 2022, avant de remonter légèrement en 2023. La contribution des actions en auto-trésorerie, en revanche, a augmenté négativement, renforçant l’impact de rachat d’actions sur la structure financière.
- Autres éléments de la structuration financière
- La composition du capital a présenté une croissance dans la part du capital supérieur à la valeur nominale, passant de 33,91 % en 2018 à environ 41,07 % en 2023, significative d’une consolidation du capital ou de l’émission d’actions avec prime. La participation en auto-trésorerie a continuellement augmenté, avec une valeur négative qui atteint -2,94 % en 2023, reflétant des rachats d’actions ou une suppression de titres pour optimiser la structure du capital. La valeur des autres éléments du résultat global a également fluctué, en restant généralement négative, ce qui peut indiquer des pertes ou des ajustements de valeur non réalisés affectant le résultat global.
- Résumé général
- La structure financière de l’entreprise montre une tendance à une augmentation relative des passifs à long terme et non courants, accompagnée d’une légère augmentation de la part du passif à court terme. Les capitaux propres ont diminué en proportion, notamment à cause de la réduction des bénéfices non répartis et de l’impact de l’auto-trésorerie. La gestion semble privilégier une réduction progressive des bénéfices non réalisés tout en consolidant le capital social. La stabilité dans la proportion de la dette à long terme hors échéances immédiates indique une politique de gestion équilibrée de la dette, même si la part du passif total a accru, reflétant une certaine dépendance accrue aux passifs non courants.