Structure du bilan : passif et capitaux propres
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D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2021-12-31), 10-K (Date du rapport : 2020-12-31), 10-K (Date du rapport : 2019-12-31), 10-K (Date du rapport : 2018-12-31), 10-K (Date du rapport : 2017-12-31).
- Échéances actuelles de la dette et des contrats de location-financement
- Ce ratio a diminué de 4,21 % à 2,52 % entre 2017 et 2018, puis a augmenté à 3,54 % en 2019 avant de diminuer à 2,41 % en 2020. En 2021, il a légèrement augmenté à 2,46 %, indiquant une réduction globale de l'exposition à court terme des obligations financières, sauf durant 2019 où une légère hausse a été observée.
- Échéances actuelles des contrats de location-exploitation
- Ce ratio est absent en 2017, mais depuis 2018, il montre une tendance à la baisse, passant de 1,58 % à 0,94 % en 2020, puis retrouvant une légère hausse à 0,97 % en 2021. Cela suggère une réduction de la part des obligations locatives à court terme au fil du temps, malgré une stabilité récente en 2021.
- Responsabilité civile en matière de trafic aérien
- Ce poste a connu une tendance à la baisse de 9,17 % en 2017 à 7,73 % en 2018, puis une légère augmentation à 7,93 % en 2019, avant une baisse significative à 5,62 % en 2020. En 2021, il a de nouveau battu en recul à 8,6 %, reflétant une baisse de cette responsabilité, sauf une remontée en 2021.
- Comptes créditeurs
- Ce ratio a diminué de 6,89 % en 2017 à 4,94 % en 2018, puis a augmenté légèrement à 5,06 % en 2019. En 2020, il a diminué à 3,94 % puis augmenté à 5,85 % en 2021, indiquant une certaine volatilité mais une tendance globale à la stabilisation ou la légère hausse en fin de période.
- Salaires accumulés et avantages connexes
- Ce poste a connu une relative stabilité entre 2017 (5,67 %) et 2018 (5,45 %), puis une légère hausse à 5,74 % en 2019. En 2020, il chute à 2,9 %, avant de remonter à 3,39 % en 2021, suggérant une réduction momentanée de cette obligation en 2020 avec une reprise en 2021.
- Revenus reportés du programme de fidélisation
- Ils ont augmenté de 3,42 % en 2017 à un pic de 4,99 % en 2019, puis ont diminué à 2,47 % en 2020. En 2021, une nouvelle hausse à 3,74 % est constatée, reflétant une fluctuation de cette source de passif.
- Obligation de la carte carburant
- Ce ratio a connu une baisse de 2 % en 2017 à 1,14 % en 2019, puis une légère remontée à 1,53 % en 2020 et une stabilisation à 1,52 % en 2021. La tendance indique une réduction progressive de cette obligation sur l'ensemble de la période.
- Autres charges à payer
- Les autres charges à payer ont considérablement diminué de 3,49 % en 2017 à 1,67 % en 2019, puis ont augmenté à 2,32 % en 2020 et à 2,41 % en 2021, montrant une volatilité de cette catégorie de passifs courants.
- Passif à court terme
- Ce ratio a diminué de 34,85 % en 2017 à 30,83 % en 2018, puis a augmenté à 31,31 % en 2019. En 2020, une baisse notable à 22,12 % est observée, avant un rebond à près de 29 % en 2021, témoignant de variations dans la composition des obligations à court terme.
- Créances et contrats de location-financement, à l’exclusion des échéances courantes
- Ce poste a connu une augmentation importante entre 2018 (13,69 %) et 2020 (38,09 %), puis une légère baisse à 34,69 % en 2021. La tendance indique une croissance de cette obligation à long terme, notamment en 2020.
- Responsabilité civile non courante du trafic aérien
- Ce poste apparaît uniquement en 2020 (0,69 %) et en 2021 (0,18 %), montrant une disparition progressive ou une requalification de cette responsabilité comme exigée à long terme.
- Prestations de retraite, prestations postérieures à la retraite et prestations connexes
- Ce passif a connu une réduction notable de 18,41 % en 2017 à 8,33 % en 2021, indiquant une réduction des obligations liées aux prestations sociales ou une modification de leur comptabilisation.
- Revenus reportés du programme de fidélisation (second poste)
- Ce poste a connu une croissance de 4,31 % en 2017 à 6,06 % en 2018, puis une légère baisse à 5,44 % en 2019, avant une augmentation en 2020 (7,51 %) et une nouvelle baisse à 6,69 % en 2021. La tendance reflète une volatilité dans cette dette de fidélisation.
- Contrats de location-exploitation non courants
- Absents en 2017, ils représentent 9,63 % en 2018, puis ont fluctué autour de 8-10 % jusqu’en 2021, où ils atteignent 9,74 %, indiquant une part stable mais significative des obligations locatives à long terme.
- Impôts différés, montant net
- Apparents uniquement en 2018 (0,27 %) et 2019 (2,26 %), ce qui indique une évolution dans la reconnaissance des passifs ou actifs d'impôt différé, avec une hausse en 2019, puis une absence en 2020 et 2021.
- Autres passifs non courants
- Les autres passifs non courants ont diminué de 3,96 % en 2017 à 1,61 % en 2018, augmenté à 2,15 % en 2019, puis fortement augmenté à 6,75 % en 2020, avant de se stabiliser à 6,07 % en 2021, reflétant une certaine volatilité et accumulation de passifs non courants non spécifiques.
- Passifs non courants
- Ce ratio a augmenté rapidement de 39,05 % en 2017 à 46,46 % en 2018, puis a fluctué autour de 44-76 % jusqu’en 2020, avec une forte poussée en 2020 à 75,75 %, puis une baisse à 65,7 % en 2021, indiquant une croissance importante des obligations à long terme jusqu’en 2020, en contrepartie d’une certaine stabilisation ensuite.
- Total du passif
- En pourcentage du passif total, il a augmenté de 73,9 % en 2017 à 77,29 % en 2018, puis a légèrement progressé à 76,2 % en 2019. En 2020, il a fortement grimpé à 97,87 % et a légèrement baissé à 94,64 % en 2021, ce qui peut témoigner d’une augmentation globale de la structure du passif, notamment dans ses composantes à long terme.
- Capital versé supplémentaire
- Ce poste a diminué de 22,62 % en 2017 à 15,64 % en 2020, puis a légèrement augmenté à 15,8 % en 2021, indiquant une réduction progressive de la part des fonds propres apportés en surplus dans la structure de financement.
- Bénéfices non répartis (déficit accumulé)
- Après avoir été positif en 2017 (18,08 %), il a légèrement diminué en 2018 (16,66 %), puis a augmenté à 19,3 % en 2019. Cependant, en 2020, un déficit s’est installé (-0,59 %), s’amplifiant en 2021 (-0,2 %), ce qui montre une dégradation progressive de la rentabilité accumulée ou de la distribution des bénéfices.
- Cumul des autres éléments du résultat global
- Ce poste a enregistré une tendance à la baisse, passant de -14,3 % en 2017 à -12,98 % en 2018, puis stabilisant autour de -12,4 % à 2021. La stabilité relative indique une minorité persistante d’autres résultats globaux hors du résultat net.
- Stock de trésorerie, au prix coûtant
- Ce ratio est marginalement négatif tout au long de la période, avec une légère détérioration de -0,3 % en 2017 à -0,39 % en 2021, témoignant d’un niveau de trésorerie fluctuant mais généralement insuffisant pour couvrir les autres passifs ou obligations immédiates.
- Capitaux propres
- Ils ont diminué significativement de 26,1 % en 2017 à 22,71 % en 2018, puis ont légèrement augmenté à 23,8 % en 2019. Une chute importante à 2,13 % en 2020 est observée, suivi d’une reprise modérée à 5,36 % en 2021, reflétant une dégradation de la solvabilité et une possible dilution des fonds propres lors de 2020.