Structure du bilan : passif et capitaux propres
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-12-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31).
- Échéances actuelles de la dette à long terme, du papier commercial et des contrats de location-financement
- Une tendance à la baisse a été observée entre 2020 et 2022, passant de 4,2% à 3,29%, indiquant une diminution relative des engagements financiers à court terme liés à la dette à long terme et aux contrats de location-financement. Cependant, une hausse significative à 4,73% est notée en 2023, suivie d'une nouvelle baisse à 2,62% en 2024, suggérant une fluctuation dans la gestion des échéances de ces dettes.
- Échéances actuelles des contrats de location-exploitation
- Une stabilité relative à environ 0,9% jusqu'en 2022, puis une augmentation progressive à 1% en 2023 et 2024, indique une croissance modérée des engagements à court terme liés aux contrats de location-exploitation, reflet peut-être d'une augmentation de la flotte ou des infrastructures en location.
- Comptes créditeurs
- Une tendance à la baisse est visible de 10,34% en 2020 à 8,95% en 2023, avec une légère hausse à 8,99% en 2024. Cela pourrait indiquer une gestion plus efficace des dettes fournisseurs ou une réduction des achats à crédit.
- Salaires courus et retenues à la source
- Une réduction progressive a été observée de 5,72% en 2020 à 4,55% en 2023, avec une légère augmentation à 5,22% en 2024, suggérant une gestion plus stricte ou une variation dans la structure des obligations salariales en fin d'année.
- Réserves d’auto-assurance
- Une tendance stable autour de 1,5% à 1,86% indique une capacité à couvrir les risques auto-assurés sans fluctuations majeures significatives.
- Cotisations accumulées à un régime collectif de prévoyance et de retraite
- Une augmentation notable de 1,49% en 2020 à 2,09% en 2023, avant de légèrement baisser à 1,98% en 2024, reflétant une augmentation des engagements liés aux régimes de retraite ou de prévoyance, avec une tendance à la stabilisation en fin de période.
- Passifs à aliéner
- Absents après 2021, ce qui pourrait indiquer une extinction ou une restructuration de ces passifs au cours de cette période.
- Autres passifs à court terme
- Une baisse progressive de 2,32% en 2020 à 1,77% en 2023, puis un léger rebond à 2,05% en 2024 montre une gestion variable de ces passifs, probablement en lien avec les autres obligations à court terme.
- Passif à court terme total
- Un déclin constant de 27,27% en 2020 à 23,46% en 2024, indiquant une réduction relative des obligations immédiates en proportion du passif total, contribuant à une structure financière plus équilibrée.
- Dette à long terme et contrats de location-financement, à l’exclusion des échéances courantes
- Une baisse importante de 35,3% en 2020 à 24,35% en 2022, puis une augmentation à 26,7% en 2023, et une nouvelle hausse à 27,75% en 2024, illustrant une gestion fluctuante de l'endettement à long terme, avec une tendance générale à l'augmentation en fin de période.
- Contrats de location-exploitation non courants
- Une augmentation progressive de 4,07% en 2020 à 5,3% en 2023, puis une légère baisse à 5,19% en 2024, témoignant d'une expansion de ces engagements à long terme en location.
- Obligations de prestations de retraite et prestations postérieures à la retraite
- Une forte diminution de 25,34% en 2020 à 6,76% en 2022, avec une légère remontée à 8,69% en 2023 et 9,79% en 2024, indiquant une réduction significative de ces passifs au début de la période, suivie d’une stabilisation ou d’une légère reprise.
- Passifs d’impôts différés
- Une hausse entre 0,78% en 2020 à 6,05% en 2022, puis une légère baisse à 5,13% en 2024, ce qui peut refléter des variations dans la reconnaissance des impôts différés en réponse aux changements fiscaux ou à la performance fiscale.
- Autres passifs non courants
- Une baisse progressive de 6,16% en 2020 à 4,61% en 2023, puis une nouvelle augmentation à 4,78% en 2024, illustrant une gestion flexible de ces passifs à long terme.
- Passifs non courants total
- Une tendance à la baisse de 71,66% en 2020 à 46,65% en 2022, puis une stabilisation autour de 50%. En 2024, l’augmentation à 52,64% montre une consolidation de la part des passifs à long terme dans la structure globale, en diminution notable par rapport à 2020.
- Total du passif
- Une réduction notable de 98,93% en 2020 à 72,16% en 2022, avant une remontée à environ 75,56% en 2023 et 76,11% en 2024, témoignant d’une légère augmentation de la part du passif dans la structure financière totale après une période de diminution significative.
- Capitaux propres
- Une croissance spectaculaire du total de 1,07% en 2020 à 27,84% en 2022, essentiellement due à une augmentation régulière des bénéfices non répartis et du capitaux propres pour les participations majoritaires. En 2023 et 2024, ces ratios restent stables ou peu fluctuants, confirmant une consolidation des fonds propres.
- Actions ordinaires de catégorie A et B
- Absentes ou stabilisées à 0 et 0,01%, ces actions ne semblent pas jouer un rôle majeur dans la structure financière.
- Capital versé supplémentaire
- Une augmentation de 1,39% en 2020 à 1,94% en 2021, puis moins de données disponibles pour la période suivante, mais une baisse prononcée à 0,19% en fin de période, indique une variation dans l'apport de fonds propres additionnels.
- Bénéfices non répartis
- Une croissance notable de 11,05% en 2020 à 29,98% en 2022, puis un maintien élevé près de 29,7% en 2023 et 2024, suggérant une politique de rétention des bénéfices favorable à la croissance de la capitalisation.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Une tendance à la dépréciation, passant de -11,4% en 2020 à -6,15% en 2024, indiquant une augmentation des pertes ou des reservoirs de réalisation négative dans l'autre résultat global.