Tableau des flux de trésorerie
Données trimestrielles
Le tableau des flux de trésorerie fournit des informations sur les entrées de trésorerie et les paiements en espèces d’une entreprise au cours d’une période comptable, montrant comment ces flux de trésorerie relient le solde de trésorerie de fin de caisse au solde de début figurant au bilan de l’entreprise.
Le tableau des flux de trésorerie se compose de trois parties : les flux de trésorerie provenant des activités d’exploitation, les flux de trésorerie provenant des activités d’investissement et les flux de trésorerie provenant des activités de financement.
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Structure du bilan : actif
- Analyse des ratios de rentabilité
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse des ratios d’activité à court terme
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- Rapport cours/ FCFE (P/FCFE)
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D’après les rapports : 10-Q (Date du rapport : 2024-03-31), 10-K (Date du rapport : 2023-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2023-10-01), 10-Q (Date du rapport : 2023-07-02), 10-Q (Date du rapport : 2023-04-02), 10-K (Date du rapport : 2022-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2022-10-02), 10-Q (Date du rapport : 2022-07-03), 10-Q (Date du rapport : 2022-04-03), 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2021-10-03), 10-Q (Date du rapport : 2021-07-04), 10-Q (Date du rapport : 2021-04-04), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2020-09-27), 10-Q (Date du rapport : 2020-06-28), 10-Q (Date du rapport : 2020-03-29), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-Q (Date du rapport : 2019-09-29), 10-Q (Date du rapport : 2019-06-30), 10-Q (Date du rapport : 2019-03-31).
- Revenu net
- Une croissance notable est observée jusqu'au troisième trimestre 2021, avec un pic à plus de 328 millions de dollars, avant de connaître une baisse significative en 2022. La tendance indique une forte augmentation en 2020, probablement liée à une reprise ou à une croissance exceptionnelle, suivie d'une décrue en 2023. La valeur reste cependant considérable, témoignant d'une performance financière globale robuste sur la période.
- Dépréciation
- Les dépréciations suivent une tendance relativement stable, avec une légère hausse en 2021, puis une légère diminution en 2023. La stabilité malgré l'évolution des autres indicateurs suggère une gestion cohérente des actifs amortissables ou une absence notable de dépréciation accrue à certains moments.
- Rémunération à base d’actions
- Une augmentation progressive est visible, en particulier en 2022 et 2023, pouvant indiquer une utilisation accrue de plans d’incitation en actions pour la rémunération des employés ou dirigeants, affectant ainsi cette ligne de dépenses.
- Provision pour stocks excédentaires et périmés
- Les provisions connaissent une forte augmentation en 2021, notamment en 2022 où elles atteignent plus de 12 millions de dollars. Cette tendance peut refléter une gestion proactive des stocks excédentaires, ou une indication de difficultés dans la gestion des inventaires spécifiques à cette période.
- Amortissement
- Une tendance stable à un niveau modéré, avec une légère diminution à partir de 2021, indique une dépréciation régulière des immobilisations, sans variation majeure.
- Impôts différés
- Les impôts différés présentent une volatilité importante, en particulier en 2022 où une charge significative de près de 48 millions de dollars est constatée, suivie d’une baisse en 2023. Cela reflète sans doute une évolution dans la reconnaissance des impôts futurs liés aux différences temporaires.
- (Gains) pertes sur placements
- Les variations ponctuelles montrent une forte volatilité, notamment en 2020 où un gain important est enregistré, puis en 2024 où une perte substantielle apparaît. Cela reflète la sensibilité de cette ligne aux fluctuations des investissements financiers.
- Gain sur la vente d’actifs
- Absence de données jusqu’en 2024, où un gain de 3,4 millions de dollars est enregistré, suggérant une recentralisation ou un changement dans la stratégie de vente d’actifs.
- Ajustement de la juste valeur de la contrepartie conditionnelle
- Des fluctuations importantes sont observées, en particulier une correction négative en 2019 et 2020, puis des variations positives ou négatives selon les périodes. Ces ajustements indiquent une gestion sensible aux évaluations de marché ou aux conditions contractuelles.
- Pertes sur conversion de dette convertible
- Les pertes significatives en 2021 et 2022 indiquent une augmentation des risques ou des coûts associés à la conversion de dettes, tandis que leur absence dans d’autres années montre une certaine stabilité ou l’absence de nouvelles conversions lors de ces périodes.
- Pertes actuarielles des régimes de retraite
- Les variations importantes, notamment en 2020, soulignent une forte sensibilité des régimes de retraite aux taux d’intérêt ou à la valeur des actifs sous gestion, impactant fortement cette ligne.
- Dépréciation des investissements
- Une dépréciation notable en 2020, correspondant à une perte significative sur investissements, reflétant peut-être une correction dans la valeur des placements financiers réalisés à cette période.
- Autre
- Les variations mensuelles indiquent une gestion diversifiée et parfois volatile des autres charges ou produits financiers, avec des pics ponctuels significatifs en 2021 et 2023.
- Comptes débiteurs
- Une forte fluctuation est observable, notamment une chute en 2019 puis une remontée en 2021, traduisant des variations dans la gestion du crédit client ou des cycles de vente et recouvrement.
- Inventaires
- Les inventaires présentent également une volatilité importante, avec des pics en 2020 et une baisse subséquente, indiquant des ajustements dans la gestion des stocks ou une réponse aux fluctuations de la demande.
- Remboursements anticipés et autres actifs
- Une tendance à la baisse, avec des remises en question possibles sur la composition ou la liquidité des actifs non courants, ou une gestion visant à réduire ces engagements.
- Créditeurs et autres passifs
- Des variations considérables, notamment une forte augmentation en 2020, suivie d’un déclin marqué en 2021. Cela reflète une gestion dynamique des dettes fournisseurs ou autres passifs à court terme.
- Produits reportés et avances clients
- Une variabilité qui témoigne des cycles de facturation et de reconnaissance des revenus différés, avec des périodes de forte croissance ou de diminution notable.
- Cotisations aux régimes de retraite
- Une stabilité relative, avec une légère augmentation en 2024, correspondant à une gestion régulière des obligations de retraite.
- Impôts
- Une forte volatilité, notamment en 2022 où une charge significative apparaît, puis une baisse en 2023. Ceci indique une fluctuation dans la charge fiscale effective ou dans la reconnaissance des impôts différés.
- Variations de l’actif et du passif d’exploitation
- Des fluctuations extrêmes, en particulier en 2020, montrent des changements importants dans l’exploitation courante ou dans la gestion du fonds de roulement, avec un impact notable sur la liquidité.
- Rapprochements entre résultat net d’exploitation et trésorerie
- Une grande volatilité est visible, avec des ajustements marquants en 2020 et 2021, signifiant des différences temporaires ou des anomalies dans la reconnaissance des flux opérationnels.
- Flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation
- Globalement en hausse en 2020 avec un pic en 2021, puis une baisse en 2023. La tendance indique une génération de cash importante jusqu’en 2021, avant un recul, probablement lié à la volatilité des autres paramètres d’exploitation.
- Achats d’immobilisations corporelles et titres négociables
- Des investissements réguliers dans les immobilisations et les titres, souvent à des niveaux élevés, reflétant une stratégie d’investissement soutenue. La baisse en 2023 pourrait indiquer un ralentissement ou une optimisation des investissements.
- Flux de trésorerie d’investissement
- Une tendance généralement défavorable, avec des sorties importantes en 2019 et 2020, traduisant des acquisitions ou investissements majeurs, notamment l’achat de titres ou d’entreprises.
- Opérations de financement
- Les flux en financement montrent une forte activité en 2020, notamment avec des rachats d’actions et des remboursements de dettes importantes. Les flux négatifs importants soulignent une stratégie de retour de capital ou de réduction du levier financier. La volatilité persiste jusqu’en 2023, avec des variations de la dette et des émissions d’actions.
- Effets des variations de change
- Des effets négatifs prononcés en 2020 et 2023, témoignant de l’impact des fluctuations monétaires sur la trésorerie globale, surtout en période de volatilité économique mondiale.
- Variation de la trésorerie
- Une forte volatilité, avec des années de déclin significatif en 2020 et 2022, suivies de phases de récupération, reflétant les fluctuations de toutes les activités opérationnelles, d’investissement et de financement.