Structure du bilan : passif et capitaux propres
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- Bilan : passif et capitaux propres
- Analyse des ratios de solvabilité
- Analyse DuPont : Désagrégation du ROE, de la ROAet du ratio de marge bénéficiaire nette
- Modèle d’actualisation des dividendes (DDM)
- Ratio de marge bénéficiaire nette depuis 2005
- Ratio de marge bénéficiaire d’exploitation depuis 2005
- Rendement des capitaux propres (ROE) depuis 2005
- Ratio cours/résultat d’exploitation (P/OP) depuis 2005
- Analyse du chiffre d’affaires
- Analyse de l’endettement
Nous acceptons :
D’après les rapports : 10-K (Date du rapport : 2024-09-30), 10-K (Date du rapport : 2023-09-30), 10-K (Date du rapport : 2022-09-30), 10-K (Date du rapport : 2021-09-30), 10-K (Date du rapport : 2020-09-30), 10-K (Date du rapport : 2019-09-30).
- Analyse des passifs
- La proportion des comptes créditeurs en tant que pourcentage du passif total et des capitaux propres a tendance à diminuer légèrement, passant de 1,61 % en 2019 à 1,31 % en 2024, indiquant une gestion réduite des dettes à court terme liées aux créances fournisseurs. Par ailleurs, les rémunérations accumulées et avantages sociaux ont également connu une réduction proportionnelle, passant de 7,41 % en 2019 à 6,18 % en 2024.
- Les intérêts payables apparaissent à partir de 2021, atteignant 1,48 % en 2022, ce qui peut refléter une augmentation de la dette liée aux intérêts, puis une légère diminution à 1,26 % en 2024. La part des passifs à court terme liés aux contrats de location-financement est stable à bas pourcentages autour de 0,13-0,18 %.
- Les autres passifs, incluant notamment les autres charges à payer, connaissent une tendance à la hausse, passant de 2,26 % en 2019 à 4,65 % en 2024, suggérant une augmentation des obligations non spécifiques ou différées. Les produits reportés suivent une tendance à la hausse, de 7,74 % à 9,13 %, indiquant un accroissement des revenus différés ou des obligations à reconnaître à l'avenir.
- Variations dans la structure de la dette
- Les échéances de la dette à court terme présentent une évolution significative : un pic en 2021 avec 15,95 %, suivi d'une réduction notable à 0,87 % en 2024, ce qui peut signaler un refinancement réussi ou une réduction de la dette à court terme.
- La dette à long terme hors échéances courantes affiche une croissance substantielle, passant de 42,33 % en 2019 à plus de 127 % en 2024, ce qui indique un recours accru à l’endettement à long terme, probablement pour financer des investissements ou des opérations stratégiques.
- Les passifs non courants, incluant notamment les passifs liés aux contrats de location-exploitation et de location-financement, montrent une tendance à la baisse ou à la stabilité relative. En particulier, la part des passifs liés aux contrats de location-exploitation diminue de 4,56 % en 2020 à 1,28 % en 2024, conformément à une gestion ou restructuration de ces passifs.
- Fonds propres
- Les capitaux propres (déficit) évoluent de façon négative, passant d’un excédent de 20,21 % en 2019 à un déficit de 56,04 % en 2024. La baisse constante de cette valeur reflète une augmentation des pertes accumulées ou une dégradation de la situation financière globale.
- Les bénéfices non répartis augmentent de manière régulière, passant de 136,5 % en 2019 à 227,07 % en 2024, preuve d’une accumulation continue des pertes ou d’un déficit consolidé que l’on retrouve dans le déclin des capitaux propres. Le capital versé supplémentaire, quant à lui, fluctue mais reste en majorité à des niveaux élevés, ce qui indique une contribution en fonds propres par les actionnaires en dépit de la situation déficitaire.
- Situation de trésorerie et autres éléments
- Le stock de trésorerie, exprimé à prix coûtant, affiche une tendance fortement négative, passant de -195,5 % en 2019 à -357,34 % en 2024, ce qui suggère une utilisation élevée de la trésorerie ou une situation de déficit de liquidités prolongé.
- Le cumul des autres éléments du résultat global demeure négatif, mais la tendance s’atténue légèrement, passant de -6,28 % en 2019 à -5,33 % en 2024, indiquant une stabilité relative dans ces autres éléments du résultat global.